Contestation d’un lamentable PV pour excès de vitesse...

Bien plus qu’à valeur particulière, cette contestation d’une lamentable amende pour excès de vitesse doit faire figure d’exemple, non pas pour le docile « citoyen » auquel l’honneur et le devoir précisément commandent de s’extraire de cette sous-condition, mais pour l’homme qui veut encore en être, au lieu de se maintenir en sous-produit de lui-même (dans l'Occident en phase terminale de vie, le consommateur mê fait preuve de davantage de combativité que lui)... En plus d’être à l’origine parfaitement irrecevable pour les arguments ici montrés, cette amende serait en plus malhonnête si sa contestation devait devait être encore une fois rejetée. Et cette malhonnêteté, accumulée et dont ce témoignage ne rend qu'un fragment de son expression sociale invivable, ne pourra elle non plus rester impayée.

En condensé

Aujourd'hui comme virtuellement chaque jour sur la route [ce 10 mai 2023 encore, le véhicule ?-YCK-141, rouge, m'a lancé un appel de phare après avoir failli m'emboutir parce que je freinais de 50 à 30 km/h en raison d'une limitation pour école qui me l'imposait, et cela en devant supposer que j'avais un bébé à bord comme l'indique nettement et doublement ma voiture...], je me suis fait coller l'arrière-train à moins de deux mètres, à 50 ou à 120 km/h. C'est une faute grave, une des plus graves, puisqu'elle risque de causer la mort. C'est une faute grave aux yeux mêmes de la législation.

Cette faute en elle-même déjà, restant impunie, ne peut tout logiquement me valoir d'être moi-même puni pour une faute dérisoire, en elle-même, et je le justifie, et surtout encore en comparaison à cette faute grave-là impunie, comme je le justifie encore.

Votre demande est d'autant plus illégitime par ce fait net et précis que ces fautes — répétées et (très) graves qui ne sont pas punies et qui en tant que telles rendent déjà irrecevable celle dont vous me faites le reproche — sont documentées. Cf., notamment, ce PV que j'ai fait dresser et pour lequel je n'ai pas reçu davantage réparation qu'à au moins un autre fait (de vol cette fois) plus ancien resté lui aussi irréparé (et dont je peux également produire le procès-verbal de la plainte déposée).

Votre demande approfondit encore son illégitimité par ce fait, tout aussi net, que cette documentation, avec mes différentes interpellations des autorités, parfois pour simple questionnement technique, n'ont connu aucune réponse. Ce fait-là, en plus des autres, est parfaitement anormal.

Pour revenir sur le reproche en lui-même. 227 € est une somme inouïe, disproportionnée, illégitime, pour les arguments techniques ici pleinement déployés. Parmi ceux-là, et en plus notamment du fait d'éblouissement qui rend techniquement imperceptibles les changements successifs de vitesse maximale qui sont encore en eux-mêmes très peu pertinents mais agressifs la nuit, vous ne prouvez pas que je n'étais pas collé au cul, et que je n'aurais alors pas eu là toute raison légitime d'accélérer, et toute raison de le faire par ce fait au moins qu'une question précise sur le sujet, demeurée lettre morte, a déjà été posée aux autorités... C'est une somme inouïe encore dans un contexte plus large, et nécessairement à élargir pour viser toute intelligence, et un contexte en l'occurrence social : c'est une somme impayable pour la plupart des gens. Et je suis ici la plupart des gens, l'automobiliste générique à traiter comme tout autre automobiliste. Si une distinction ne doit être opérée là, elle peut l'être ici : je suis citoyen assez exemplaire en ces matières, contribuant activement à l'amélioration de la sécurité routière, qui au lieu d'être taxé devrait être remercié ou récompensé.

(Pour la forme, j'enregistrais par ailleurs ceci auprès de mon avocat — qui me dit qu'ici après ma contestation, la seule façon de contester pour moi est d'attendre convocation devant tribunal, ce qui est parfaitement anormal aussi, au moins pour ce fait majeur que votre refus à ma contestation était de fait infondé — le 1 mars, en réaction à votre premier rappel de paiement que je venais de recevoir, avant un second rappel reçu le 6 avril : le courrier stipule que j'aurais « reçu une amende et un rappel » : or, c'est factuellement faux, puisque je n'avais reçu que l'amende et que ce courrier auquel je réagissais ne constituait que le premier rappel, précédé par ma contestation et son rejet sans motif.)

