Message d'appel à l'action pour tous nos élus et associés...

À partager, faire suivre sans modération et comme action minimale attendue de tous...

Madame, Monsieur le ministre, le député, le sénateur, le conseiller municipal ou provincial, le maire ou le bourgmestre, l'élu ou l'élue quel que soit votre titre,

Les opérations d'épandages aériens de biocides sur les populations humaines constituent une réalité indépassable. Vous pouvez vous référer aux conclusions du rapport Case Orange : « Science des contrails, leur impact sur le climat et les programmes de manipulation du climat menés par les États-Unis et leurs alliés », étude exhaustive menée par des spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais et présentée par le professeur Coen Vermoreen de l’Université de Delft des Pays-Bas. Vous pouvez aussi et entre mille vous appuyer sur les dernières analyses de ce qui nous est présenté comme de la « poussière du Sahara » (lol), comme sur les travaux récents du docteur roumain Geanina Hagima sur les diverses nanoparticules magnétiques récoltées dans de l'eau de pluie, et qui révèlent ni plus ni moins que ces substances ne sont pas du tout du sable, mais des matières hautement toxiques, comprenant : aluminium, arsenic, bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc, cadmium. Les résultats d'analyse de ces épandages, aujourd'hui effrénés, font état de bien d'autres pathogènes encore, dont : spores, phtalates, mycoplasmes, bactéries super résistantes ou érythrocytes. Ces derniers travaux sur la poussière jaunâtre s'abattant sur nous depuis plusieurs années, que nous constatons notamment sur nos automobiles en stationnement que ces particules ont le temps de recouvrir, mais présentée au con de Gaulois comme sable, confirment ceux par exemple déjà établis en 2022 par l’avocat et parlementaire bosniaque Mirnes Ajanovic. Le courageux homme public faisait état notamment de : 0,5 milligramme d’arsenic par kilogramme pour le véritable sable saharien, contre 22 milligrammes par kilogramme pour les poussières qui pleuvent sur nous (soit un niveau 44 fois plus élevé) ; 1,8 milligramme de fer par kilogramme pour le premier, contre 42 pour la poussière magnétisable récoltée (écart toujours significatif) ; mais encore de 10,43 mg/kg de zinc et de 14,2 mg/kg d'aluminium pour l'un, contre, respectivement, 671 mg/kg et 10 342 mg/kg (soit une seconde valeur 728 fois supérieure) pour l'autre. Rien de nouveau, donc de surprenant : pour l'aluminium seul, des valeurs plusieurs milliers de fois supérieures aux valeurs limites acceptables ont déjà été mesurées, dont en Californie.

Il conviendrait encore peut-être de vous fier au gouvernement espagnol lui-même qui confessait en 2020 l'empoisonnement de son peuple pour saintes raisons « sanitaires », et qui davantage que tous les gouvernements qui admettent la « géo-ingénierie », révélait lui sa signification véritable hors des attributs de la novlangue, de pharma-ingénierie, plutôt, pour des opérations qui en réalité visent moins le climat que les hommes et les systèmes vivants dans leur ensemble, ce qui est déjà net par ici : en admettant que les autorités mêmes croient à leur imbécile thèse du réchauffement climatique anthropique, de leur propre point de vue imbécile, comment justifier en effet des substances telles que celles citées dans le dessein d'un effet positif sur l'« albédo » ? Autrement dit, à l’exception peut-être de l’iodure d’argent lui officiellement confessé pour formation de nuages artificiels, les cocktails de saletés lâchées avec acharnement sur les populations à réduire, ne pouvant relever de quelque visée « climatique » puisqu'ils n'y sont pas techniquement liés, connaissent — c'est imparable — un dessein résolument autre, et qu'il faut certainement aller comprendre du côté des raisons mondialistes (de moins en moins gardées) démographiques, eugénistes, transhumanistes et génocidaires...

