Du mouvement : messages à l'ACSEIPICA et Claire Henrion — un avant et un après expérience de militantisme quant au positionnement à prendre

Le 8 mai 2023

Bonjour Madame Henrion,

Permettez-moi cette relance, après laquelle j'estimerai que vous considérez notre communication comme indésirable.

J'ai réécouté votre émission à Meta TV, qu'intègre d'ailleurs la plateforme, avec un certain Philippe, dont les coordonnées m'intéresseraient. Est-il toujours du combat, ou du moins de la partie ?

Vous mentionniez aussi deux pilotes de vos connaissances. Êtes-vous toujours en contact avec eux ? Il me semble primordial d'en connaître, pour les atteindre. Je vous saurais également gré de m'indiquer leurs coordonnées ou à défaut des façons d'en atteindre d'autres. S'il y a bien des personnes à atteindre, par toutes les façons possibles, des actions concrètes à réaliser vis-à-vis de ces avions a priori (mais a priori seulement inatteignables), c'est, entre autres, à cet endroit !

De mon côté (et j'aimerais pouvoir dire « notre »), si j'en trouve la possibilité je ferai imprimer un A4 en quelques centaines d'exemplaires pour du toutes-boîtes dans ma commune afin de rassembler un maximum de monde autour d'une requête déjà envoyée au bourgmestre...

Laissez-moi vous rappeler ici que je me propose comme relecteur (en langue française, je suis l'un des tout meilleurs, c'est ma spécialité) de l'importante requête que vous voulez introduire, et que j'aimerais en tout cas pouvoir suivre.

Mais plus important donc, je crois, cette porte que j'ouvre encore : ne voulez-vous résolument pas vous inscrire dans un échange confidentiel entre moi et avec quelques personnes désirant concrètement s'en sortir, dans lequel nous pourrions (i)par exemple(i) commencer par nous parler des thérapies que nous suivons pour biologiquement résister à ces attaques ?

Je suis peu procédurier et j'oubliais ce qui est peut-être essentiel pour vous, et dans tous les cas inoffensif de mon point de vue : si cela peut changer quoi que ce soit à notre action réelle, veuillez s'il vous plaît m'indiquer comment je peux devenir membre de votre association.

Enfin, remarque à contretemps vis-à-vis de votre passage à Méta TV chez notre regretté Tépa. Vous réagissiez avec véhémence vis-à-vis de votre associé qui vous sembla manquer de précision sur telle ou telle donnée technique. Hier, mais aujourd'hui à plus forte raison, je ne crois pas qu'il faille exiger chez nous une précision absolue, ne pas nous ménager l'espace pour quelque faille, là où précisément le camp d'en face est absolument nul. La réalité des épandages est d'une objectivité absolument éclatante et indiscutable et à cette réalité ne s'opposent en réalité que le farouche déni de la malhonnêteté (et de la malhonnêteté d'abord, quels que soient les rapports qu'elle entretient avec la bêtise). Face à celle-ci, il ne s'agirait pas de se justifier jusqu'à la moindre virgule. Cette justification-là, comme celle que vous pourriez apporter à une attaque antiraciste contre votre personne, ne suffirait de toute façon pas encore à tempérer les ardeurs de l'assaillant, qui n'en est pas à la raison... C'est pour cela que je prétends que ne pouvons en rester sur ce plan, formaliste, formel. Notre combat doit être en partie physique, et viril (à ce titre, bien des femmes montrent l'exemple aux hommes qui n'en sont plus). Il doit être exemplaire et, pour toute partie, au moins un peu sacrificiel. Notre message doit porter l'invective, secouer les têtes et les consciences. Répondre à l'infini à la balourdise, la malhonnêteté et la laideur (qui consiste à nier que nos enfants sont empoisonnés) et par là aux provocations d'État par la réclamation et le poli mot revient finalement à la collaboration. Dans un même ordre d'idée, il s'agirait de faire voir l'énormité et la totalité du mensonge politique plutôt que de le fragmenter dans l'espoir de ne pas heurter. Je disais récemment à des gens qui s'activent contre l'implémentation prévue d'une immense usine de recyclage du plomb dans la région montoise pas loin de chez moi qu'il était idiot de reprendre la phraséologie écologiste à ses propres intérêts, et en particulier à prétendre que cette activité en plus de polluer gravement et diversement l'air, les sols et les eaux, ne « contribuerait pas à la réduction des émissions de gaz carbonique », là où le gaz carbonique comme facteur du « réchaufemment climatique » est une imposture, parfaitement démontrée, et une imposture royale qui doit, à un certain niveau en tout cas, justifier les activités de géo-ingénierie.

À vous lire.

Le 12 avril 2023

Bonjour Madame Henrion,

Je ne sais pas dans quelle mesure vous jugez utile de poursuivre ces requêtes parlementaires. Quel résultat depuis vingt ou trente ans ?

Sans prétendre détenir la vérité, je crois que leur utilité est réelle, mais indirecte : celle de la publicisation, et donc de l'information du public, et non celle de quelque espoir à entretenir de décision politique. La demande d'action par le politique ne revient en effet pas à autre chose qu'à demander merci à son bourreau : c'est une démarche de passivité, de soumission (qui nous renvoie fondamentalement au substrat de notre assujettissement). La publicisation, qui requiert toute l'attention d'un Dane Wigington, ne peut toutefois, pour ma part toujours, mobiliser l'essentiel de notre attention. S'il demeure important de parler autour de soi, je ne pense pas que l'étincelle doive se produire par l'« éveil d'une masse critique suffisante ». Du moins, en attendant cette étincelle, et davantage qu'en l'attendant, mais en contribuant à son événement par ces missions d'information à ne pas délaisser (et qui devraient porter la marque de notre colère), je crois surtout que nous devons, entre personnes bien conscientes de ce qui se joue ici, faire ce que nous pouvons, ou devons, pour sauver nos fesses... Par des actions concrètes d'avancée, nous donnons par ailleurs le meilleur exemple, faisons la meilleure publicité qu'il est possible de faire quant aux réactions que devraient éveiller chez nous les chemtrails. Et celles-là débutent certainement à cette interrogation-ci : que faire (d'autre que d'informer) ?, en ouvrant la vie aux délibérations quant aux termes de la définition du combat...

