Chroniques de contestations radicales de lamentables PV pour excès de vitesse

Affaire VIAS

Affaire VIAS, parallèle, plus importante encore, reflétant encore l’inaccessibilité totale de la justice ainsi que renforçant d'autres arguments à sa réfutation totale. Agrave; cette affaire, j'attends encore un verdict et à laquelle mon avocat me rapporte que « mes écrits n'auraient pas plus au juge ». Je crois rêver. En tout cas, le tout de l'affaire est articulé ici, dans ce PDF qui est le document de ma défense dans ce dossier vieux de plusieurs années...

Pour ce dossier et tous les autres, parallèle : lettre au Procureur du Roi du Braban wallon.

Lettre ouverte à des associations de victimes de la route : L'État se moque des parents de victimes comme il se moque d'Émilie.

Synthèse finale d'une affaire plus récente, celle traitée principalement sur cette page, à destination des principaux intéressés, pour mobilisation

Bonjour,

Tout de notre affaire est publié ici, par ce texte que nous chapitrons pour vous et tout lecteur, par ordre antéchronologique :

— ce court mot conclusif ;
— contenu vivant (qui ne rentre pas dans les cases) du « formulaire de griefs d’appel » ;
— réaction, vers Procureurs et divers magistrats, à la réponse du tribunal qui se soustrait à l’acte de justice ;
— le contenu de notre défense vis-à-vis d’un illégitime procès pour excès de vitesse ;
— notes préliminaires (optionnel, approfondissements pour les curieux).

Ajoutons uniquement ces quelques mots :


D’abord, rappelons que la disproportion entre l’amende et les faits reprochés est inouïe et en elle-même, seule, et pour des gens pour laquelle elle serait tout simplement impayable, justifie le renversement de table, la contestation virile d’une justice qui n’en a que le nom.


Martelons que rien du tout ne peut justifier que durant tous ces longs mois aucune réponse ne nous ait été adressée, et plus encore que la justice ne puisse être rendue pour un mesquin et minable vice de forme, dans ces circonstances-là, dont ce mutisme des autorités qui lui-même aurait déjà dû détruire cet ordre à comparaître devant tribunal (avec l'énergie qu'il engage)...

Disons ensuite que bien que la somme des arguments donnés et déployés soit déjà écrasante, nous pourrions encore en ajouter. Au rayon des arguments techniques, sans évoquer l’argument de fond * qui tranche le débat par la plus fine point de l'âme là où il doit être tranché, et qui d’une façon ou d’une autre vous reviendra comme un boomerang, songeons seulement à ceci encore : dans les conditions de route décrites (dont nuit, éblouissements...), difficiles, voire exécrables, et qui rendent le respect de ces limitations à tout moment virtuellement impossible (sauf preuve du contraire que nous attendons toujours) : pouvez-vous nous dire, et de préférence prouver, que le radar se situait à bonne distance du panneau de changement de vitesse maximale de 70 à 50, et que nous aurions alors eu le temps de ralentir, ce que nous n’aurions pu faire autrement — très plausiblement, dans ces conditions-là, de nuit —, puisque nous n’aurions pu l’anticiper, ne connaissant, de plus, pas du tout cette route que nous empruntions pour la toute première fois ? Cette question à elle seule — à elle seule — a tout pouvoir de rendre le procès-verbal que vous nous infligez absolument caduc...

Rappelons enfin que si nous affirmons que les exécuteurs de cette ignoble peine nous seraient redevables si elle devait être maintenue, c’est tout naturellement, selon tout principe raisonnable d’intelligence et de justice humaine supportable, que nous le faisons, et nous affirmons encore qu’il ne pourrait en aller autrement, comme nous rappelons que nous sommes tous appelés à notre devoir humain de lumière, aux commandements de justice que nous ordonne le combat que nous avons à mener, sans plus attendre, contre les ténèbres de Davos, ses Orks et godillots.

Sincèrement.

*

Contenu vivant (qui ne rentre pas dans les cases) du « formulaire de griefs d'appel »...

