Droit au but, tremplin au combat : franc message aux irrésolus de bonne foi et proches « non convaincus » comptant à notre sauvegarde...

Note d'intention

« Placés entre le feu de ceux qui aiment et le feu de ceux qui haïssent, il faut prêter main forte aux uns ou aux autres. Sachez-le donc ! ce n’est pas à l’homme en général, c’est à vous en particulier que l’appel est fait ; car toutes les forces morales, intellectuelles, matérielles, qui se trouvent à votre disposition, sont autant d’armes que Dieu vous a mises dans les mains, avec la liberté de vous en servir pour lui ou contre lui. Il faut vous battre ; vous vous battez nécessairement. Il ne vous est laissé que le choix du camp. » Ernest Hello

« Il y a ceux qui ne se révoltent jamais et laissent couler la vie, indifférents au sort des humains et parfois même aux injustices dont ils sont eux-mêmes victimes. D'autres vivent des moments de révolte, mais, incapables de lui donner un sens, ils ne peuvent traduire leur révolte en actions ou en lignes de conduite. Et puis il existe de rares personnes qu'on dirait nées avec un besoin si aigu de justice, d'équité et de bonheur qu'il leur est impossible de ne pas vivre en état de révolte permanente. On pense souvent que ces hommes révoltés vivent tristement, occupés qu'ils sont à sans cesse dénoncer les injustices, et qu'ils ne peuvent jouir des beautés de la vie. On se trompe. L'homme révolté, pour parvenir à l'équilibre sur la corde raide de la critique permanente, doit croire profondément au bonheur et à la beauté des choses. C'est parce qu'il est profondément inspiré par la beauté et le bonheur qu'il en fait sa revendication incessante. » Gil Courtemanche

Le refus des épandages aériens de biocides, de l’intoxication par le graphène et la chitine ou de la pollution électromagnétique lourde (« 5G »), plus que celui de notre mort lente, est le refus total, qui ne distingue pas entre ces causes, de notre acquiescement à son programme, et du terrible abaissement moral que cet acquiescement implique et par lequel ce programme peut dérouler sans avoir à se cacher.

Nous devons comprendre la multitude des maux qui nous oppriment par leur dénominateur commun : notre très grande tolérance envers les mécanismes de leur accablement. Par là, par cette remise en question de nous-mêmes qui est ici engagée et convoque primairement la décence comme la dignité, nous devons encore comprendre que notre combat sera total ou ne sera pas...

Or, si la limpide évidence de poisons quotidiennement aéroportés ne suscite pas davantage l’émotion du plus grand nombre que celle de la famine organisée par la destruction de nos réserves agro-alimentaires (« la France n'a pas de stocks alimentaires stratégiques », prévenait Christiane Lambert du FNSEA, les Pays-Bas ont forcé l'arrêt définitif de plusieurs milliers de fermes, et tous nos alliés suivent le même chemin d'auto-destruction), l’horreur de la sexualisation, du vampirisme et du commerce des enfants, qui renvoie à l’anecdotique n’importe quelle autre question, doit capter la nôtre : ce sont d’abord pour eux que nous devons réagir.

Sérum d’« immortalité » par adrénochrome : obtenu à partir de la glande surrénale d'enfants vivants après qu'ils aient été terrorisés et torturés pour obtenir les plus hauts niveaux d'adrénaline dans le sang... Il nous faut tous au moins une fois dans notre vie nous confronter aux dossiers noirs de la pédophilie industrielle, la rendre dicible, pour prendre la mesure de l’horreur de ce monde à laquelle personne ne peut échapper par le déni. Le choc qui doit en naître (ou qui risque alors de ne jamais se produire) nous amène de façon assez sensible à la saine réalisation que notre passivité relève — avec la façon dont nous conduisons nos vies confisquées — du choix, et qu’il n’y a guère de positions intermédiaires entre, d'un côté, notre silence et notre association au crime et, à l'opposé, notre violente dénonciation et notre action déterminée contre son malheur... Le court texte que je vous livre ici a pour but de faire un peu avancer cette idée. Je vous aurai en tout cas à peu près tout dit et celui-ci, dont la lecture plus que recommandée est à peine moins qu’obligatoire, se pose en synthèse de l’ensemble.

Aussi tenais-je à marquer que la présence chaleureuse et le soutien aimant de ma famille proche n’échappe ni à mon attention ni à ma reconnaissance, mais encore à ajouter que la situation demande de nous davantage que le traitement des affaires courantes, qu’elle nous tire des temps paisibles et arrêté des décennies (du consommateur) d’après-guerre, et nous intègre à une dimension nouvelle...

Pénuries alimentaires, pillages, émeutes... Nous allons devoir faire face à un environnement hostile et la vie urbaine va devenir un cauchemar. Des pillards venant de toutes parts menaceront biens, liberté et même la vie de nos proches. Nous avons assisté à des phases de panique pour l'accumulation des rouleaux de papier toilette lorsque le gouvernement a décrété que nous devions prendre quelques mois fermes en nous assignant à résidence, et à des bousculements et actes de violence physique lorsque le pot de Nutella était en promotion dans les supermarchés : qu’en sera-t-il en période de manques alimentaires et énergétiques durables ?

Nous devons faire face à la réalité — élémentarité du courage. Des pistes sur lesquelles nous avons déjà beaucoup réfléchi sont données par la plateforme, où il vous suffira de vous laisser guider.

Il existe des stratégies pour la sécurité de notre intégrité physique peu chères (quelques outils et non des milliers d’euros d’armement). À notre autonomie : comment mettre un pied hors du système pour avoir la possibilité de s’enfuir si la situation s’aggrave, comment s’expatrier partiellement ou totalement, même avec un emploi ou un crédit ici ? Même sans intention directe de partir, il reste vital de préparer une issue de secours. (Voulons-nous tout simplement continuer de vivre avec des gens qui sont prêts à reporter le masque aussitôt que le gouvernement leur parlera de huitième, neuvième ou dixième « vague » ?) Pensons encore ou surtout à notre coordination, et fondamentalement notre entente, pour la mise en place d’une préparation effective, laquelle ne peut manquer le circuit court, le contact avec la famille, les voisins, l’entourage...