Quoique déjà beaucoup plus complexes que « la Science » qui tend à réfuter les conclusions que le port de masque comme les confinements imposés de force pendant ladite « pandémie » (re-lol) n'avaient non seulement aucun sens (sauf précisément pour le service d'un mal autoprophétique), mais étaient encore délétères pour la santé publique, que « la Science » et son « Progrès » qui vous explique qu'une boxeuse est l'égale d'un boxeur, les calculs et raisons techniques sont en réalité relativement simples ici... Si vous observez une traînée visible derrière un avion, c'est que celui-ci épand des produits chimiques. N'en faisons pas ici l'inventaire, ni celui des différents types de traînées, pour nous contenter de dire que certaines sont persistantes et s'étendent, là où d'autres s'évanouissent plus rapidement. Le problème est total en ce que l'aviation civile est également concernée, par des additifs dangereux ajoutés aux carburants, raison pour laquelle vous pouvez observer certains avions commerciaux marqués par le sceau de compagnies aériennes que nous connaissons tous laisser des traînées dans leur sillage. Les traînées de condensation sont quant à elles si rares que certains contrôleurs aériens peuvent passer une carrière entière sans en avoir aperçu une seule (voir à ce sujet spécialement Russ Tanner ou Dane Wigington) ; c'est dire que beaucoup d'entre nous n'en ont jamais été témoins — bien que beaucoup d'entre nous de plus de trente ans pensent l'avoir été par le fait d'une entreprise acharnée de normalisation qui va jusqu'à manipuler vos souvenirs par retouche numérique de ciels de vieux films (mais qui se souvient seulement encore de Dresde ou du Vietnam ?), loin de se contenter d'insertions d'images de ciels de mort en tout lieu de l'imagerie actuelle. En plus d'une formation de condensation répondant de conditions physiques très strictes, devant réunir notamment une température de l'air ambiant très basse et une altitude élevée (à laquelle précisément les carlingues ne sont pas clairement identifiables, et sont souvent invisibles), les turboréacteurs modernes n'en produisent quasiment plus, et seulement dans des conditions extrêmes rarissimes...

La réalité de ces opérations, qui ne sont pas plus « climatiques » que ne sont « secondaires » les effets mortifères des injections covid (très logiquement, puisqu'ils ne sont, objectivement, ni indésirés ni inattendus, mais tout à fait primaires, c’est-à-dire voulus, prémédités quoique tout à fait indésirables pour les victimes — ce que ne marquent pas assez bien des « dissidences » bien trop prudentes et par là inefficientes), et qui suivent des méthodes de lâches (arroser par le ciel des gens sans défense) dont il faut certainement situer le modèle en Israël, est profusément documentée. Parce qu'être un homme, c'est d'abord rechercher la vérité, ne pas la trahir et rester intraitable au-devant de sa corruption, avant que de nouvelles lois en projet interdisent, comme pour d'autres sujets, de seulement le dire, et l'interdisent précisément parce que le pouvoir ne peut nous contredire et supporter un centimètre de débat critique avec le contradicteur d'intelligence, nous devons clamer haut que la réalité des épandages aériens de biocides ne souffre d'aucune contestation possible.

Essentiel aussi : nous tenons à préciser que la démonstration de cette réalité ne revient pas à de strictes considérations de physique atmosphérique, loin s'en faut. Son constat ne s'arrête aux écueils de la spécialisation des analphabètes technicistes (qui énoncent du « fake » ou du « hoax » avant d'avoir appris à lire dans leur propre langue) dans lequel le pouvoir cherche à faire choir et mourir tout débat d'idées. La physique atmosphérique, à trouver loin de Wikipédia, règle certes déjà tout de la question. Il en reste que celle-ci est explorable par diverses autres voies. Retenons-y seulement ceci. L'observation, le bon sens nous convient déjà à nous questionner sur la qualité de ces avions, que nous apercevons parcourir nos cieux à basses altitudes depuis la fin des années 1990 (et donc pendant que ladite et mal nommée « géo-ingénierie » était officiellement seulement au stade de « projet »). En deçà du fait qu'ils ne sont pas répertoriés mais clandestins puisqu'ils échappent aux radars des cartes du ciel, sans recours à la documentation extérieure et en l'occurrence aux cartes du ciel, ces avions nous poussent en effet déjà au questionnement puisqu'ils dessinent des trajectoires irrégulières, des courbes, parfois des cercles, se suivent de très près dans de mêmes couloirs, volent souvent groupés aussi, ou croisent la route d'avions qui dans des conditions atmosphériques identiques eux ne crachent rien, etc., et que nos yeux nous disent ce qu'ils nous disent sans nous mentir... Et sans anticiper la question de l'échappement de ces avions, cette simple question : « ces avions, que sont-ils ? », tout simplement, pose déjà un problème qui s'avère insurmontable pour les gardiens du mensonge politique, ce qui a encore été maintes fois prouvé : à cette simple question vous ne pourriez nous donner une réponse honnête — une réponse que vous nous devez, entendez-le bien — sans nous livrer par là déjà que ces opérations criminelles en effet existent. Cette simple observation-ci produirait lui aussi d'ailleurs, notez, exactement le même effet : si de rares jours de ciel bleu nous ne voyons pas ces avions, ou du moins en apercevons beaucoup moins qu'à l'accoutumée, dans de mêmes zones, faut-il en conclure que l'aviation civile ces jours-là est jetée en chômage économique ? (Question évidemment rhétorique, et d'ailleurs déclinable en différentes variantes : nous pouvons par exemple nous interroger, non sur leur présence ou absence, mais sur la grande variabilité des rythmes et des horaires de l'apparition de ces avions, par rapport à eux-mêmes et donc par rapport à ceux de l'aviation civile puisque nous devons comprendre a priori qu'ils n'en sont pas étrangers.)