Ajoutez à cela que c'est le refus de ma contestation qui n'est pas recevable, puisqu'il n'est pas motivé par le moindre argument. Et sans compter encore que ce manque-là, sur l'historique de tous les autres, représente une très grande marque d'irrespect, ce PV est parfaitement irrecevable dans un contexte plus général encore, celui de l'illégitimité totale de votre parole par vos manques graves (dont l'exposé sert de salubre exemple public, avec ceci notamment, ou comme cette contestation d'ailleurs).

Ce PV, parfaitement illégitime, est dans ces conditions encore parfaitement insupportable, et ceux qui signeraient son exécution m'en, je le jure, devront la somme et le préjudice.

Morale mise de côté, sur le seul plan intellectuel, ce PV en ses entêtés et idiots rappels qui ignorent illégitimement mes précises et justes objections (et précises et justes en cette indirecte raison que vous n'y apportez pas le moindre morceau de contradiction), est une injure à notre histoire et à l'humanité ; et ceux qui se commettent à ces bassesses au lieu de baisser la garde sont attendus par la communauté des hommes, à redevenir humains, à s'employer à détruire un système complètement irrespirable et inhumain, attendus par le mouvement insurrectionnel qui monte et qui, irrépressible, ne pourra pardonner à la racaille du pouvoir ses coups de matraque.

Svp, épargnez-moi d'avoir à discuter de cela devant un tribunal, où je n'ai pas ma place, épargnez-nous de nouveaux échanges de sourds un juge qui comme l'a montré l'histoire sera assurément dépassé, et par là incompétent, pour converser sérieusement avec moi de ces arguments, dont je ne vous dois par ailleurs déjà plus l'effort (qui serait à admettre encore au préjudice) par la nullité des réponses que ces arguments bien amenés et répétés ont rencontrées jusqu'ici...

Pour PV à annuler, aussi respectueusement que sincèrement.

Constatations et premiers et entiers motifs de contestation

Par votre PV # N.95.C7.800509/2022, vous me faites grief d'avoir roulé à la vitesse de 75 km/h au lieu de celle autorisée de 50 km/h, à Frasnes-lez-Anvaing et à un lieu que je devine mais que vous manquez de m'indiquer (en sus de l'information capitale de la durée à laquelle j'aurais commis cet excès, et qui est sûrement très courte).

Avant tout déroulement : êtes-vous tombés sur la tête, pour me réclamer cette somme inouïe de 227 €, par ce procès-verbal reçu le 22/12 qui ne me laisse que ce délai non raisonnable de 4 jours pour le contester ? Ce montant, vis-à-vis de ces faits et du revenu moyen, est déjà inadmissible qui acte en lui-même un motif entier pour sa contestation radicale.

D’une façon générale, mais certainement sur cette chaussée où j’ai été pris : il n'est pas légitimement envisageable de demander au conducteur prudent de suivre cette succession de limites maximales autorisées de 30, 50 et 70 km/h, pour différents motifs, dont je ne retiendrai que ceux-ci :