Combattre revient peut-être à ne pas dépenser notre énergie en réaction aux stimuli de la menace, mais à la mobiliser par des actions plus positivement dirigées ailleurs, à tout autre chose que cette menace et dont la valeur d’exemple serait pleinement affirmative, dans une forme de refus fondamental de participation au mal qui consiste à ne pas s'en occuper. Je ne sais pas, je cherche, nous cherchons... Combattre revient en tout cas peut-être encore à bien d’autres choses, sans doute à s'employer à susciter un tout autre monde au lieu de s'abîmer à tenter de faire changer leurs lois, et certainement à faire face (ce que l'on réprime s'imprime ; ce à quoi on résiste persiste ; ce que l'on fuit nous poursuit ; mais ce à quoi l'on fait face... s'efface), et par conséquent à une démarche active. Combattre reviendrait encore plus certainement encore à cette étape fondamentale qui est d'établir le contact. Le dialogue, la recherche et nos avancées ne dépendent que de notre disposition à notre association.

Or çà, si nous pouvons en quelque affaire admettre des limites parfois étroites chez les uns ou les autres, lorsque nous ne fuyons pas l'égotisme des indésirables qui ne croient qu'à eux-mêmes et donc en rien, à partir d’ici je ne je ne pourrai pas tolérer cette inaction fondamentale, qui est la désinscription à ce dialogue, qui consiste à sa non-reconnaissance, à ignorer cet appel, à rester immobile dans ce monde désenchanté dont la laideur morale et esthétique va croissant, au rythme des « gisements de croissance » à débusquer et épuiser. Et c’est triste que je ne peux cacher le constat du manque criant d’engagement, et dans la famille... De ces gestes qui ne coûtent rien, que telle ou telle information digitale n’ait pas été transmise à des milliers de gens est autant anormal que ceux qui parmi vous n’ont pas d’emploi à temps plein ou la garde de jeunes enfants n’aient pas pris quelque risque sur les actions les plus solidement attendues, en plus d’actions évidentes et finalement peu engageantes telles que celle-ci ou celle-là, décidé de nous accompagner et de nous proposer leur aide dans les missions que nous entreprenons sans attendre, comme celle-ci ou celle-là, ou seulement pris une heure de leur temps pour aller déposer une plainte, ou interpeller un Procureur du roi...

C'est en effet d'abord pour ma famille que je produis cet effort, que j’ai formé ce texte et le message fondamental qu’il rapporte et répète, celui de la responsabilité qui nous engage tous, sans exception, et qui sera réputé connu par tous ceux que je pourrai considérer comme proches. C’est à nos proches que nous disons qu’il ne peut plus être admissible qu’ils ne s’enregistrent pas, bon gré mal gré, non dans un plan acté de résistance et de survie, mais seulement en tant que volontaires à son édification.

En saine compréhension du sens sacré que revêt le terme de famille, j’y associe tous ceux qui choisissent de combattre, avec moi — avec nous — et qui dans l’importance de ce combat à mener à nos côtés l’intègrent alors naturellement.

Par ce texte assez court que je vous demande, et que je demande d’abord à ma famille de lire, je désire également répondre le plus incisivement que je puis à ceux qui parmi vous, et que je croise tous les jours, me disent (encore : sic) « ne pas être tout à fait convaincus », soit par la réalité, soit par la dangerosité des épandages de biocides de l’OTAN — ou celles, derrière ce faux doute souvent opportunément entretenu, certes de notre empoisonnement à canaux multiples, mais encore de notre soumission à cette misère. Nous les prenons cependant en plein museau depuis le début des opérations de la grande réinitialisation et sa mystification « covid-19 », accélération de l’agenda du « développement durable » déjà bien énoncé au « sommet de la Terre » au Brésil en juin 1992 et qui, par ses différents honteux « passeports » nous vend d’abord — ce que personne au monde ne pourrait contredire auprès de toute tête pensante — notre propre élimination, en cours. Le fait des attaques (inflationnistes) dont nous (les « inutiles »), sommes les cibles, vaccinales ou météorologiques, est une évidence, mais une évidence qui ne l’est visiblement pas pour tout le monde. Et si elle ne doit pas l’être pour tout le monde (beaucoup ignorent jusqu’à l'idée, pourtant évidente elle aussi, que le Gentil se rend de lui-même à l’abattoir), elle doit nécessairement l’être ou le devenir à l’intérieur des familles qui visent leur préservation, aspirent à la vie. Ce message est bien celui que la dimension de combat, existentiel, que nous devons faire prendre au train-train de nos existences est avant tout une affaire de reconnaissance, de disponibilité, de réponse aux siens, de réponse à son appel et à son devoir. Notre première vertu est à ce courage-là, où nécessairement commence tout destin de lutte.

Arrêtons de nous cacher, faisons face à l'adversité ! Les enfants de six ou huit ans d’aujourd’hui, ayant été obligés de porter un masque des journées, semaines et mois entiers et qui ont tenté de mettre fin à leur vie par étouffement, et qui y sont parfois parvenus, seront surpris de constater, à l’âge adulte, que les coupables courent toujours, que nous ne les avons pas punis... Nos enfants, nos enfants d’abord, demandent, réclament, exigent notre activité, notre contribution active, combattante, que chacun d’entre nous avance — que chacun fasse son possible pour rendre sa part de soleil au monde. Il n’est jamais trop tard pour commencer à faire quelque chose (pour les autres). Aujourd’hui est un autre jour et il faut commencer dès maintenant. C’est l’ici et le maintenant qui importent ; il n’y a pas de c’est trop tard. Combattants, soyons par là et avant tout des compagnons. Soutenons-nous, aidons-nous à déployer nos forces. Notre première reconquête est celle des déconfinements. Que les mots s’ouvrent et qu’ils soient répétés vingt fois.

Et notre effort à l’avenir ne visera plus que les vivants.

Cette CHOSE est arrivée il y a seulement un an...

Prolégomènes à la passivité : soumission généralisée au mensonge

« Quand la violence fait irruption dans la vie paisible des hommes, son visage flamboie d'arrogance, elle porte effrontément inscrit sur son drapeau, elle crie : "Je suis la violence ! Place, écartez-vous, ou je vous écrase !" Mais la violence vieillit vite, encore quelques années et elle perd son assurance, et pour se maintenir, pour faire bonne figure, elle recherche obligatoirement l'alliance du mensonge. Car la violence ne peut s'abriter derrière rien d'autre que le mensonge, et le mensonge ne peut se maintenir que par la violence. Et ce n'est ni chaque jour, ni sur chaque épaule que la violence pose sa lourde patte : elle n'exige de nous que notre obéissance au mensonge, que notre participation quotidienne au mensonge et c'est tout ce qu'elle attend de ses loyaux sujets. Et c'est là justement que se trouve, négligée par nous, mais si simple, si accessible, la clef de notre libération : le refus de participer personnellement au mensonge ! Qu'importe si le mensonge recouvre tout, s'il devient maître de tout, mais soyons intraitables au moins sur ce point : qu'il ne le devienne pas par moi ! » (Vivre sans mentir, Alexandre Soljenitsyne, 1974)

La troisième guerre mondiale a commencé depuis longtemps, et ce n'est pas une guerre horizontale, mais une guerre verticale, de classes. Une guerre opposant fondamentalement un conglomérat de flibustiers cosmopolites anonymes et hors-sol aux peuples et leurs nations enracinés, qui portent encore un nom...