Ces opérations qui remontent grosso modo à la Libération (bonjour novlangue) n'ont évidemment rien de nouveau, comme les forfaits de l'OTAN, et pour un public quelque peu conscient et instruit relèvent ou devraient relever du secret de Polichinelle. Mentionnons rapidement l’affaire du pain maudit du village de Pont-Saint-Esprit en France, ou plus explicitement celle de Porton Down dans les années 50 et 60 au Royaume-Uni : le gouvernement britannique a reconnu avoir pulvérisé des neurotoxiques, mortels même à doses faibles, dont le sarin et l'agent innervant VX, sur sa propre population, transformant de grandes parties du pays en un laboratoire géant pour conduction de tests secrets d’armes chimiques et bactériologiques. En 2002, à des curieux cherchant à savoir si de tels tests étaient toujours effectués, Sue Ellison, porte-parole officielle, répondit déjà par cette nonchalance à l'époque déjà inouïe : « ce n’est pas notre politique de discuter des recherches en cours ». Des quantités considérables de sulfure de cadmium-zinc furent déversées le long des côtes britanniques par des centaines d'opérations. Comme ce qui est raconté aujourd'hui au public, il avait été alors affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Et il fut dit admis à cette époque auprès d'un public curieux que l'objectif de ces opérations reconnues était de tester les effets de substances nocives sur les populations civiles, afin de mieux pouvoir les protéger en cas d'attaques ennemies ultérieures... Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfure de cadmium-zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage (concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient ou sont concernés par des épandages à la frontière russe occidentale...). Une course de 600 km permettait le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfure de cadmium-zinc. Bien que le gouvernement britannique (comme états-unien) ait — of course ! — affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde Guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Et il est aujourd'hui admis comme métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale et les lésions au foie. Le gouvernement britannique reconnaîtra aussi des tests à Dors entre 1971 et 1975, où sont également répandues des quantités massives de bactéries serratia marcescens, avec du phénol et un substitut de l’anthrax.