Tout est là. Malgré nos arguments forts, notre droit élémentaire de réponse, au nom duquel nous n'aurions déjà pas dû être conduit devant un tribunal, nous a été enlevé pour un mesquin vice de forme, qui est de surcroît tout à fait incompréhensible, puisque notre adresse postale dite manquante et qui clôt le débat de votre côté était lisiblement donnée dès le « FORMULAIRE DE CONTESTATION EN CAS D'INFRACTION ROUTIÈRE », et qu'à aucun endroit nous n'avons été averti que cette mention devait figurer dans le ou les courriels qui ont suivi ce formulaire. La formule « nul n'est censé ignorer la loi » rencontre là encore raisonnablement ses limites naturelles... Cette amende injustifiable et infamante devient, par ce qui nous a été répondu, c'est-à-dire rien, purement inacceptable ; et tous les signataires à son indigne exécution doivent y répondre — comme devra répondre de ses ignobles bassesses ce cher monsieur Mievis qui pas plus que d'autres pleutres d'Administration ne pourra se dissimuler longtemps encore derrière l'Institution pour soutenir les empoisonneurs de puits (circoncis ou non, d'ailleurs) dont l'action seule rend caduc ce PV, finalement tout aussi méritant qu'eux des leçons ou du sort que Davos leur promet, et pas uniquement par injections létales. Nous le répétons à ceux qui, pauvres en esprit comme en morale, dissimulent commodément leur couardise dans les interprétations de mirliton : ces formules ne sous-entendent pas de menace, laquelle est en revanche caractérisée dans ce que nous dénonçons, dans les coups et les peines que nous devons prendre en gré... C'est que, d'une façon générale, dans un infra-monde devenu totalement irrespirable, les planqués ne pourront plus éviter les logiques de la confrontation et du duel vers lesquelles la nécessité, à l'aune de laquelle plus personne ne jouit d'immunité, les conduira, et qui n'acceptera au change aucune carence. Les logiques et les êtres qui soutiennent cette injustice, qui n'est qu'anodine en apparence, fractale d'une injustice générale insoutenable, ne pourront plus endiguer longtemps encore les passions furieuses qu'ils génèrent et cumulent. Nous avons soupé des faquins, des tripoteurs, pleutres, queues plates de sous-préfectures, cuistres et butors de la sous-culture médiatique et politique, dont les ordres sont de moins en moins légitimes. Nous ne pouvons que regretter amèrement que messieurs Pieraert et Delhaye ne nous laissent aucune possibilité réelle de contestation de ce PV, de réponse normale et attendue par tout ordre de justice. Or, la seule chose que nous avons demandée et demandons encore avec urgence est un modeste droit de réponse à une amende que nous démontrons comme étant tout à fait malhonnête, patiemment et courtoisement. Et nous ne pouvons qu'espérer dès lors que la possibilité de débat, mérité, ne nous sera pas barrée plus longtemps encore. Sans cela, le préjudice, celui de cette somme inouïe qui est du pain lâchement retiré de l'assiette de nos enfants, est bien ouvert : vous nous êtes objectivement redevables et nous réclamerons justement ce qui nous est volé et dû.

Réaction, vers Procureurs et divers magistrats, à la réponse du tribunal qui se soustrait à l'acte de justice...

Bonjour,

Je mets en branle toutes les ressources qui sont à ma disposition, dont la publicité de ce dossier, à des centaines de lecteurs choisis, et continuerai de le faire tant que la situation en commandera la nécessité, pour toucher toute personne sensible ou mobilisable, et pour interpeller les parties prenantes à cette triste affaire en tout premier lieu.

Alors que je vous ai rendu de très valides raisons à ce très relatif excès de vitesse, que ces raisons restent à ce jour incontestées (je vous y mets au défi, que je crois sincèrement vous ne pouvez relever, d'où ce couard motif de formalisme pour éviter l'échange), en réponse à une situation qui n'aurait pas dû me conduire devant des tribunaux par ailleurs engorgés et qui devraient partant plutôt s'occuper des criminels multirécidivistes, dont bouilleurs d'enfants, qu'ils laissent libres et qui peuplent nos quartiers, la situation m'invite naturellement à embrasser les voies de recours disponibles, pas uniquement celles qui me sont législativement données et qui n'offrent qu'un très mince possibilité d'expression que toute justice se doit de ménager.

Que m'ait été refusée la possibilité d'être entendu sur ce PV parce que mon adresse de domicile a manqué sur tel ou tel document, c'est-à-dire pour un vulgaire vice de forme, ne procède pas seulement de la vile mesquinerie, mais de l'infamie en bonne et due forme, et renforce encore la conviction de ma démarche.

Vous me contraignez encore à me déplacer, de surcroît après tous les efforts déployés déjà pour entrer en contact avec vous, par mon temps précieux et un carburant au prix artificiellement gonflé, à me rendre en personne à un tribunal pour y remplir un « formulaire de griefs d'appel » (après, c'est à parier, que j'aie à patienter un temps anormalement long qui ne sera pas non plus rétribué).

De qui pensez-vous vous moquer, au juste ? Compte tenu de la gravité de l'amende que j'ai reçue, laquelle commence par une disproportionnalité de peine qui est purement inouïe, et contestable en entier en cette seule qualité-là, impayable aussi pour la plupart des gens, virtuellement impayable pour moi-même et qui forme assez naturellement dans ces conditions un passif envers moi pour ceux qui la prononcent et le font de cette façon, ce jugement ne peut pas être lu et ressenti autrement que comme une insulte, encore appuyée par le verdict d'autres affaires, me concernant ou concernant tant d'autres citoyens moqués.