Reprise des arguments

  1. Disproportion du montant réclamé vis-à-vis de la faute (pensez-vous par exemple au prix de l'énergie pour le portefeuille moyen du conducteur moyen susceptible de recevoir telle amende, et qui est déjà un vol) ?
  2. La faute elle-même est extrêmement relative et contestable : voir éléments repris plus haut. De ces éléments, ne manquons pas : pouvez-vous me prouver qu'un chauffard derrière moi qui m'aurait fautivement collé l'arrière-train (comme c'est très fréquemment le cas, lequel justifie des excès de vitesse et les justifie du seul point de vue du point 4) ne m'a pas incité à accélérer ?
  3. Un éventuel et nouveau rejet non argumenté de cette contestation constituerait, selon tout sens primaire de droit, un motif entier de malhonnêteté, et par conséquent et en lui-même une raison déjà suffisante de refus radical de règlement de cette amende.
  4. La non-réponse des autorités à mes différentes interpellations et questions sur ces sujets précis — dont celui du non-respect de la distance de sécurité — constitue elle-même encore raison raisonnable et suffisante de refus d'accéder favorablement à votre requête par là encore indue.
  5. La non-réponse absolue à une plainte déposée pour faits graves commis contre moi (voir plus bas) soutient encore, décisivement, ce dernier argument.
  6. Celui-ci est encore supporté par l'absence, également absolue, non seulement de réponse, mais aussi de réparation vis-à-vis de ces faits et de la plainte dûment déposée.
  7. Admettons-y encore la double absence (réponse et réparation) sur d'autres faits, que je peux au besoin relater, comme le vol de 400 € de matériel de sport dans mon véhicule.
  8. Cette amende devient implacablement irrecevable par les attaques mêmes du gouvernement dont nous sommes objectivement la cible.

Déploiements de quelques arguments principaux

Je vous renvoie au procès-verbal d'audition # JU 002058/22, déposé le 31/05/2022, pour faits graves dont j'ai été victime.

Entre autres courriers dont je peux également faire état, je vous montre ce message daté au 18/10/2022, resté lettre morte, à destination d'un inspecteur de police, mon agent de quartier dont je n'ai (encore) aucune raison suffisante de mentionner le nom ici. En voici les extraits parlants et que je peux évidemment vous le rendre dans son intégralité, avec les plaques d'immatriculation que pour de plus évidentes raisons je tais ici.

Je tiens avant tout à relativiser ce que je vais exprimer ici. Bien que certaines choses décrites sont, sans doute très justement, qualifiées de graves, il faut les entendre dans leur propre échelle : ce sont les difficultés à venir, qui doivent nous réunir en tant que prolétaires et non pas nous encourager à nous déchirer, qui sont elles gravissimes. Il est évident que je ne tiens évidemment pas vous personnellement responsable de ce que je déplore et de l'objet de la plainte déposée. Au contraire, j'espère pouvoir trouver ici un allié (ou sinon du moins un répondant), oui certes à cette question, mais bien plus encore, sur les raisons qui doivent nous réunir en communautés soudées face à une crise qui vient... [...]

Enfin, je voulais surtout vous contacter concernant le problème spécifique, et grave, des chauffards qui ne respectent pas la distance de sécurité, c'est-à-dire la base de la base de la conduite, avant même la priorité de droite.

Un incident de ce matin me pousse à vous y interpeller sans plus attendre.

Dans la circulation d'xxx ce matin peu avant 8h30, à un automobiliste qui à 50 ou 70 km/h me collait l'arrière-train à une distance d'environ 1 mètre, ce qui constitue une faute inouïe (quoique tout à fait habituelle), j'ai demandé via le rétroviseur par un signe des deux mains [qui se rapprochent et s'écartent successivement pour mimer l'écart entre deux objets...] de respecter cette distance. Aucune réaction : il me collait toujours. À la sortie du rond-point suivant, pourtant quelques dizaines de secondes plus tard, ce dernier est littéralement devenu fou. Il m'a collé de plus belle avec appels de phare à répétition, continus. Au cas où il voulait me dépasser sauvagement, j'ai ralenti sur la bande d'arrêt d'urgence. Par des gestes simiesques [...] bien perçus par mon rétroviseur, je lisais dans son agitation qu'il voulait que je m'arrête, pour en découdre. J'ai naturellement poursuivi mon chemin, mais à l'approche du rond-point suivant, j'ai dû ralentir, et l'individu a saisi sa chance et est sorti de son véhicule en courant pour m'approcher. Il n'a pu arriver jusqu'à moi parce que j'ai pu avancer. L'autoroute suivait immédiatement ce rond-point et l'individu, extrêmement énervé parce que je lui avais demandé d'un simple geste (là où le doigt qu'il n'a pas reçu aurait été cent fois mérité) de ne plus me coller l'arrière-train, a pu me voir la prendre. J'ai donc accéléré sur quelques kilomètres au-dessus de la limite légale pour échapper à un maniaque (et l'« actualité » nous renseigne que ceux-là sont monnaie courante) qui me faisait la course pour, à mon avis, autre chose qu'un thé à la menthe.