La seule chose qui permet au mensonge d'exister en effet est notre participation à celui-ci. Que tous les hommes, ou du moins une partie d'entre eux, lui tournent le dos et le mensonge cesse d'exister. Et ainsi se perce une brèche dans le cercle imaginaire de notre inaction. Cela ne veut pas dire qu'il faille se rendre sur la place publique pour proclamer à grands cris la vérité, et dire tout haut ce que nous pensons tout bas... Non, nous ne sommes plus capables d'une telle chose, qui demande une force morale que nous n'avons plus. Orwell disait qu'« en ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ». Soljenitsyne ne va pas si loin. Ne pas mentir, ne pas propager le mensonge est déjà un acte révolutionnaire en soi. Si nous ne sommes pas capables de prononcer tout haut ce que nous pensons tout bas, refusons au moins de dire (et par là déjà supporter) ce que nous ne pensons pas...

Notre voix ne peut soutenir le mensonge. Or, nous sommes à peu près tous conscients de la frontière au-delà de laquelle commence celui-ci. Ne renforçons donc pas l'écaille de l'idéologie, et voyons rapidement le mensonge tomber de lui-même. Si nous ne sommes pas capables de dire que le roi est nu, refusons au moins de dire qu'il est paré de beaux habits.

Ainsi, chacun d'entre nous est placé devant ce choix : ou bien demeurer serviteur conscient du mensonge, ou bien considérer que le moment est venu de se secouer, et de devenir une personne honnête, digne d'être regardée par sa famille, considérée par ses amis, admirée par ses contemporains, digne d'être retenue et convoquée par la mémoire des hommes.

Ici commence un véritable travail d'ascèse spirituelle, morale. Rompre avec le mensonge passe par un effort volontaire de purification intérieure, nécessite un authentique effort d'intransigeance. Cet exercice rend la vie difficile ; tout, jusqu'aux leçons de l'école, est corrompu par l'ordre du mensonge. Pour devenir homme honnête, il n'y a cependant pas d'échappatoire. Pour être du côté de la vérité, il faut être prêt à la servir.

Notre déclin, civilisationnel, d'êtres, n'est pas différent de celui de notre courage. « Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant-coureur de la fin ? ». Le règne de la médiocrité dans laquelle nous sommes tombés est d'abord celui de notre aberrant conformisme à l'orthodoxie, pourtant étouffante et inacceptable du plus sensible point de vue.

Notre banqueroute collective n'engage pas seulement le manque de courage et la paresse, mais est centralement encore une question d'abêtissement hypnotique et de vanité...

Le constat n'est pas défaitiste, décliniste. Le sursaut est possible. Il est d'ailleurs encore nécessaire... Le sentiment d'impuissance, les inclinations apprises au statu quo, au report, à la délégation, à la déresponsabilisation, sont hostiles à l'homme et son élévation. Or, le salut ne peut pas venir d'ailleurs que de nous-mêmes...

C'est une voie ouverte, déjà tracée et décorée de valeureux exemples à reprendre à l'ignoble censure. Les hommes et les femmes qui refusent ces compromissions en faveur de la vérité sont là et agissent depuis des années. Et si nous nous joignions à eux, notre civilisation serait très bientôt méconnaissable.

Nous pouvons changer les choses. Nous nous mentons à nous-mêmes pour nous tranquilliser, nourris d'apathie aux hideuses et faussement réconfortantes mamelles de Mère-État. Or, avant même de porter une action minimale sur le monde, telle que l'information, la chose la plus vitale que nous devons accomplir est de résister aux sirènes du mensonge. Désertons tout lieu où nous le percevons, dans le refus décidé de notre participation à ses diverses et innombrables manifestations...

Et voyons encore que la plupart des applications du mensonge est d'abord à trouver dans ceux que nous faisons à nous-mêmes. Bien moins rares que ceux que nous proférons explicitement pour les autres : les mensonges continus, poursuivis, avec lesquels en nos fors intérieurs nous transigeons, quotidiennement, dans l'abaissement servile de nos existences domestiquées, en pensant que nous ne sommes ni vus ni jugés pour nos faits et gestes que nous ne pourrons pas assumer...

Notre empoisonnement en cours face à notre conscience

Les chemtrails, avant d'y croire, on les voit...

Là où elle figure sur la Toile, la photographie ci-bas d'un château de la Loire récolte une multitude de commentaires, souvent dithyrambiques, quant à l'extatique magnificence de l'édifice ou du lieu, de leur saison ou des perspectives de leur capture, sans qu'aucun commentateur ne s'émeuve — comme pour toute autre image présentant ce décor céleste-là — quant à l'éléphant assis au milieu du salon : cet apocalyptique ciel et ces tracés de mort...

Château de Villandry, en Indre-et-Loire, au petit matin du 3 mars 2023...

Le constat, certes édifiant, devient compréhensible à partir de ce que nous venons de dire avec Alexandre Soljenitsyne. Cette cécité procède de cette intime et honteuse collaboration avec le mensonge dont il est le résultat. Sauf chez de relativement rares débiles cliniques, excusables parce qu'incurables, il ne peut s’agir que de cela : une décision de ne pas voir, et en l'occurrence la réalité meurtrière tapie derrière les tromperies (et prophéties auto-révélatrices, ditto : « great reset »), éhontées fumisteries du réchauffisme et de la décarbonation...

Or, si la paresse individuelle à la limite explique que beaucoup d'entre nous puissent gober d’autres énormités et objets de mythes, comme celles matériellement non directement perceptibles par nos sens, celle-ci ne suffit pas à expliquer qu'on puisse ne rien voir, et donc rester subordonné au mensonge de l'inexistence des épandages aériens de biocides, puisqu'ils sont eux à voir, , directement, tous les jours étendus dans l'infini des cieux et sous nos yeux. À la paresse se mêlent inévitablement l'abandon, l'active volonté de ne pas reconnaître que nous sommes aspergés et asphyxiés.

À cette découverte par nos yeux ébahis de nos cieux manifestement artificiels, la première, saine et naturelle étape consiste à se demander qu'est-ce que c'est ?.

Ne pas s'aventurer plus loin, à partir de là, revient bien au choix décidé de ne pas savoir...