C'est en vertu d'un droit humain ramené à hauteur des sens que je vous rends ici la totalité de mon dossier, que je n'ai pas pu présenter au ridicule motif de lacune de mon adresse de résidence à quelque endroit, que je n'ai même pas pu identifier, cette adresse ayant été parfaitement et lisiblement donnée dès le « FORMULAIRE DE CONTESTATION EN CAS D'INFRACTION ROUTIÈRE », comme je peux en attester par des photographies du courrier recommandé avant envoi.

Tandis que ma juste colère est encore alimentée, depuis, moins par les faits, divers, de chauffards conduisant à tombeau ouvert et aux immatriculations enregistrées elles aussi, le faisant aussi par un mauvais temps synonyme de risque accru de graves invalidités des êtres proches qui peuvent se trouver dans mon véhicule, que le contraste saisissant entre ces faits et la façon que vous avez de traiter mes appels et interrogations, ma légitimité à contester est quant à elle encore appuyée par le piteux niveau de réponse des autorités en général, outrepassant fréquemmeent tout principe naturel de décence commune, et d'abord par un mode de communication autistique qui vous rend inaccessibles aux citoyens, et déjà par là assez peu supportables, ou encore appuyée par ce fait, exposé avec les autres dans le dossier que je vous remets (et qui vaut véritablement comme contenu que vous aurez à lire pour ce « formulaire de griefs » lui-même assez lamentable, limitant affreusement les possibilités d'intelligence), que cette amende stupéfiante est d'autant moins légitime que je n'ai jamais reçu la moindre réponse à mes diverses interpellations (démocratie participative !), dont une majeure au SPF Mobilité quant à la distance de sécurité et aux réactions raisonnables face au délit (dont, précisément, l'accélération au-dessus de la limite de vitesse, également encore a priori justifiable en l'absence de réaction des autorités par le fait de devoir noter une plaque d'immatriculation), dont le non-respect commun, gravissime et par ailleurs documenté par un citoyen engagé doit déjà régler son compte à ce PV — taxe déguisée : à l'opposé, des chauffards fortunés peuvent rouler n'importe comment tout en se foutant des amendes et en n'étant jamais punis des fautes routières graves que fréquemment ou quotidiennement ils commettent —, comme j'en fais la démonstration que je pourrais en tout point approfondir si le niveau montait un peu.

Par-dessus le marché et les raisons d'utilité marchande, nous avons encore le devoir d'informer une magistrature qui tolère et parfois conduit tous les vices, dont les plus innommables, comme celui de rappeler à des Meyer Habib qu'ils ont intérêt à se calmer, sans les menacer, mais simplement pour leur indiquer qu'ils ont tout intérêt à cesser leurs propres menaces, à changer, à devenir ou redevenir humains, car leurs insultes constantes et leur ouvrage pour Satan, eux bien réels et sentis, en ces temps où notre devoir d'homme, celui des hommes qui en sont encore et sont résolus à le rester, qui y persistent, nous appelle à un combat sans merci contre Davos et ses Orks, à nous retrousser les manches, à briser les homologations des ordres iniques de cet infra-monde qui tombe, et qui dans sa chute que nous devons amortir donne le tampon à la mutilation de nos gens paupérisés comme à l'injection de produits de mort à nos petits, parce que leurs manigances et basses œuvres seront forcément un moment rattrapées par la nécessité, et par ces hommes, parfois parents, qui se battent pour la vie contre ceux qui veulent la leur prendre. Et ce mouvement a déjà commencé, qui sera bientôt inarrêtable. Plus qu'à intercéder en ma faveur, je vous invite à en prendre le train.

Tout aussi respectueusement que sincèrement.

Le contenu de notre défense vis-à-vis d’un illégitime procès pour excès de vitesse

À qui de droit,

DANS UN ORDRE DIFFÉRENT, CE DOCUMENT NOUS APPREND POUR L’ESSENTIEL QUE :