Peu avant le témoignage assez célèbre de Kristen Meghan, spécialiste de l'hygiénisme industriel ayant longtemps travaillé pour l'US Air Force, celui de Ted Gunderson, éminent agent du FBI responsable du bureau de Los Angeles lui aussi est décédé bêtement après avoir révélé au monde, dans un témoignage vidéo dont vous pouvez encore retrouver aisément la trace sur la Toile comme celui de la précédente, que les épandages aériens de produits toxiques étaient des poisons mortels déversés sur nous dans le cadre d’une opération génocidaire, que la situation n'est pas tenable et que nous avions tous la responsabilité d’en arrêter les coupables à n'importe quel prix. Entre tant d'autres encore, le professeur Ulf Schmidt, dans son ouvrage Secret Science : A Century of Poison Warfare and Human Experiments paru en 2015, et dans lequel il étend les opérations en Angleterre de 1939 à 1989, possibles grâce au concours de 21 0000 soldats, explique que les navetteurs du métro de Londres avaient été utilisés comme cobayes à une échelle beaucoup plus grande que ce qu'on avait pu penser jusque-là. Il est également aujourd'hui parfaitement reconnu (même par Wikipédia !) que les États-Unis ont effectué des tests similaires sur l’ensemble de leur territoire (« Large Area Coverage ») et que des opérations militaires d'épandages mortels ont été conduites entre 1949 et 1969 dans la région de la baie de San Francisco... En 1994, des avions militaires ont également délibérément aspergé de poison des villes américaines entières pendant de longues périodes, l'armée prétendant toujours vouloir tester des substances de combat avant qu'elles ne soient utilisées chez l'ennemi. Les conséquences de ce seul brouillard de sulfure de zinc et de cadmium ont été terribles et des enregistrements rapportent que la moitié d'une classe d'école primaire quotidiennement aspergée pendant trois mois de sulfure de zinc et de cadmium de façon ciblée, substances qui sont déversées aujourd'hui ici chez nous sur nos petits, en a péri, alors que l'autre moitié a souffert de graves maladies, de stérilisation parmi d'autres infirmités.

Un bilan sanguin approfondi révélerait chez vous, révélerait chez à peu près tout Européen, des taux de baryum ou de strontium, notamment, dépassant dix ou vingt fois les seuils supérieurs de tolérabilité, c’est-à-dire des taux extrêmement inquiétants, et bientôt létaux : à ce rythme, des pans entiers de nos populations seront gravement malades et mourants d'ici quelques années. C’est prévu, et ils nous le disent et nous narguent d'ailleurs sans plus se cacher dans un stupéfiant mépris, tout spécialement ourdi contre les « Gentils », c'est-à-dire vous et nous, et déjà bien avant ces odieuses bacchanales, affreuses messes noires satanistes des JO parisiens : « Je jetterai sur toi des impuretés, je t'avilirai, Et je te donnerai en spectacle — Nahum, 3.6 », verset de l'Ancien testament, qui ouvre Nope, film très récent qui ne raconte rien d’autre que l’histoire d’un ciel menaçant et de « nuages suspects », l’histoire d'une « force mystérieuse et meurtrière présente dans le ciel » qui décime les gens... Les objectivations des concrétudes du mal font froid dans le dos, à commencer par le plus effroyable : outre l'explosion du nombre de malades d'Alzheimer, ce mal apparaît chez des personnes de plus en plus jeunes, et d'ailleurs déjà des enfants... Alzheimer est à la définition de l'horreur, qui nous donne la mesure de la haine que nos élites nous vouent : ne plus se souvenir des êtres aimés, quoi de plus épouvantable ? Le lien entre Alzheimer et l'aluminium qui est massivement jeté sur nous est établi, comme celui entre ces opérations et l'état de sols encore parfaitement arables il y a quelques années à peine et desquels ne pousse plus aujourd'hui le moindre légume, et pour cause : ils contiennent des taux d'aluminium des centaines ou milliers de fois supérieurs aux normes généralement admises. La déformation de nos arbres, avec la disparition inquiétante des insectes, doit nous alerter sur ce qui arrivera demain à nos enfants que nous avons encore pu préserver si nous n'arrêtons pas cette folie aujourd'hui...

Le déni de ce qui est en train de nous arriver nous mènera à notre perte, après nous avoir conduits à notre déshonneur. Or, personne, aucun adulte valide, à l'aune de tout principe de morale assimilable, ne peut s'extraire de la réalité indéniable des déversements aériens quotidiens de biocides sur nos têtes ; plus personne n'a le droit de la nier et de ne rien y faire. Toutes les preuves sont produites et vous pouvez si nécessaire vous référer encore au dossier de l'ACSEIPICA ici présenté : « Alerte sanitaire et environnementale : Demande d'ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur les épandages aériens, grossièrement désignés par l'expression de « chemtrails », et les pratiques secrètes de géo-ingénierie en France ».