Et sans même dévoiler tout haut les résultats sur lesquels nous ne pouvons manquer de tomber, ne pas tirer pour soi les conclusions logiques d'avancement, de réactions à rendre à ces résultats, pousse le mensonge à une nouvelle étape. Si nous ne pouvions que difficilement admettre, mais que nous pouvons admettre tout de même, que la bêtise l'emporte sur le défilement à l'étape précédente, c'est à un degré plus manifeste, mieux réalisé, que nous nous décidons ici de fermer les yeux. Pour peu que nous ayons fait part de notre prime questionnement à quelques personnes autour de nous, l'on se révèle hélas déjà pour son entourage éveillé, ici de façon immanquable, pour ce que nous sommes : des déserteurs.

De ces résultats sur lesquels personne ne peut manquer de tomber : les programmes d'épandages sont parfaitement officiels qui laissent en suspension au-dessus de nos têtes, a minima, des sels d'aluminium. Il suffit d'un tout petit peu creuser pour découvrir, entre mille, l'ACSEIPICA, le rapport Case Orange, ou que les épandages de toxiques sur les populations civiles ne datent pas d’hier, mais ont environ septante-cinq ans... Cette recherche véritable est l'histoire de quelques heures, là où des bâtisseurs se sont patiemment employés en centaines et milliers d'heures de travail pour alerter le monde...

Dans un discours prononcé le 16 février 2023 à l'université technique de Munich (TUM) en prélude de la conférence sur la sécurité tenue au même endroit, l'investisseur milliardaire connu sous le nom George Soros, faisant partie des 0,01 % de la population mondiale qui mettent en péril toute vie sur terre, s'est exprimé sur Donald Trump et les élections de 2024, la « guerre en Ukraine », la Russie, la Turquie, la Chine, et surtout n'a pas manqué sa partition de propagande sur le « changement climatique »... Écoutez bien ce que Soros nous dit à partir de 8' 47'' de son intervention filmée : « Sir David has a plan to repair the climate system. He wants to recreate the albedo effect by creating white clouds high above the earth... », où il approuve la géo-ingénierie solaire, la pulvérisation d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir la lumière du soleil hors de l'atmosphère terrestre, afin de « lutter contre le changement climatique » (et notamment « d'empêcher la fonte de l'Arctique »). Par ce dernier, bien entendre : le radical et mortel mensonge du réchauffement anthropocène par le dioxyde de carbone, auquel tout le monde doit allégeance, dont la Banque mondiale que Soros y appelle pour augmentation du financement de ces opérations d'endiguement du « réchauffement climatique » prétendument causé par les pauvres et les pets de vache... Soros annonce aussi que David Malpass, le président de la Banque mondiale jusqu'à peu, « a démissionné après avoir été accusé de rejeter le réchauffement climatique ». Il faut là bien entendu entendre que Malpass a été frappé d'anathème pour blasphème envers ces fariboles qui sont la base de justification (à destination des empoisonnés...) de notre empoisonnement (reset ; et ceci n'est pas de la crème solaire, auraient dû se dire ces vacanciers...) auquel il a eu le courage — celui de ne pas (se) mentir — de ne pas cacher sa (vitale !) inadhésion.

Le maléfique ronge-maille kazakh ne fait que confirmer ce que mille caciques nous ont déjà dit avant lui, et ce qu'ont confirmé divers acteurs et témoins, comme un ex-directeur de CIA, ou Kristen Meghan, spécialiste de l'hygiénisme industriel et de l'environnement, ayant longtemps travaillé pour l'US Air Force, par ce témoignage fouillé, qui évoque notamment le nom de David Keith, l'un des grands instigateurs des opérations « sur le climat ».

Rothschild, dessine-moi un « nuage »...

En réalité, par l'essentiel et primaire effort de ne pas s'illusionner, nous savons déjà ce que notre regard nous avait déjà appris, avant toute découverte des objectivations (ne pas y manquer The Dimming) de divers pathogènes mesurés dans ces nappes et panaches de gaz laissés dans les airs, terres et eaux qu'ils contaminent : une culture critique toute rudimentaire est l'intime assurance à la réalisation nette — et que nous ne pouvons honnêtement écarter — que les autorités ne déversent pas sur nous du Channel 5 ou de la vitamine D en goutte. Le constat de notre empoisonnement, celui d'une programmatique de destruction du vivant, est irréfutable, comme est irréfragable, entre autres, le plan Kalergi, pour un gouvernement mondial devant s'accomplir par une minorité d'élite, mixte entre les castes régnantes des élites juives et les reliquats d'aristocraties européennes chrétiennes, dominant une masse informe d'autant plus manipulable et malléable qu'elle serait composée d'un aréopage d'ilotes métissés dans tous sens, sans racines, sans histoire, sans identité et mémoire, et dont nous avons tous les jours les manifestes, tristes et macabres réalisations exposées devant les yeux sur des paysages entiers. Ce plan n'en est plus depuis longtemps au stade de « théorie » et ne relève que très peu du « complot », puisque ses résultats que nous ne pouvons pas ne pas voir sans nous mentir sont également l'objet d'une lourde et irrespirable publicité, (anti)raciste, immigrationniste. Et si nous savons qu'une statue de la Bête de l'Apocalypse trône au siège new-yorkais de l'ONU, nous méconnaissons plus souvent qu'au moins une rue de la ville de Luxembourg et une voie du quartier de Chaillot du 16e arrondissement parisien portent le nom complet de Richard Coudenhove-Kalergi... Les autorités ne peuvent opposer, comme à n’importe quel de leurs forfaits, aucune réponse à toute question bien posée, mais seulement, avant les coups, le silence, le dénigrement, l'improbité et la censure. Et ce seul fait que les politiques appliquées pour nous et sans nous soient niées alors que leur évidence répond des plus sensibles réalités appelle notre courroux...

Ce constat-là est encore celui du plus petit effort de recherche. La mystification est directement, qualitativement donnée à voir par ce qu'ils nous disent et montrent explicitement, certes, mais encore et à peine plus discrètement par les profondes contradictions des positionnements officiels quant aux récits échafaudés pour voiler la réalité. Cette contradiction est par exemple donnée à voir par la conjonction de deux thèses, qui ne peuvent logiquement co-exister : d’une part ces avions ne laisseraient que des traces de condensation (pourtant impossibles dans les conditions physiques et météorologiques dans lesquelles elles sont censées apparaître, et les bafouillants partis qui tentent de démontrer l'inverse forment des propositions toujours labiles, fallacieuses, erronées — mais passons ici...), de l’autre, sans aucune continuité discursive ni même tentative d'en masquer l'absence, la reconnaissance officielle de ces actions (qu'elles soient ou non reconnues dans leur caractère criminel). Il suffit d'être un peu attentif aux contradictions officielles internes, d'autant plus effarantes et fragiles qu'est énorme le mensonge, pour que le château de cartes de l'idéologie s'écroule...