— Ces 337 € pour un dépassement de quelques km/h est une peine tout à fait disproportionnée, inouïe même, intolérable à l’aune notamment du salaire moyen, qui ne peut raisonnablement être recevable déjà par là.
— Route mal éclairée ; conditions routières de nuit ; éblouissements ; changements de vitesses successifs (et peu sensés), mais encore : il faudrait m'apporter la preuve qu'un chauffard ne me collait pas l’arrière-train au moment des faits retenus, et que je n'aurais pas eu une bonne raison soit de ne pas freiner pour respecter le panneau de limitation de vitesse à bonne hauteur parce que je n’aurais pas risqué d’être percuté, soit d'accélérer pour alors retrouver la vitale et souveraine distance de sécurité, soit encore de ne pas avoir décéléré à temps pour être sous la vitesse maximale à hauteur de panneau pour de mêmes raisons de distance de sécurité. Aussi ai-je eu raison de ne pas respecter strictement le code de la route soit en ne freinant pas soit en accélérant pour au moins les deux raisons suivantes, en plus de la plus importante qui est la sauvegarde de mon intégrité physique : absence totale de réponse des autorités sur mon questionnement (notamment le SPF Mobilité) ; absence totale de rétribution quant aux dizaines de plaintes déjà déposées, dont une suivant les règles pratiques, en commissariat de police.
— Si le juge ne peut pas me démontrer que notre gouvernement nous protège en empêchant ces avions de l'OTAN de nous empoisonner, je lui réponds logiquement que son PV est fondamentalement irrecevable.
— Chacun de ces trois points suffirait à lui seul, sans les deux autres, à soutenir ma contestation de ce PV pour excès de vitesse ; leur addition rend le fait de la nullité de ce dernier imparable.

La somme des arguments techniques qui rendent ce PV pour excès de vitesse caduc est considérable. La voici présentée, en ligne, pour l’exemple : www.inmediares.be/ovdns/pv [dont l'exposé maintient l’esprit et la cause de notre argumentation].

1.1] Soulignons-ci, parmi ces arguments-là, l’indépassable problème [du non-respect] de la distance de sécurité :

Pouvez-vous prouver qu’au moment d’être flashé, je n’étais pas collé à l’arrière-train par le véhicule qui me précédait ?

En plus d’avoir démontré que c’est hyper probable que je le fusse, je démontre qu’accélérer devant un chauffard pour creuser l’écart au lieu de maintenir une distance dangereuse n’est pas une faute, par l’idée nette de stress légitime ou celle de réponse honnêtement appropriée. Tout PV pour excès de vitesse ultérieur serait légitimement considéré comme nul et non avenu pour cette même raison ; et je démontre aussi que sa justification prend un sérieux plomb dans l’aile du fait de l’absence totale de réponse, coupable et objective, de la part des autorités quant à mes considérations sur cette question précise de sécurité, appelant justement au dialogue et en tout cas à leur éclairement pour me permettre une ligne de conduite.

Plus simplement, sans avoir accéléré, j’ai pu ne pas avoir eu l’occasion de freiner, pour de mêmes raisons de non-respect de la souveraine distance de sécurité. Ce matin encore, comme chaque jour ou quasiment, je n’ai pas pu passer de 50 km/h à 30 km/h à Ath, et me suis donc retrouvé en excès de vitesse, parce que le ralentissement voulu pour un respect strict de la loi m’aurait demandé de freiner et d’alors prendre le risque du carambolage. Or, vous ne pouvez pas sérieusement demander une décélération sans pédale de frein pour arriver à la vitesse demandée pile à hauteurs de panneau : ces anticipations ne sont pas possibles tout le temps, pour des raisons évidentes que je serais ravi d’exposer si le débat nous y portait.

1.2] Voyons encore cet argument que ces chauffards, quotidiens, étant impunis dans leur délit grave pouvant causer la mort, votre PV — dont le montant [337 € ! êtes-vous tombés sur la tête ?] est par ailleurs parfaitement inouï, tout à fait disproportionné, et irrecevable par là encore et par là déjà seulement et par exemple en vertu de ce qu’il représente vis-à-vis d’un salaire moyen — ne peut être admissible : il faudrait pour qu’il le soit ici que ceux-là, qui me contraignent d’ailleurs à dépasser fréquemment la limite de vitesse maximale autorisée sans que ces dépassements ne soient davantage punissables que celui pour lequel j’ai été photographié, ne puissent commettre tout le temps et en tout lieu leur faute grave en toute impunité. Mon positionnement est par ailleurs ici renforcé par le fait de plaintes diverses et entières de ma part, documentées elles aussi, qui ont été ignorées ; et c’est leur évocation même, à l’occasion de mes contestations dont ce document forme la synthèse finale, qui encore connut ce même triste sort.

Voir en particulier encore cet extrait de lettre adressée au SPF Mobilité le 8 juillet 2022, livré en pièce jointe avec, qui reste lettre morte plus d’un an après [!]. Sont également restés lettre morte mes messages à différents tribunaux, à des Collèges communaux, à des Procureurs du Roi, etc., dont je ne vous rends encore, en pièce jointe, qu’un très court second extrait. Je n’exagère rien : cette absence est totale.