Des tentatives d'éclaircissement de ce gravissime problème auprès des gouvernements de la part d'élus : celle-ci par exemple, en 2009 déjà, du député fédéral Wouter de Vriendt. Bien que très souvent clairement présentées et argumentées, ces questions n'ont pourtant reçu jusqu'ici que des fins de non-recevoir, insultantes. Enregistrons au passage que ces réponses-là constituent d'ailleurs déjà un motif plein de rupture vis-à-vis de nos gouvernements et de leurs règles, le motif suffisant pour contester n'importe quel impôt devenant fatalement illicite, mais plus encore, l'ordre non seulement de nous en désinscrire, mais de les combattre, en ce qu'ils sont par ce déni-là, terrible, les officiers de l'empoisonnement en cours. Le message de l'eurodéputée allemande Christine Anderson, à laquelle faisait notamment écho, chez nous, Peter Mertens, n'était pas différent, lorsqu'en s'adressant au méphistophélique OMS et ses relais, elle a porté : « Nous vous ferons tomber, et nous ne nous fatiguerons pas tant que nous n’aurons pas atteint cet objectif ; alors préparez-vous ! ».

Certains prétendent que ces sinistres opérations dans nos ciels, dont mille et un résultats sont eux aussi parfaitement objectivés et aussi nets que ceux qui mettent en évidence que de l'oxyde de graphène est retrouvé (et volontairement versé) dans divers produits de consommation courante ou moins courante (dont anesthésiants dentaires), ou qui affirment que le fluor qu'une intensive propagande nous a invités à nous foutre dans le museau au moins trois fois par jour est tout à fait néfaste pour notre santé, représentent le plus grave crime contre l'humanité connu — de ceux bien authentifiés et non pas des cinématographies produites pour extorsion des biens communs. Nous aurions tendance à le penser si nous ne trouvions pas la formule un peu facile. Rien n'est pire que la pédocriminalité, aujourd'hui industrielle, et ces campagnes d'injections forcées de produits de mort pour tous, dont enfants et femmes enceintes, sont évidemment aussi épouvantables, qui méritent tout également notre révolte et la totalité de notre propos, aux raisons desquels l'empoisonnement par le ciel est d'ailleurs superflu. Ce qui est certain est que ce crime-là, opérant à une échelle encore inédite, concerne l'ensemble de l'humanité. Nous choisissons tout aussi certainement de vous parler de ces opérations d'épandages de biocides parce que le voilement de notre ciel et de notre soleil est un fait topique du contraste vertigineux entre le calme avec lequel nous continuons à vivre tranquillement et ce qui nous arrive de plus manifeste.

En tout état de cause, modulo quelques cas d'abrutis terminaux, prétendre que ces opérations qui reviennent à l'évidence n'existent pas, comme prétendre que nos églises qui ne cessent de brûler tombent accidentellement, ressort du déni ; or, le déni, qui ne peut être prêté à l'abrutissement seul comme nous le démontrons par ailleurs, est une faute grave, et une faute grave à plus forte raison pour un responsable politique. Personne ne peut se justifier par le fait qu'il ne savait pas ; personne, et certainement pas un élu, ne peut se retrancher derrière l'excuse qu'il ne savait pas...

Vous êtes attendu, et le temps presse. Nous sommes quelques dizaines de parents liés par OVDNS, et déjà des millions par le mouvement général dont ce timide collectif ne fait qu'épouser les formes, qui à de sérieux problèmes de santé qui se déclareraient chez nos enfants dont nous contrôlons les taux de métaux et de plastique dans le sang, vous demanderons des comptes, et plutôt personnellement, en chair et en os d'ailleurs, que par les ondes d'écrans interposés qui seront tôt dépassées parce que tout simplement peut-être interdites, nouvelle normalité oblige, au tout-venant...