Véhicule : plaque xxx.

Ces chauffeurs doivent être mis hors d'état de nuire, précisément parce qu'ils ne tiennent la vie à aucune valeur, et mettent en danger celle des êtres pour lesquels la vie est, au contraire, importante, voire sacrée. Si statistiquement parlant, d'un pur point de vue de probabilités sur lequel je ne veux pas miser, ce sous-produit humain n'aurait sans doute pu accuser le choc d'une confrontation physique contre moi, celui-ci n'a aucune valeur et ma vie, et surtout ma vie de père, en a beaucoup (infiniment) trop pour que je m'y arrête. Ces gens ne méritent pas que nous les combattions en face-à-face dans la rue, que nous prenions le risque d'être abimés ; et le risque est réel : compte tenu de la composition de l'Ork, il n'est pas improbable, mais plutôt même attendu qu'il soit déloyal, et qu'il s'en prenne à vous avec une arme. Ils méritent d'être punis. Je vous demande ici, par ce dépôt de plainte, que cela soit fait, pour que je n'aie pas moi-même à le faire.

L'absence de réponse des autorités de la route est d'ailleurs absolument ahurissante. Trouvez, ci-bas *, quelques plaques que j'ai pu relever (sur une durée très courte, pour l'expérience) quant à ce fait qui est déjà très grave en lui-même : le non-respect de la distance de sécurité, qui même sans tout le bonus de ce qui m'est arrivé ce matin est un danger de mort, une faute devant valoir punition pour ceux qui la commettent, que ne peut certainement tolérer le père de famille qui circule avec ses enfants. Le moindre coup de frein appuyé devant un danger subit (animal, flaque d'huile...) est c'est l'accident assuré, voire le carambolage, et les dégâts physiques gravissimes. Comme déjà indiqué pleinement au SPF, je m'emploie ici comme « citoyen » dans mon pouvoir « attendu » en « démocratie participative ». Ce relevé n'est que le modeste aperçu d'une situation intolérable, Monsieur l'Inspecteur, notamment donc dans ce fait que des conducteurs comme moi peuvent être punis pour avoir roulé à 56 au lieu de 50 tout en devant partager la route avec des chauffards qui vous mettent en danger de mort impunément.

« Si vous collez volontairement un autre véhicule pour le faire accélérer, cela peut être interprété comme une incitation à une vitesse excessive. Il s’agit d’une infraction du quatrième degré (le plus grave), résultant en un renvoi devant le tribunal et une déchéance du droit de conduire. » ASWR

Par la présente, aussi demandé-je une aide d'État pour le système d'écran LED que je vais me procurer pour messages écrits lumineux à activer pour ces chauffards. Les autocollants « bébé à bord » ne servent à rien...

J'imagine au surplus qu'il est inutile de signaler qu'il va de soi que je ne pourrais être redevable de quelque éventuelle amende pour excès de vitesse ici, dans l'événement de ce matin...

Et il va en réalité également de soi, du fait des manquements (graves puisque concernant des faits eux-mêmes graves) de l'État quant à l'absence de toute réponse à la fois sur une plainte déposée en bonne et due forme pour faits plus graves encore et sur plusieurs demandes d'explications transmises aux autorités compétentes dont je ne vous envoie dans un fichier compressé également ci-joint [contexte.zip], avec la plainte originale ainsi qu'un récapitulatif auprès du Procureur du Roi resté également lettre morte (après avoir été gravement laissé dans les choux par celui, qui m'est objectivement redevable, du Brabant wallon], qu'une partie. [...]