Vous êtes évidemment invités à consulter le lien donné ci-haut pour de plus amples détails quant à ces arguments techniques en particulier, dont le manque de visibilité sur la route, flagrant dans la zone où j’ai été photographié.

Ce même lien reprend le fil encore d’un autre type d’arguments, de fond cette fois :

2.1] Voyons d’abord que cette stupéfiante absence de réponse des autorités, voulue par une justice accessible et à hauteur d’homme, non indiquée par de grossiers et virulents rappels à payer, est non seulement un motif suffisant à considérer ma réponse aux chauffards bafouant la vitale distance de sécurité comme bonne réponse, mais encore le motif suffisant à ne pas accepter tout jugement unilatéral. Pour être tout à fait sérieux : dans ce cadre, et comme je vous l’ai déjà dit cent fois sans que vous ne consentiez à la courtoisie de la réponse, c’est une convocation devant tribunal, avec la journée de travail non rémunéré qu’elle implique, qui est parfaitement illégitime.

Un second niveau, plus fondamental, d’argument de fond, règle le problème à la racine :

2.2] Ici encore, ici surtout, l’absence totale de réponse des autorités est fautive et motif suffisant à refus de cette peine inouïe (par son montant, déjà, donc). Voir en particulier :
www.inmediares.be/ovdns/meteo
www.inmediares.be/ovdns/invective

Relativisons un peu : Météo Belgique nous a répondu. La faute s’aggrave cependant puisqu’au déni s’ajoutent : le mensonge, la moquerie. Monsieur Phillipe Mievis en effet nous ment, et c’est absolument objectif.

Et ce monsieur qui nous ment et se moque de nous, sur un sujet aussi grave que celui de notre empoisonnement, celui de nos enfants, ne mérite pas d’être sur cette terre. Cette affirmation ne contient techniquement aucune menace.

Par les arguments techniques supra, je suis normalement redevable d’une grasse compensation pour l’ennui causé. Mais alors, que vous dire par ces arguments de fond ?

En langage juridique, ce qui vaut pour le droit français vaut évidemment aussi pour le droit belge, et nous pourrions d'ailleurs traduire cette illégitimité en illégalité en traduisant ces lignes pour ce droit belge :

« Vu le décret 2016-1675 portant création de l'inspection générale de la justice placée sous l'autorité du garde des sceaux qui est aussi ministre de la Justice, Vu l'article 16 de la Constitution de 1958, portant création du Conseil de l'ordre judiciaire placé, lui aussi, sous l'autorité du garde des sceaux, ministre de la Justice, Vu l'article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 : "Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution", Vu la hiérarchie des normes en droit français, Je souhaite que vous me confirmiez la légalité de votre courrier en m'indiquant l'article de cette DDHC de 1789 auquel vous vous référez. »

L'État belge ne peut me contraindre à cette peine puisque, et je le démontre donc entièrement, ne garantit pas mes droits. Et bien que je pourrais le montrer à divers endroits, dont par le covidisme qui seul et sans évoquer le plus terrible et grave sujet devrait vous faire sortir de vos gonds, je le montre par les épandages aériens de biocides sur nos têtes, celles de nos enfants, dont je suis malheureux spécialiste.

Et ce langage juridique est bien entendu insuffisant, puisqu'un ordre illégitime ne peut être légal, et qu'il nous revient de contester l'illégitimité, parce que nous sommes des Hommes, pas des Bêtes.

Ce détour par le droit comme la réponse gravement mensongère de monsieur Mievis de Météo Belgique me permettent de conclure :

Au-delà de cette grotesque peine et des toutes petites choses des affaires communes, Messieurs et Mesdames de la Magistrature, parce que vous n’êtes précisément pas des Bêtes, vous êtes humainement appelés à résister, à contredire la loi inique, à ne pas rester des queues plates de sous-préfectures, lapins de coursive, homoncules et faquins d’Administrations, et peut-être déjà moralement invités à bouter le feu de l’insurrection à tous les recoins du quotidien, et en ne vous montrant pas serviles dans ces petites affaires-là, en rompant l’iniquité du chaos ambiant par ses plus menus services.

Nous répondrons tous de nos actes.
Respectueusement, chaleureusement même.

Notes préliminaires : approfondissements pour les curieux...

Bien plus qu’à valeur particulière, cette contestation d’une lamentable amende pour excès de vitesse doit faire figure d’exemple, non pas pour le docile « citoyen » auquel l’honneur et le devoir précisément commandent de s’extraire de cette sous-condition, mais pour l’homme qui veut encore en être, au lieu de se maintenir en sous-produit de lui-même (dans l'Occident en phase terminale de vie, le consommateur mê fait preuve de davantage de combativité que lui)... En plus d’être à l’origine parfaitement irrecevable pour les arguments ici montrés, cette amende serait en plus malhonnête si sa contestation devait devait être encore une fois rejetée. Et cette malhonnêteté, accumulée et dont ce témoignage ne rend qu'un fragment de son expression sociale invivable, ne pourra elle non plus rester impayée.