« Je jetterai sur toi des impuretés, je t'avilirai, et je te donnerai en spectacle. » — Nahum 3:6, verset de la Bible cité en ouverture de ce film de 2022. Compte tenu de l'état des foules, la criminalité d'État n'a nul besoin d'opérer dans la discrétion... Au contraire, ils nous narguent.

Cette co-habitation de deux thèses absolument antagonistes est à elle seule la facture de l'entier mensonge. De cette reconnaissance officielle qu'on ne peut que difficilement ignorer une fois qu'on a commencé à chercher, par exemple l’ordonnance « SND/351/2020 » publiée officiellement par le gouvernement espagnol (et, secret de Polichinelle, décrétée jusque par la voix de présentateurs météo, ce qui n'a rien de neuf non plus...), lequel en 2020 a statué que les militaires pulvérisent des chemtrails mortels sur ses citoyens avec l’autorisation de l’ONU sous couvert d' « état d’urgence pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par le Covid-19 » :

« L’ordonnance SND/351/2020, du 16 avril, qui autorise les Forces et Unités Armées et les Unités Militaires d’Urgence à utiliser des produits chimiques biocides autorisés par le Ministère de la Santé pour la désinfection afin de faire face à la Crise Sanitaire du Covid 19. [...] Parmi les techniques de désinfection les plus efficaces, il y a l’utilisation de médias aériens, puis à travers eux, avec des techniques de nébulisation, thermonébulisation et micro nébulisation, toutes les surfaces sont atteintes rapidement, en évitant de dépendre de l’application manuelle, qui est plus lente, et parfois n’atteint pas toutes les surfaces car il y a des obstacles qui empêchent de les atteindre. »

Des positions intermédiaires, toujours suprêmement floues, telles que la déclaration de Greenpeace, résonnent comme aveux indirects de culpabilité, et donnent en réalité déjà l'indice fiable de la supercherie des tentatives d'occultation de la géo-ingénierie criminelle.

Des centaines de documents ont été publiés au sujet des expériences militaires d'épandages à grande échelle de Porton Down au Royaume-Uni dans les années 50 et 60 (essentiellement), où les êtres humains furent là encore utilisés comme cobayes. Le gouvernement britannique a reconnu avoir pulvérisé des neurotoxiques (mortels même à doses faibles), dont le sarin et l'agent innervant VX, sur sa propre population, transformant de grandes parties du pays en un laboratoire géant pour conduction de tests secrets d’armes chimiques et bactériologiques. En 2002, à des curieux cherchant à savoir si de tels tests étaient toujours effectués, Sue Ellison, porte-parole de Porton Down, a répondu : « ce n’est pas notre politique de discuter des recherches en cours ».

À gauche : personnel chargé des essais sur le terrain, en 1956. Les masques devaient être portés pour permettre la collecte par procuration des substances de guerre pulvérisées par avions. À droite : un résultat de ces opérations.

Des quantités considérables de sulfure de cadmium-zinc sont déversées le long des côtes britanniques par des centaines d'opérations. Comme ce qui est raconté aujourd'hui au public, il avait été alors affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Et il fut dit au public que l'objectif de ces opérations alors reconnues était le test des effets de substances nocives sur les populations civiles, afin de mieux pouvoir les protéger en cas d'attaques ennemies ultérieures... Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfure de cadmium-zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage (concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient ou sont concernés par des épandages à la frontière russe occidentale...). Un vol de 600 km permettait le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfure de cadmium-zinc. Bien que le gouvernement britannique (comme états-unien) ait (of course !) affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà vu lors de la Seconde Guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Il est aujourd'hui considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale et les lésions au foie. Le gouvernement britannique reconnaîtra aussi des tests à Dors entre 1971 et 1975, où sont également répandues des quantités massives de bactéries serratia marcescens, avec du phénol et un substitut de l’anthrax. Le professeur Ulf Schmidt, dans son ouvrage Secret Science : A Century of Poison Warfare and Human Experiments (dans lequel d'ailleurs il étend ces opérations, en Angleterre, de 1939 à 1989, avec la participation de 21 0000 soldats) explique que les navetteurs du métro de Londres avaient été utilisés comme cobayes à une échelle beaucoup plus grande que ce qu'on avait pu penser jusque-là...

Cette opération anglaise n'a rien d'unique et il est également aujourd'hui parfaitement reconnu (même par Wikipédia !) que les États-Unis ont effectué des tests identiques sur l’ensemble de leur territoire (« Large Area Coverage ») et que des opérations militaires d'épandages mortels ont été conduites entre 1949 et 1969 dans la région de la baie de San Francisco...

Il n'y pas d'honnête « je ne sais pas ce qu'il en est ». Tous, sans transition, nous renvoient fatalement à la démission distinctement volontaire : « il y a bien une raison à ces étranges nuages, mais je ne veux rien savoir »...

Conclusions logiques...

L'atrocité des opérations COVID-19, et de notre propre comportement de soumission — dont il reste encore à tirer toutes les leçons —, qui a conduit nos parents à mourir seuls en EHPAD et des enfants à se suicider, aurait déjà dû, plus que toute minuscule question d'âge de retraite, mettre tout le monde au poste de combat contre ces obscénités. En voici donc une autre, de raison de se battre, qui à elle seule disqualifie n'importe laquelle de nos excuses à la stagnation, qui à elle seule est condition absolument suffisante à notre lutte totale, insubordonnée, furieuse, contre l’État, dont elle est un point de départ, un tremplin choisi.

L'horrible massacre de trois innocents enfants chrétiens par un monstre LGBT télécommandé dans une école américaine (Nashville) vient encore nous rappeler que, comme chrétiens et fondamentalement encore comme hommes, nous sommes appelés à persévérer dans notre foi et notre combat au milieu de la tourmente, du chaos et de ses infra-êtres. Et qu'il s'agisse des injections vaccinales infanticides, incluant les bébés de six mois d’âge, ou du voilement chimique de notre ciel, il est inconcevable que nous ne fassions pas tout notre possible pour tenter d'enrayer la marche en avant de ce calendrier diabolique.