Il doit au moins également être entendu que ce papier-ci, très officiel qui contient de toute façon toutes les informations que je pourrais donner de vive voix en personne à un policier dans un commissariat, tient comme plainte en bonne et due forme. Je rappelle en effet que je n'ai reçu aucune réponse (ce qui est implacablement inadmissible dans ce cas enregistré de tentative de meurtre) ni quant à la peine que ce chauffard qui doit être aussi sorti du circuit (et le cas échéant être reconduit à la frontière à défaut de subir la juste rétribution physique méritée) va encourir ni sur tout début réparation à laquelle je dois normalement éligible sans avoir à la réclamer.

Enfin, je saisis l'occasion pour signaler qu'un chauffeur fou est passé à toute vitesse Chemin du xxx en pleine période de festivités autour du château de Belœil en août dernier, plus précisément une soirée de représentation du spectacle Pinocchio. La présence d'enfants, de familles, ne l'a pas empêché de parcourir cette route à au moins 80 km/h. Je n'y étais pas, mais ma compagne et mon jeune enfant bien. Un homme scandalisé sur place a dit qu'il le signalerait, m'a-t-on rapporté. Un peu plus tard, le 12 septembre peu après 20 heures, en balade par là avec ma famille, j'ai croisé ce (probablement) même chauffard, qui commettait au même endroit le même délit (sans que je ne puisse relever son immatriculation ; mais : véhicule de type berline Mercedes je crois, sans certitude) évidemment grave et nous obligeant de nous retrancher avec poussette dans les zones d'herbe bordant la route, et qui doit être stoppé également, sinon par la police, par des hommes.

* À partir du 29 sept. 2022 :

29-09-22 :
— CAMIONNETTE société xxx : colle derrière autoroute.
— VW : plaque xxx : colle derrière + dépasse dangereusement (et sans aucun intérêt : puisque je le rejoins au rond-point suivant et qu'il n'aura même pas économisé une minute de temps sur son trajet).

04-10-22 :
Mercedes berline grise ancien modèle : plaque xxx : me colle le cul même après divers avertissements sur des kilomètres entre xxx et xxx...

05-10-22 :
Petite Fiat sombre : plaque xxx, me colle le cul sur plusieurs km, et malgré avertissements continue à le faire. Patine sur léger coup de frein nécessaire de ma part ! Et après cela, en plus me dépasse dangereusement.

06-10-22 :
— Petite voiture : plaque xxx : me colle le cul à xxx, sur une courte distance, mais de façon assez scandaleuse (moins d'un mètre de distance). Heureusement, semble bien réagir à ma remarque et se décolle un peu.
— Plaque xxx : barbu, chaussée de xxx (xxx), me colle le cul et est pris de court à feu rouge par arrêt net.

07-10-22 :
Plaque xxx : bonne femme me colle le cul. Continue malgré mes signes que manifestement elle aperçoit...

12-10-22 :
Plaque xxx : me colle le cul au carrefour vers xxx, sur chemin retour du boulot, avant le passage de 50 à 90. Tourne dans la rue qui prend départ dans un virage de la rue d'xxx.

13-10-22 :
Plaque xxx (possible erreur sur les nombres, mais pas les chiffres) Renault blanche : m’a sévèrement collé le train sur la grande distance entre xxx et xxx sur le retour du boulot.

14-10-22 :
— Ford Ranger plaque xxx — photo prise. Doit changer de bande, d’urgence, pour ne pas me rentrer dedans, tellement qu'il me collait, quand sur autoroute je ralentis pour passer à 70. Et il ose me faire un doigt d’honneur en sortant ! Autoroute entre xxx et xxx. Le retrait de permis est évidemment un grand minimum...
— Fourgonnette blanche plaque xxx [ou... 090, mais je suis en tout cas sûr du 0]. me colle le cul GRAVEMENT dans les ronds-points de sortie d’autoroute en provenance d’xxx vers xxx.

17-10-22
Sur le ring de Bruxelles :
— Plaque xxx : une voiture rouge me colle le train sur la bande de gauche, à 100 ou 120, et me colle très sévèrement. Erreur qui mérite le retrait de permis immédiat.
— Plaque xxx (ou xxx) Idem, abominable *** (vraisemblablement), qui me colle le train et fait ensuite des manœuvres dangereuses pour me "parler" après mon geste qui lui demandait simplement de se décoller.