En condensé

Aujourd'hui comme virtuellement chaque jour sur la route, je me suis fait coller l'arrière-train à moins de deux mètres, à 50 ou à 120 km/h. C'est une faute grave, une des plus graves, puisqu'elle risque de causer la mort. C'est une faute grave aux yeux mêmes de la législation.

Cette faute en elle-même déjà, restant impunie, ne peut tout logiquement me valoir d'être moi-même puni pour une faute dérisoire, en elle-même, et je le justifie, et surtout encore en comparaison à cette faute grave-là impunie, comme je le justifie encore.

Votre demande est d'autant plus illégitime par ce fait net et précis que ces fautes — répétées et (très) graves qui ne sont pas punies et qui en tant que telles rendent déjà irrecevable celle dont vous me faites le reproche — sont documentées. Cf., notamment, ce PV que j'ai fait dresser et pour lequel je n'ai pas reçu davantage réparation qu'à au moins un autre fait (de vol cette fois) plus ancien resté lui aussi irréparé (et dont je peux également produire le procès-verbal de la plainte déposée).

Votre demande approfondit encore son illégitimité par ce fait, tout aussi net, que cette documentation, avec mes différentes interpellations des autorités, parfois pour simple questionnement technique, n'ont connu aucune réponse. Ce fait-là, en plus des autres, est parfaitement anormal.

Pour revenir sur le reproche en lui-même. 227 € est une somme inouïe, disproportionnée, illégitime, pour les arguments techniques ici pleinement déployés. Parmi ceux-là, et en plus notamment du fait d'éblouissement qui rend techniquement imperceptibles les changements successifs de vitesse maximale qui sont encore en eux-mêmes très peu pertinents mais agressifs la nuit, vous ne prouvez pas que je n'étais pas collé au cul, et que je n'aurais alors pas eu là toute raison légitime d'accélérer, et toute raison de le faire par ce fait au moins qu'une question précise sur le sujet, demeurée lettre morte, a déjà été posée aux autorités... C'est une somme inouïe encore dans un contexte plus large, et nécessairement à élargir pour viser toute intelligence, et un contexte en l'occurrence social : c'est une somme impayable pour la plupart des gens. Et je suis ici la plupart des gens, l'automobiliste générique à traiter comme tout autre automobiliste. Si une distinction ne doit être opérée là, elle peut l'être ici : je suis citoyen assez exemplaire en ces matières, contribuant activement à l'amélioration de la sécurité routière, qui au lieu d'être taxé devrait être remercié ou récompensé.

(Pour la forme, j'enregistrais par ailleurs ceci auprès de mon avocat — qui me dit qu'ici après ma contestation, la seule façon de contester pour moi est d'attendre convocation devant tribunal, ce qui est parfaitement anormal aussi, au moins pour ce fait majeur que votre refus à ma contestation était de fait infondé — le 1 mars, en réaction à votre premier rappel de paiement que je venais de recevoir, avant un second rappel reçu le 6 avril : le courrier stipule que j'aurais « reçu une amende et un rappel » : or, c'est factuellement faux, puisque je n'avais reçu que l'amende et que ce courrier auquel je réagissais ne constituait que le premier rappel, précédé par ma contestation et son rejet sans motif.)

Ajoutez à cela que c'est le refus de ma contestation qui n'est pas recevable, puisqu'il n'est pas motivé par le moindre argument. Et sans compter encore que ce manque-là, sur l'historique de tous les autres, représente une très grande marque d'irrespect, ce PV est parfaitement irrecevable dans un contexte plus général encore, celui de l'illégitimité totale de votre parole par vos manques graves (dont l'exposé sert de salubre exemple public, avec ceci notamment, ou comme cette contestation d'ailleurs).

Ce PV, parfaitement illégitime, est dans ces conditions encore parfaitement insupportable, et ceux qui signeraient son exécution m'en, je le jure, devront la somme et le préjudice.

Morale mise de côté, sur le seul plan intellectuel, ce PV en ses entêtés et idiots rappels qui ignorent illégitimement mes précises et justes objections (et précises et justes en cette indirecte raison que vous n'y apportez pas le moindre morceau de contradiction), est une injure à notre histoire et à l'humanité ; et ceux qui se commettent à ces bassesses au lieu de baisser la garde sont attendus par la communauté des hommes, à redevenir humains, à s'employer à détruire un système complètement irrespirable et inhumain, attendus par le mouvement insurrectionnel qui monte et qui, irrépressible, ne pourra pardonner à la racaille du pouvoir ses coups de matraque.