Le 5 août 2022. À Le Thor (Vaucluse, Provence-Alpes-Côte d'Azur), des habitants témoignent. Il faisait chaud et l'air était immuable lorsqu'un soudain coup de vent a amené avec lui un air vicié, d'une odeur de soufre (notamment). Respirations coupées et difficultés de récupération du souffle. Les habitants courent pour tenter d'échapper à ce qu'ils respiraient. Maux de têtes et yeux irrités jusqu'au lendemain. L'odeur a persisté dans la ville jusqu'à la nuit. Réponse du maire : « sans doute de la pollution aérienne ».

Les hommes qui en sont encore élèvent la voix, et hurlent. Aussi, ne peuvent-il que très naturellement regarder autour d'eux et en vouloir aux inactifs, à l'impassible et encore bien trop courante pleutrerie. Ces hommes-là, engagés, en veulent à ces derniers pour leurs enfants, pour lesquels ils ne se battent pas vraiment. Ils leur en veulent encore pour l'angoisse, l'énergie négative que leur non-réaction ne peut manquer de nourrir, pour cette négativité qu'ils ne peuvent totalement manquer de passer à leurs propres enfants délaissés par la solidarité d'un groupe qui doit normalement les soutenir, en plus de leurs parents ; ils leur en veulent pour, par leur passivité même, instruire chez eux le désespoir...

Ne rien faire, qui revient immanquablement au choix éclairé, est un coup pendable. Rien n'est anodin au désengagement humain. Et dans notre doute quant à l'existence ou l'inexistence du mal, puissions-nous entendre ceux qui, parfois à peine mieux capables, sont surtout un peu moins paresseux que nous, et certainement nettement plus courageux...

Le minimum vital de nos accomplissements attendus n’est même pas encore de se tenir en informateurs, mais plus fondamentalement tout d'abord et seulement de se confronter véritablement à l'infra-monde dans lequel nous vivons, sans se mentir, sans nous mentir, et donc sans s'aplatir face aux mensonges qui nous tiennent en chaîne... Reconnaissons centralement la légitimité entière de l'appel au combat ; et si nous nous défilons devant les implications auxquelles notre examen moral, la confrontation avec nous-même ne peut manquer de nous associer, au moins ne trahissons pas son nom par le parjure.

Si nous ne pensons pas qu'une masse critique d'éveil dans la population puisse faire une différence, mais que nous pensons par exemple que nous devons surtout agir hors militantisme, peu importe au fond : l’important est d'abord, avant tout, de s'ouvrir au sujet, au monde, et d'en parler, parce que nous n'avons pas le droit de ne rien faire et que l'abandon rime ici avec déchéance.

Et si nous voulons privilégier à la trop confortable action d'information l'exemple donné, le geste fort, exemplaire, l'action décisive par petits comités décidés pour enrayement, au sens le plus physique, du fonctionnement de la mécanique du pouvoir, si nous favorisons les gestes qui, à défaut d'être kamikazes, engagent au moins le sacrifice, retrouvent son sens dont la perte explique notre situation de léthargie collective (et intolérable) que nous devons chercher à tout prix à débloquer, l'essentiel se révèle cependant peut-être alors comme manifestation de la nécessité de faire apparaître la lutte, de l'envisager, de se confronter à son idée, de s'y positionner, pour soi et dès lors pour autrui. De notre nécessaire combat nous devons être notre propre sonneur, sans attendre le mouvement, l'étincelle de l'extérieur, des autres. Et dans ce relèvement fondamental, une conversation minimale sur les termes du combat apparaît alors, laquelle revient déjà en soi à convenir de quelque perspective d'action commune.

Nous n'aidons en réalité personne par le micro-journalisme et les interminables tergiversations des investigations de microscope... Les démissionnaires qui cherchent toujours une excuse à leur démission, « la preuve irréfutable » de plus, nous ne les aidons pas par de patientes démonstrations, qu'ils ne veulent en fait surtout pas... Prévisibles, ils vous méprisent bien souvent d'ailleurs pour la leur offrir, bien qu'ils aient fait mine de demander de les convaincre. Tandis que les moutons obéissent et les idiots ricanent, les trouillards nient et les lâches collaborent : nous n’avons plus à laisser le moindre centimètre de notre patience à ces assistés-nés, mais devons seulement et virilement les avertir qu'ils sont lâches de se réfugier derrière un matelas d'excuses, au lieu de plus franchement admettre, au seuil de cette reconnaissance évidente due à la dignité, qu'ils décident de ne pas se mouiller, de ne pas agir conformément à toute morale.

Il fut un temps où la question, cette question qui renvoie à l’anecdotique toutes les autres, était encore à leur poser. Aujourd’hui, nous avons passé tous les seuils de criticité : l’heure est à l’action et l’auto-défense. L’impassibilité tue. Faisons en sorte que chaque jour compte. Précipitons leur chute, par tous les moyens, et sans attendre leurs failles.

La calcification de la pinéale par fluoride ou l’abrutissement cathodique par scintillement répété, archaïsmes, sont les parents pauvres des moyens d’action à notre sujétion. Place au grand spectacle, au son et couleurs, à l’élimination sur écrans géants en lieu et place des ternes et muets abâtardissement, confidentiels, pour érudits de fonds de bibliothèques. Si aucun saut technologique n’a subitement opéré en 2020, notre temps actuel marque pourtant bel et bien le début d’une nouvelle époque : la stupéfiante convergence entre d’une part la multiplication des applications matérielles d'abattage et, de l’autre, la révélation aux masses faites cheptels de leur propre abattement/abêtissement. Logique d’exponentialité de croissance de courbe : pour que ces applications qui sont tout sauf dissimulées fonctionnent et continuent de marcher, il faut la participation du troupeau. Et pour le condamné à mort qui ne peut se faire à cette idée, logique du double bind oblige, il devient nécessaire de s’accrocher au triste espoir du sursis, et donc de pouvoir ignorer mordicus (« complotiste ! ») celui qui hors du rang tente de lui faire voir sans détourner le regard la machine d’exécution déjà fumante qu'il a déjà évidemment bien vue. Pour que le plan coure, il lui faut des idiots, et Davos aura tendance à les considérer aussi bien utiles qu’« inutiles » : depuis que ces derniers se sont mis complaisamment à bouffer des insectes sur ordonnance européenne, avec le FEM l'expression « bête à manger du foin » s'est radicalement émancipée du registre métaphorique...