Pour ma part, et avec ceux qui voudront bien me suivre, c'est ce que je m'applique à faire dès aujourd'hui : avancer et dégager les moyens de l'avancement. Tout est donné à ceux qui veulent savoir, et je crois encore que ceux qui ne veulent pas savoir restent ignorants d'abord par choix, et que, conséquence directe, et à partir du moment où nous pouvons avancer en petits comités volontaires, décidés à vivre, ils ne méritent pas non plus que nous nous usions jusqu'à épuisement pour eux (qui, ça n'est pas rare, poussent le vice jusqu'au ricanement, qui est à la lettre insupportable).

Je ne veux plus donner aux emplâtres, donner de la confiture aux cochons, parce que ma vie et surtout celle de mes enfants sont trop importantes. Pour tout vous dire, je me désinscris des groupes de discussion (de discussion exclusivement...) qui, enlisés dans d'identiques et immuables logiques de paresse et d'assistés (attendre de l'autre plutôt que de faire soi-même), nous maintiennent dans les énergies basses, en ressassant à qui mieux mieux les mêmes idées, postant et repostant les photos du ciel que nous connaissons depuis vingt ans.

Donc, j'avance et serais heureux d'entendre la réponse que vous donnez à ces questions et de savoir ce que vous faites indépendamment de l'information, pour que nous y avancions ensemble.

Tout cordialement.

Le 3 janvier 2023

Chaleureux bonjour à tout le monde,

C’est sur l’invitation de Madame Claire Henrion que je m’adresse à vous par ici, après que je l’aie contactée pour lui suggérer ma collaboration active.

Il s’agit précisément pour moi et mon entourage, ou du moins un entourage qui commence à grandir et se mobiliser sur cette même idée centrale que nous ne pouvons plus rester prisonniers des constats et images déjà réalisés mille fois pour seulement y demeurer (et y mourir) comme commentateurs, de faire tout ce que nous pouvons pour nous sauver — entreprise qui pourrait radicalement revenir à prendre le terme à sa dimension physique : partir...

www.inmediares.be/ovdns où je tente de rassembler l’essentiel (cf. section de ressources) présente donc, dans le corps du texte ou en téléchargement, plusieurs dizaines de mes photographies de ces épouvantables ciels artificiels, dont je joins deux articles à ce message... Je pourrais encore y afficher des dizaines ou centaines, qui ne représenteraient d’ailleurs rien par rapport aux millions d’images et de documents qui y ont déjà été produits. Cassons cette boucle d’information stérile, désertons les logiques dociles de la manifestation (encadrée) ; et ne tentons plus d’informer, de sauver ceux qui ne veulent pas voir... Il est temps de se battre, sur un plan également physique, il est temps de bouger, de frapper, ou il ne sera jamais plus temps pour rien, et d’abord pour nos enfants.



Cette page (comme ce message même...) n’échappe pas tout à fait à la logique dont elle veut se débarrasser, puisqu’elle propose une énième branche d’information à un corpus mondial qui en comporte déjà des milliers. Elle a cependant, a minima, ce double avantage : elle s’inscrit dans le souci d’agrégation des forces, et son message, sans pouvoir se désinscrire de cette logique d’information, est bien celui de l’action concrète, du combat — c’est-à-dire se battre ensemble.

Des cent choses à faire ici, à côté de la solution de départ dont se renseigner sur les destinations plus clémentes possibles, c’est notamment (au-devant de ces toux sèches patentes de plus en plus nombreuses), de guetter les signes cliniques du déclin, surtout chez nos petits, afin d’y former les signes d’alerte critique, qui seront l’appel du départ, ou du combat à mort ici...

Bref, tout est dit sur OVDNS, et je vous invite donc à me contacter, par l’adresse laissée sur la page mentionnée de préférence, pour communauté fonctionnelle (qui ne doit, ni d’ailleurs peut-être ne peut, être étendue, précisément pour être fonctionnelle).



À toutes fins utiles, voici un lien peut-être un peu plus pérenne que les liens Youtube de cette terrible mais remarquable pièce documentaire qu’est Bye bye blue sky : www.inmediares.be/ovdns/dl/bye-bye-blue-sky.mp4


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PS : Le fichier ZIP ci-joint contient quelques clichés récents de ces avions que l’on voit fréquemment, qui visiblement ne volent pas assez haut pour être des avions de ligne et dont le sillage ne me fait pas penser aux « contrails » [dont j’ai un souvenir déjà lointain : la retorse entreprise de normalisation du mal agissant contre nous tous sans exception, puisque je connais comme vous des septuagénaires qui me disent sans ciller que les « chemtrails » sont les traînées de condensations qu’ils ont « toujours connues »], sans pour autant qu’ils ne laissent de traces persistantes. Que sont-ils exactement ? J’ai le vague souvenir que quelqu’un (Claire Séverac peut-être) disait que ces épandages qui ne laissent pas de trace sont les pires... Quoi qu’il en soit, vous l’aurez compris : cela n’est pas, cela n’est plus le plus important.