Je peux ajouter à ce relevé, entre mille :

21-11-22 :
Plaque xxx : un type qui arrive à toute allure ne s'arrête pas sur la place de la pharmacie (et une fois passé la pharmacie, en direction de la rue du xxx que je prends) de xxx-village, au rond-point, alors que je suis dans le rond-point et qu'il doit me céder le passage. Faute grave ou très grave. Ne s'excuse pas de la moindre façon non plus, et même après mes deux coups de klaxon et appels de phare.

23-11-22 :
Soit exactement le surlendemain, exactement même cas, au même endroit, cette fois avec comme guest star : plaque xxx. Je n'ai enregistré ces deux dernières plaques que pour vous, ayant perçu ce avoir été « flashé ».... Ces deux dernier paragraphes étaient donc déjà écrits, en prévision... Après le relevé pour l'inspecteur de police, qui ne m'a pas plus répond que les autres, j'ai arrêté, car c'est quotidien, tout le temps, ça n'arrête pas. Hier, je prévenais d'un appel de phare le chauffard derrière moi pour le prévenir d'un vélo mal visible en bordure de route. Résultat : appel de phare (« merci » ? ça n'en avait pas l'air). Il m'a ensuite collé sur plusieurs kilomètres et dans une zone limitée à 50 et où, en réalité, la vitesse adaptée est plutôt de 35 ; j'ai ralenti, sur une courte distance, ce qui m'a valu (tenez-vous bien) un second appel de phare. Les gifles doivent pleuvoir ! Que faites-vous contre tous ces énergumènes qui occupent nos routes ? Que faites-vous donc ? La technologie existe pour détecter ce non-respect des distances de sécurité : le problème majeur sur la route, objectivement. Or, cela relève de la faute grossière que d'en rester à détecter des excès de vitesse qui dans certains cas, pour de bons chauffeurs comme moi, n'ont souvent aucun sens, sinon celui de la ponction sociale illégitime.

Mais ce qu'il nous faut surtout retenir dans ce qui nous occupe présentement est qu'il est tout à fait injuste et anormal qu'aucune réponse ne m'ait été donnée, même après rappels successifs [dont au Procureur du Roi du Hainaut, entre autres le 25/08/22, dont au Parquet fédéral, encore, qui le 8 avril 2022 recevait de moi un courrier explicatif précis quant à cet incident de la veille], à ce PV pour faute grave commise contre moi, et qui devrait légitimement mais encore légalement valoir un retrait de permis à vie assortie d'une peine d'emprisonnement. J'ai pourtant parfaitement documenté cette faute. Pas plus que de réponse, je n'ai obtenu quelque réparation que ce soit. Et il n'est pas plus acceptable que je n'aie reçu aucune réponse à cet envoi circonstancié à mon agent de quartier.

Entre autres : remarquons par exemple encore l'absence de réponse à ma demande porté à l'AWSR, le 28 juin 2022 ; et en particulier le long message documenté et anticipant telle amende que celle que vous m'adressez : « Pour défection d'un PV ; et pour un compte-rendu général d'un problème routier majeur », dont je peux également vous adresser la preuve. Cette absence de réponse est comme les autres fautives et devrait en elle-même, et indépendamment des arguments qui eux l'annulent, au moins tempérer votre amende.

Je vous disais notamment encore ceci, dont l'amende que vous m'amenez ne peut éviter le débat. Si l'accélération qui permet de se séparer du chauffard qui nous met en danger en nous collant l'arrière-train ne constitue pas une bonne pratique, ou la réaction attendue, est-ce que le code la route l'exprime, uno ? C'est le fait même que je vous aie posé (plusieurs fois) la question sans que vous ne jugiez utile de me répondre qui est le plus important et doit trancher ici : l'inconnue nous invite au bénéfice du doute et nous pouvons admettre alors qu'il soit convenable que le conducteur victime d'une faute grave agisse (par exemple sous le coup de la panique, mais pas uniquement, puisque je peux justifier qu'il soit raisonnablement plus prudent, du moins sous certaines circonstances, de se distancier d'un chauffard plutôt que de le laisser dangereusement collé à soi et possiblement à son enfant) de la sorte, en réagissant à cette faute (elle impunie, et pourtant détectable) en commenttant un excès de vitesse qui précisément dans ce cadre n'est plus un faute et n'en est plus une au moins par le fait même que ce conducteur y avait déjà prestamment alerté les autorités, invitées à répondre à ses vitales interrogations, deusio.