Or, les vivants doivent s’employer à désigner ce devenir bovin, volontaire, complaisant, pour ce qu’il est. Que l’on ne nous dise pas sans cœur. La bienveillance se mérite, et c’est par empathie pour ceux que nous aimons, et d’abord les plus innocents d’entre eux, que nous persévérons à reconnaître le bien du mal dans les idées, les accomplissements et les hommes qui les portent. Et si nous ne voulons encourager personne dans le déni et la mort, c’est pour la sauvegarde des nôtres encore que — voyons-le bien — notre devoir d’information reste important puisqu’il est étroitement corrélé à ce projet-là. Protéger les siens ne peut aller sans l’éveil d’une masse critique minimale, autour de soi, locale. Or l’activité de réveil de la famille n’est pas tout à fait étrangère à celle qui s’adresse au monde anonyme et dispersé, auquel s’agrègent les inactifs comme les combattants que nous ne connaissons pas encore : il nous faut précisément encore pouvoir reconnaître cette famille dans la réunion du proche et du lointain, par les liens qui signifieront quelque chose pour nous au moment de nous battre au-delà des écrans et claviers.

Entendons bien, et martelons à tous les passifs qui par leur passivité nous plombent, que ce qui est plus intolérable encore que cette exécution en cours, par injections et aérosols notamment, est bien la collaboration quasi parfaite des victimes à leur bourreau, leur entente silencieuse au centre de laquelle nous nous trouvons pris en tenaille... Contrairement à d'autres, nous n'excluons pas de l'humanité ceux qui se sont pliés à l'injonction de se faire piquer par Davos. Nous n'admettons cependant pas que ceux-là mêmes, ne pouvant pas (sauf précisément par le mensonge) ne pas avoir aujourd'hui pleinement appris qu'ils s'étaient fait abuser, ne fassent pas partie des premiers sur le front. C'est par cette conduite, ce consentement à l'aveuglement, plus que par la piqûre, qu'ils portent la marque de la Bête. En choisissant de ne pas combattre, beaucoup d'entre nous prennent, opportunément pensent-ils, le rôle de l'assisté, et toujours sans le savoir ou en ne le sachant qu'à peine, celui de la victime résignée. En choisissant de disparaître, avec toutes les interrogations fondamentales qu’ils choisissent de ne plus s’imposer, le problème unique et entier n'est pas leur perte, mais qu'ils nous entraînent dans leur chute.

Que peut-on encore espérer apprendre à ceux qui s'éduquent par les premières pages de résultats Google, que reste-t-il à attendre chez ceux qui estiment avoir encore assez de temps que pour contempler un JT ? Que reste-t-il à écrire, à montrer, pour vous convaincre de vous battre ? Des images de cadavres d’enfants, que Dresde ou l'Irak nous ont déjà toutes données ?

Ne nous arrêtons surtout pas là, à ceux qui ne se disent pas convaincus du mal entier qui nous arrive. Ils n'ont plus, à ce stade ici explicité, aucune excuse. Cela ne revient peut-être pas tout à fait à dire, avec Nicolas Bonnal, que le militantisme est une perte. Nous exhortons d'ailleurs tout le monde responsable, à partir de cette première étape de prise de conscience par une démarche d'honnêteté, à informer alentour, et tous les acteurs concernés de près ou de loin, dont pilotes et militaires, dans un très modeste effort, posé mais encore décidé, à hauteur de volume des enjeux qui nous portent au cri de l'insurrection. Aussi, ne manquons-nous jamais de souligner que l'interpellation du monde politique, savant, industriel, journalistique ou académique doit valoir davantage pour la publicisation du message que pour le docile et pathétique espoir d'obtention de résultats par investissement politique... Nous pouvons mettre toutes les formes et suivre toutes les requêtes parlementaires que l'on veut, mais l'obséquiosité du formalisme, plat par ce contexte, en évacue la gravité et le tragique... Ces missions-là, que nous suivons et pouvons à l'occasion soutenir, sont-elles alors grandement insuffisantes, et ne peuvent retenir que la plus petite part de notre attention. La demande est nécessairement accompagnée et surtout précédée par l'invective, l'auto-défense. Plus important alors que l'action politique politicienne qui revient fondamentalement à demander répit à son bourreau : récupérer (et sans traîner) notre langue de la censure et de la peur, nommer le pouvoir et les acteurs de ses mécaniques de mort pour ce qu'ils sont et là où ils sont. Aux menaces de tous les Kouchner du monde qui, pourtant cancrelats, se prennent pour des dieux, renvoyons leurs propres désirs : et disons-leur par exemple que ceux qui ne font rien face à ce problème aussi grave, le nôtre et d'abord celui de nos enfants, ne méritent pas d'être sur cette terre.

Nous vous demandons surtout de trouver les raisons entières de ne plus supporter ces politiques établies et menées pour notre disparition. Nous vous demandons de trouver moins supportable encore l'inaction collective, parfaitement anormale, en commençant par la vôtre, avec tous les mensonges au soutien de tous les contre-feux à la révolution. Nous vous demandons de pouvoir reconnaître qu'ensemble nous pourrions réaliser de grandes choses, dès demain, à commencer par la principale : protéger les nôtres et nos enfants avant tout... Et cela revient bien à dire que cet effort-là d'appel public à la réaction est celui qui doit finalement occuper la plus petite portion de notre temps d'action... Il n'est là que peu admissible qu’un retraité qui n’a pas de 38 heures ni la charge d’enfants en bas âge n’en fasse pas au moins autant, et dans tous les sens, que nous...

Nous devons surtout informer nos proches, agir réellement, localement, entre personnes de chair et pour protéger notre famille, dans une politique de jardin, pour une action locale et enracinée, à laquelle le rayonnement de sa diffusion — d'abord par sa valeur d'exemple — confère une portée universelle. Nous demandons surtout à notre famille de se reconnaître et de s'inviter au combat, de se laisser gagner par la sainte colère que ses enjeux nécessairement, justement appellent. Par ce relèvement-là de conscience, qui quelquefois nous engage à reformer les rangs de sa cellule familiale propre contre les lois du sang, je demande à ma famille de se réunir et de s'établir sur des idées, un plan communs, de prévoir, d'anticiper, de déterminer des priorités, de placer ses pions, de tisser une toile solidaire de résistance vive et de chaudes avancées...

Le contraste entre le calme avec lequel nous continuons à vivre tranquillement et ce qui nous arrive est vertigineux, et tout à fait inacceptable...