L'heure est celle de toutes les vérités, libératrices, seules garantes et guides du geste juste. Ne mâchons aucun mot : nous écrivons moins pour tenter de convaincre qui que ce soit de voir le monde tel qu'il est, parce qu'il est bien trop tard pour cela, que pour secouer les habitudes, bousculer les consciences ; nous écrivons malgré tout pour accomplir notre possible, nous écrivons pour armer notre camp dans une guerre qui se livre à même les corps avec les âmes pour point de mire, nous écrivons pour rendre la vérité maniable comme une arme pour en appeler par le cœur des hommes aux raisons encore sommeillantes. Nous ne nous posons ni en victimes ni en plaignants, et s'il est assez inutile d’espérer que les pouvoirs publics puissent faire quelque chose pour nous, nous promouvons néanmoins une contagion de la protestation. Nous écrivons alors moins pour vous en particulier que pour le lecteur encore sensible que nous espérons croiser en général. Bernard Lugan qui voudrait lui investir la fonction de journalisme d’une formation au duel, favorable à l'élévation du mollusque commun du tertiaire à l'état d'homme, d'évidence le sait : l’honneur — et en réalité, par lui, tout le reste de ce qu’il nous manque — ne fait évidemment pas seulement défaut à la gent des argousins institutionnels, et c'est bien pour l'honneur avant tout que nous rendons ce témoignage. La recherche de la vérité comme sa promotion sont, encore et coûte que coûte, la mission fondamentale des hommes, des hommes qui en sont encore, malgré tout, et souvent envers et contre tout ; celle d'hommes qui comprennent que sans elle le piège totalitariste se refermera sur l'humanité sans ne plus lui laisser quelque possibilité d'en échapper... Or, pas plus que la nôtre, votre responsabilité, qui vous porte nécessairement et a minima à témoigner de ce que vous voyez, ne peut être diluée dans le néant collectif, et chacun d'entre vous, acteurs, est identifiable, localisable, pour Davos, mais encore alors également pour la résistance qui ne peut nécessairement que grandir. Vous n'êtes pas qu'un pion, et ne pouvez vous y maintenir, infantilement vous retrancher derrière l'illusion d'un État protecteur qui vous aura bientôt réduit à néant. Si nous ne sommes pas des anonymes face à nos intimes responsabilités, la lame de fond d'un mouvement social qui gronde et qui monte, et qui demain vaudra mille fois celui des Gilets jaunes, d'un mouvement inarrêtable, est quant à elle tout à fait impersonnelle.

Encore, peut-être parce que nous tenons en haute estime le principe de responsabilité, nous croyons moins en la conviction du plus grand nombre, au grand réveil collectif, ou à l’idée de masse d’éveil critique suffisante pour transformation politique profonde et durable que nous sommes acquis à l’idée du cygne noir, du changement par un petit et exemplaire nombre, celle d'une intervention courageuse décisive de quelques-uns d'entre nous susceptible de faire dérailler la machine, entraîner un ouragan collectif décisif, nous pensons surtout que cette question est secondaire vis-à-vis de celle des nécessités de notre engagement qui dépassent l'estimation des résultats, surpassent toute prospective...

Ce responsable de météo Belgique ci-haut présenté, en mentant comme un arracheur de dents dans cette réponse aussi mensongère qu'insultante, par le terrible crime qu'il couvre, celui de l'assassinat d'une population financé par ses propres deniers, à l'instar de ministres de l'Environnement ou de la Défense (plusieurs fois interpellés et qui ne nous ont réservé aucune réponse, ce qui est encore parfaitement inadmissible), représentants politiques qui laissent agir impunément nos empoisonneurs, ne mérite, droit d'exception ou non, que le châtiment le plus lourd, exemplaire, le tribunal de la vindicte populaire, et en tout cas une justice immanente que tout homme juste à en ligne de mire, qui ne dépendra pas de la décision de quelques-uns, mais qui emportera ses adhésions par les effets d'un retour concret et intrompable du réel et du trop-plein de ses incessantes négations. Chacun d'entre nous devrait répondre à ces menteurs criminels autant pour une question de dignité, de respect de soi, de propreté morale que pour un refus nécessaire de l'abjection, bien avant de la motivation décidée de chercher à convaincre (chose et mode de vendeurs, peu de virilité) ; chacun d'entre nous aura à répondre de ses actes.