Svp, épargnez-moi d'avoir à discuter de cela devant un tribunal, où je n'ai pas ma place, épargnez-nous de nouveaux échanges de sourds un juge qui comme l'a montré l'histoire sera assurément dépassé, et par là incompétent, pour converser sérieusement avec moi de ces arguments, dont je ne vous dois par ailleurs déjà plus l'effort (qui serait à admettre encore au préjudice) par la nullité des réponses que ces arguments bien amenés et répétés ont rencontrées jusqu'ici...

Pour PV à annuler, aussi respectueusement que sincèrement.

Constatations et premiers et entiers motifs de contestation

Par votre PV # N.95.C7.800509/2022, vous me faites grief d'avoir roulé à la vitesse de 75 km/h au lieu de celle autorisée de 50 km/h, à Frasnes-lez-Anvaing et à un lieu que je devine mais que vous manquez de m'indiquer (en sus de l'information capitale de la durée à laquelle j'aurais commis cet excès, et qui est sûrement très courte).

Avant tout déroulement : êtes-vous tombés sur la tête, pour me réclamer cette somme inouïe de 227 €, par ce procès-verbal reçu le 22/12 qui ne me laisse que ce délai non raisonnable de 4 jours pour le contester ? Ce montant, vis-à-vis de ces faits et du revenu moyen, est déjà inadmissible qui acte en lui-même un motif entier pour sa contestation radicale.

D’une façon générale, mais certainement sur cette chaussée où j’ai été pris : il n'est pas légitimement envisageable de demander au conducteur prudent de suivre cette succession de limites maximales autorisées de 30, 50 et 70 km/h, pour différents motifs, dont je ne retiendrai que ceux-ci :

Reprise des arguments

  1. Disproportion du montant réclamé vis-à-vis de la faute (pensez-vous par exemple au prix de l'énergie pour le portefeuille moyen du conducteur moyen susceptible de recevoir telle amende, et qui est déjà un vol) ?
  2. La faute elle-même est extrêmement relative et contestable : voir éléments repris plus haut. De ces éléments, ne manquons pas : pouvez-vous me prouver qu'un chauffard derrière moi qui m'aurait fautivement collé l'arrière-train (comme c'est très fréquemment le cas, lequel justifie des excès de vitesse et les justifie du seul point de vue du point 4) ne m'a pas incité à accélérer ?
  3. Un éventuel et nouveau rejet non argumenté de cette contestation constituerait, selon tout sens primaire de droit, un motif entier de malhonnêteté, et par conséquent et en lui-même une raison déjà suffisante de refus radical de règlement de cette amende.
  4. La non-réponse des autorités à mes différentes interpellations et questions sur ces sujets précis — dont celui du non-respect de la distance de sécurité — constitue elle-même encore raison raisonnable et suffisante de refus d'accéder favorablement à votre requête par là encore indue.
  5. La non-réponse absolue à une plainte déposée pour faits graves commis contre moi (voir plus bas) soutient encore, décisivement, ce dernier argument.
  6. Celui-ci est encore supporté par l'absence, également absolue, non seulement de réponse, mais aussi de réparation vis-à-vis de ces faits et de la plainte dûment déposée.
  7. Admettons-y encore la double absence (réponse et réparation) sur d'autres faits, que je peux au besoin relater, comme le vol de 400 € de matériel de sport dans mon véhicule.
  8. Cette amende devient implacablement irrecevable par les attaques mêmes du gouvernement dont nous sommes objectivement la cible.

Déploiements de quelques arguments principaux

Je vous renvoie au procès-verbal d'audition # JU 002058/22, déposé le 31/05/2022, pour faits graves dont j'ai été victime.

Entre autres courriers dont je peux également faire état, je vous montre ce message daté au 18/10/2022, resté lettre morte, à destination d'un inspecteur de police, mon agent de quartier dont je n'ai (encore) aucune raison suffisante de mentionner le nom ici. En voici les extraits parlants et que je peux évidemment vous le rendre dans son intégralité, avec les plaques d'immatriculation que pour de plus évidentes raisons je tais ici.

Je tiens avant tout à relativiser ce que je vais exprimer ici. Bien que certaines choses décrites sont, sans doute très justement, qualifiées de graves, il faut les entendre dans leur propre échelle : ce sont les difficultés à venir, qui doivent nous réunir en tant que prolétaires et non pas nous encourager à nous déchirer, qui sont elles gravissimes. Il est évident que je ne tiens évidemment pas vous personnellement responsable de ce que je déplore et de l'objet de la plainte déposée. Au contraire, j'espère pouvoir trouver ici un allié (ou sinon du moins un répondant), oui certes à cette question, mais bien plus encore, sur les raisons qui doivent nous réunir en communautés soudées face à une crise qui vient... [...]