En plus de l'impossibilité de la condensation de combustion à cette altitude, de l'impossibilité des phénomènes de persistance et de propagation de telles traînées, rares, courtes, éphémères (et jamais indiscontinues) et la plupart du temps invisibles puisque les avions commerciaux volent hors d'atteinte de nos regards, jamais aussi bas, à l'exception de leurs phases ascendantes et descendantes dans lesquelles ils ne peuvent techniquement émettre aucune traînée visible, en plus, encore et non exclusivement, du fait que ces avions épandeurs (dont l'absence, certains rares jours, est elle-même preuve de leur réalité) n'apparaissent sur aucune carte du ciel ou qu'ils dessinent des courbes, parfois forment des boucles, ou font des allers-retours dans le ciel, improbables pour les avions de ligne, en plus du fait que les réacteurs les plus modernes sont quasiment incapables de produire des traînées ou de l’éclatante évidence que la condensation échappe des réacteurs et jamais des buses accrochées aux ailes comme nous le voyons sur cet avion répandant des toxiques (ou du moins autre chose), ces avions volent souvent groupés, se croisent à quelques dizaines de secondes d'intervalle, et naviguent parfois parallèles, comme le montre ce cliché pris à Ath (Belgique) le 17 mars 2023, ce qui, indépendamment de la question des couloirs aériens, les rend étrangers à toute aviation officielle... La position non pas tant « officielle » (puisque celle-ci qui va dans tous les sens n'est pas cachée et court sous couvert de « géo-ingénierie ») que celle des « inutiles » qui se laissent soumettre jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à leur exécution, est tout à fait celle desdits inutiles qui défendent contre Pfizer même l'efficacité de son produit. Pour ceux dont le salut dépend au moins un peu des zombis parmi lesquels ils sont contraints de vivre, au-delà de l'entretien auto-consenti de l'illusion contre le goût de la vérité lui-même déjà intenable, cette pulsion de mort largement partagée rend ces opérations d'autant plus inacceptables. Tirez-en toutes les conclusions logiques, dont celle de la non-dispersion de votre effort vers ceux-là mêmes qui en se considérant comme rebut excédentaire compromettent nos propres chances de survie, et agissez sans plus attendre. [Extrait de « Le ciel est bleu, alors tu vois !? » : Franc message aux distracteurs et autres tiques — le problème posé en quelques mots]

Nous ne pouvons supporter un peu, mais avons à renverser en entier un système qui menace de la perte d'allocations sociales à des parents qui refusent de faire injecter leurs enfants... Il est plus que temps de percer le mur du spectacle, de s'émanciper de la scène du mensonge joué partout. Le combat doit être physique. Nos enfants réclament nos cris et nos coups ; nous devons faire trembler les orks qui nous intoxiquent, prendre par le col toutes leurs petites mains comme leurs exécuteurs et magistrats, à étrangler dans leur insupportable mépris, précipiter la chute du système et de tous ses flics soutenant cet infra-monde partout où ne le pouvons, remettre fondamentalement en question notre propre responsabilité, ferme, nette : notre mutisme, acquiescement, honteux, consternants, avilissants, méprisables. Il y a mille choses à faire, n’attendons plus, chaque jour doit compter et tous les risques doivent être pris. Or, la plupart d’entre nous ne font pas encore le cinquième de ce qui doit être fait et qui ne demande quasi aucun effort — d’autant que le travail est prémâché.

Nous avons à recouvrer le sens du sacrifice, et indiquer à nos souvent bien trop paisibles aînés retraités qui n’ont plus la charge d’enfants en bas âge, mais davantage de latitude à la prise de risques, de se mouiller, de s’en prendre plus vivement aux empoisonneurs de puits, de contacter et de bousculer plus de monde et parmi le moins recommandable... Avant même d'être plus percutants, ceux d'entre nous qui ne sont pas captés par le travail doivent a minima transmettre le message à quelques milliers au moins de personnes autour d'eux —  cela ne coûte rien, qui ne peut donc pas ne pas être fait. Nos décideurs auront souvent simplement exploité à outrance l’absence assez totale de scrupules des générations pourries d’après-guerre, dont la pusillanimité s'étire jusqu’aux plus de vingt ans... Ce qui au premier plan nous préoccupe est que de cette insigne menace, non seulement par certains aspects mais de façon centrale, nous sommes les premiers instigateurs, par notre démission collective, confortée par notre alliance avec le mensonge, la grande tolérance que nous avons pour lui. Sans notre adhésion, avant tout passive, rien de tout cela ne serait possible.

La situation est insupportable, mais de ce cauchemar le pire est d'être entourés de gens qui savent plus ou moins, depuis début 2020 au moins, que les gouvernements agissent contre nous, mais n’en ont, plus ou moins également, rien à foutre, et souvent deviennent violents à ceux qui tentent de leur faire réaliser ce qu'ils ne peuvent, mais surtout ne veulent concevoir, que leur État leur veut tant de mal...

Si nous réalisions tous seulement le tiers de ce que d'aucuns réalisent déjà notre monde serait différent demain. Si tout le monde faisait seulement la moitié de ce que nous faisons, qui ne réclame pourtant aucun héroïsme, mais tout juste un peu de courage, cet infra-monde s'effondrerait aussitôt. Avez-vous déjà invectivé ne fût-ce qu'un seul politicien, empoigné un seul acteur, passé le message à une seule poignée de personnes, eu le courage de publiquement contredire une seule fois dans votre vie un seul mensonge qu'il coûte de contredire en marque d'honneur pour la décriminalisation de notre parole que nous avons tous à défendre ? La négative est inacceptable et ne sera désormais plus tolérable pour moi, comme pour tous ceux qui peuvent recevoir ce message important.

Pour nos enfants, honte à ceux qui ne se battent pas de toutes leurs forces, quitte à y laisser la peau ; honte aux ricaneurs : honte à ceux qui ne tentent rien, ne haussent même pas le ton, ceux qui comme ces nombreux hères que nous croisons tous les jours, cyniques dans leur abandon, osent prétendre que nous serions déjà condamnés.

Ce qui nous arrive est inacceptable ; et les vivants ne pourront ou ne devront bientôt plus rien pardonner à la passivité continuée des planqués, une traîtrise.

Nous nous retirons d'un engagement total à l'action d'information pour mieux revenir au combat par la vie incarnée. Nous avons ouvert toutes les portes. À vous de transformer l'essai.

Nous ne vous demandons donc pas de militer, mais de répondre à l'appel et à la voix de votre conscience, de vous ouvrir à la possiblité même de la révolte ; nous vous demandons reconnaissance et échange à défaut de décision d'action et de lutte incarnée, de répondre à et pour votre famille, et d'abord pour ses membres trop jeunes encore se défendre sans nous —  je vous demande d'avancer.

Soyez résolus de ne servir plus, et vous serez libres. Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genou. Étienne de La Boétie

Il n’y a peut-être pas aujourd’hui de préjugé mieux enraciné que celui-ci : s’imaginer que l'on sait en quoi consiste exactement ce qui est moral. Friedrich Nietzsche

Vous ne pouvez pas ne pas vous en soucier. Ne pas vous en soucier n'est pas humain. Ron Kauk

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