Loin de toute amende, pour jouer activement mon rôle de citoyen, je devrais être récompensé, non puni.

Pour diverses raisons dont celle-ci de laquelle je me contenterai, l'État est devenu tout à fait illégitime et doit être déchu de ses prérogatives et droits. D'aucuns parlent, notamment, de « forclusion » pour viser ce fait d'illégalité même de l'Etat, plus que d'illégitimité, qui n'ont pas bien compris que ce n'est pas par le monde légal, mais bien par le pays réel, que nous devons nous appuyer pour contester un ordre marchand tyranique dont le droit n'est en dernière instance que la codification... C'est d'ailleur pour cette même raison fondamentale que ce modèle en ligne qui doit se répandre comme une traînée de poudre ne cherche pas à s'agréger le soutien de quelque juriste stupide qui me dira comment me plier au droit parce que la loi c'est la loi, mais bien l'appui d'esprits critiques, intelligents, contestataires, adultes, humains. Pour des raisons d'intelligence et de morale plus que de droit, votre empoisonnement vous rend tout à fait illégitimes à telle taxe, par là (encore) indue. À l'heure où les Gilets jaunes se font éborgner et les femmes enceintes piquer par des injections de mort, nous sommes engagés par tout notre être à le démettre.

Votre silence est consommé et la non-réponse, diverse et variée, est ici particulièrement coupable. Je peux également encore, au besoin, démontrer cett absence totale de réponse par là encore. Ce silence coupable vaut d'ailleurs aussi (ou surtout) pour les différents appels, notamment envers les ministres de la Défense et de l'Environnement, qui en soutenant ce crime se rapprochent chaque jour un peu plus du juste châtiment.

Je ne peux être redevable de cette amende alors que je n'ai mis personne en danger, en évitant au contraire des risques probables. Je ne peux, surtout, en être redevable pour toutes les raisons évoquées et que je peux défendre devant n'importe qui, pour tous ces faits ici partiellement rappelés, et dont je peux au besoin rendre tout le déroulé, et qui doivent, loin de toute nouvelle amende, normalement me valoir répératations ou récompenses selon tout sens de justice et de droit naturel, je conteste et contesterai jusqu'au bout cette illégitime amende. Celle-ci deviendrait inique si cette juste contestation devait être, comme la précédente qui ne m'avait offert aucun motif de rejet (nouvel argument à décharge pour moi à souligner), méprisée. Comme par le passé dont vous n'avez pas encore tiré leçon, je ne peux légitimement non plus être convoqué devant un tribunal sans qu'une réponse correcte à cette juste contestation ne me soit adressée. La précédente, qui m'avait autorisé à ne pas répondre à cette convocation alors irrégulière, se contentait de m'informer que ma contestation n'avait pas été acceptée (là où elle était en plus plus forte que celle-ci en ce que, dès le départ, je contestais ce fait objectif qui rendait à la fois le PV et la convocation caducs : je n'avais jamais reçu le PV original, mais seulement le PV augmenté de frais de rappel...) Pour que cette convocation soit recevable, il faudrait encore que j'obtienne d'avance et par écrit, la garantie de remboursement, et ce quelle que soit la tonalité du verdict final à rendre, de toute perte à mon salaire imputable à l'absence que la parution impliquerait.

Et parce que je m'adresse à des hommes et non à des machines et aux sous-hommes de leur infra-monde, c'est à des hommes et non des institutions anonymes que je demanderai directement des comptes si une nouvelle fois, mon appel, visible pour tous dont l'agent ayant enregistré ma vitesse auquel ce texte sera partagé, devait être ignoré.

Meilleures salutations.