Nous pensons avec le Comité invisible qu' il n’y a pas d’insurrection pacifique, que les armes sont nécessaires et qu'il s’agit de tout faire pour en rendre l’usage superflu : « Une insurrection est davantage une prise d’armes, une "permanence armée", qu’un passage à la lutte armée. [...] Quand le pouvoir est dans le caniveau, il suffit de le piétiner. Dans la distance qui nous en sépare, les armes ont acquis ce double caractère de fascination et de dégoût, que seul leur maniement permet de surmonter. Un authentique pacifisme ne peut pas être refus des armes, seulement de leur usage. être pacifiste sans pouvoir faire feu n’est que la théorisation d’une impuissance. Ce pacifisme a priori correspond à une sorte de désarmement préventif, c’est une pure opération policière. En vérité, la question pacifiste ne se pose sérieusement que pour qui a le pouvoir de faire feu. Et dans ce cas, le pacifisme sera au contraire un signe de puissance, car c’est seulement depuis une extrême position de force que l’on est délivré de la nécessité de faire feu. » C'est dire que nous ne menaçons personne, mais que nous ne faisons que répondre légitimement aux menaces actives portées contre nous : vous ne nous y trompez pas et, bientôt, plus personne en bas ne se laissera plus abuser par l'insupportable chantage idéologique, celui des infâmes stratagèmes d'en haut dont l'anathémisation des expressions de la violence réelle et des haines qui les animent par des êtres et obédiences qui vous, politiques, vous méprisent autant que nous, sinon plus...

Nous sommes nous-mêmes notamment parents d'un robuste petit garçon qui à moins d'un an de vie a dû être plongé dans un coma artificiel pour insuffisance respiratoire sévère, pour la bronchiolite qui était confidentielle et surtout bénigne avant le tournant 2020 à partir duquel, comme la dyspnée, elle est assez subitement devenue commune (allez savoir pourquoi...) comme toutes ces « allergies » et toux sèches chroniques tombées du ciel... Ne sont amendables, pardonnables ceux d'entre nous qui s'inscrivent dans le juste chemin de la rédemption (celui qu'un vacciné ne peut plus manquer de reconnaître), et qui, en dépit du choc et des effets de stupeur que doivent produire des opérations telles le covidisme (épinglons-y le transgenrisme, expression capitale du satanisme marchand et de son emprise sur nous par notre dépossession là la plus complète) sur nos psychés, nous avons ce devoir de briser nos paralysies, d'abord mentales, que rien, qu'aucun prétexte au statu quo ne peut venir justifier jusqu'à ce point.

Par tous ces états de fait et les commandements de l'enseignement lumineux de notre Christ nous marquons notre droit, qui se commute en devoir et un devoir sacré lorsqu'il s'agit de se battre pour la vie et l'avenir de nos enfants, de combattre nos empoisonneurs, de descendre ces avions, leurs pilotes et commandants, tous les professionnels de l'aéronautique qui n'ont pas pu manquer ces opérations immanquables, celui d'arrêter ces démiurges vaccinolâtres avant qu'ils ne nous tuent, de démettre tous ceux qui par leur intolérable démission les permettent, de stopper par tous les moyens cette indigne flicaille qui elle ne se prive d'aucun et qui a déjà commencé à tirer sur les foules (si nous prenons expressément 2018 comme repère récent et l'épisode marquant de la chasse ouverte du prolétaire indigène par tir LBD), sur la population désarmée, avec tous ces agents qui permettent et encouragent la destruction de nos fils et filles, par plannings familiaux ou recours à des proxies immigrés ilotes amenés et activés pour cette cause par des empoisonneurs de puits, diviseurs, semeurs de guerres et de chaos qu'aucun antiracisme déliquescent ne peut plus davantage, à vous autant qu'à nous, interdire du devoir de nommer...

Nous sommes tous soumis à l'impérieux devoir de sortir du rang, de nous manifester, de faire entendre notre voix dont le monde doit d'abord percevoir le cri, l'impérieux devoir de combattre...

Madame, Monsieur le ministre, le député, le sénateur, le bourgmestre, le conseiller municipal ou provincial, le maire ou le bourgmestre, l'élu ou l'élue quel que soit votre titre, par et surtout par-delà votre fonction, vous êtes invité à répondre à cet appel, et à tout faire pour arrêter ces opérations de mort, leurs commanditaires comme leurs petites mains, leur système — et au besoin de cette noble entreprise mettre votre peau sur la table.

Nous pouvons répondre à n'importe quelle de vos questions honnêtes, n'importe laquelle sans exception, et nous vous demandons impérieusement d'agir ; et d'agir avec ou sans nous, peu importe, mais d'agir pour le vivant, pour nos innocents petits dont nous ne tolérons pas la souillure.

Sincèrement,
le Collectif OVDNS

Aix-les-Bains, Savoie, 5 juillet 2024