Enfin, je voulais surtout vous contacter concernant le problème spécifique, et grave, des chauffards qui ne respectent pas la distance de sécurité, c'est-à-dire la base de la base de la conduite, avant même la priorité de droite.

Un incident de ce matin me pousse à vous y interpeller sans plus attendre.

Dans la circulation d'xxx ce matin peu avant 8h30, à un automobiliste qui à 50 ou 70 km/h me collait l'arrière-train à une distance d'environ 1 mètre, ce qui constitue une faute inouïe (quoique tout à fait habituelle), j'ai demandé via le rétroviseur par un signe des deux mains [qui se rapprochent et s'écartent successivement pour mimer l'écart entre deux objets...] de respecter cette distance. Aucune réaction : il me collait toujours. À la sortie du rond-point suivant, pourtant quelques dizaines de secondes plus tard, ce dernier est littéralement devenu fou. Il m'a collé de plus belle avec appels de phare à répétition, continus. Au cas où il voulait me dépasser sauvagement, j'ai ralenti sur la bande d'arrêt d'urgence. Par des gestes simiesques [...] bien perçus par mon rétroviseur, je lisais dans son agitation qu'il voulait que je m'arrête, pour en découdre. J'ai naturellement poursuivi mon chemin, mais à l'approche du rond-point suivant, j'ai dû ralentir, et l'individu a saisi sa chance et est sorti de son véhicule en courant pour m'approcher. Il n'a pu arriver jusqu'à moi parce que j'ai pu avancer. L'autoroute suivait immédiatement ce rond-point et l'individu, extrêmement énervé parce que je lui avais demandé d'un simple geste (là où le doigt qu'il n'a pas reçu aurait été cent fois mérité) de ne plus me coller l'arrière-train, a pu me voir la prendre. J'ai donc accéléré sur quelques kilomètres au-dessus de la limite légale pour échapper à un maniaque (et l'« actualité » nous renseigne que ceux-là sont monnaie courante) qui me faisait la course pour, à mon avis, autre chose qu'un thé à la menthe.

Véhicule : plaque xxx.

Ces chauffeurs doivent être mis hors d'état de nuire, précisément parce qu'ils ne tiennent la vie à aucune valeur, et mettent en danger celle des êtres pour lesquels la vie est, au contraire, importante, voire sacrée. Si statistiquement parlant, d'un pur point de vue de probabilités sur lequel je ne veux pas miser, ce sous-produit humain n'aurait sans doute pu accuser le choc d'une confrontation physique contre moi, celui-ci n'a aucune valeur et ma vie, et surtout ma vie de père, en a beaucoup (infiniment) trop pour que je m'y arrête. Ces gens ne méritent pas que nous les combattions en face-à-face dans la rue, que nous prenions le risque d'être abimés ; et le risque est réel : compte tenu de la composition de l'Ork, il n'est pas improbable, mais plutôt même attendu qu'il soit déloyal, et qu'il s'en prenne à vous avec une arme. Ils méritent d'être punis. Je vous demande ici, par ce dépôt de plainte, que cela soit fait, pour que je n'aie pas moi-même à le faire.

L'absence de réponse des autorités de la route est d'ailleurs absolument ahurissante. Trouvez, ci-bas *, quelques plaques que j'ai pu relever (sur une durée très courte, pour l'expérience) quant à ce fait qui est déjà très grave en lui-même : le non-respect de la distance de sécurité, qui même sans tout le bonus de ce qui m'est arrivé ce matin est un danger de mort, une faute devant valoir punition pour ceux qui la commettent, que ne peut certainement tolérer le père de famille qui circule avec ses enfants. Le moindre coup de frein appuyé devant un danger subit (animal, flaque d'huile...) est c'est l'accident assuré, voire le carambolage, et les dégâts physiques gravissimes. Comme déjà indiqué pleinement au SPF, je m'emploie ici comme « citoyen » dans mon pouvoir « attendu » en « démocratie participative ». Ce relevé n'est que le modeste aperçu d'une situation intolérable, Monsieur l'Inspecteur, notamment donc dans ce fait que des conducteurs comme moi peuvent être punis pour avoir roulé à 56 au lieu de 50 tout en devant partager la route avec des chauffards qui vous mettent en danger de mort impunément.

« Si vous collez volontairement un autre véhicule pour le faire accélérer, cela peut être interprété comme une incitation à une vitesse excessive. Il s’agit d’une infraction du quatrième degré (le plus grave), résultant en un renvoi devant le tribunal et une déchéance du droit de conduire. » ASWR

Par la présente, aussi demandé-je une aide d'État pour le système d'écran LED que je vais me procurer pour messages écrits lumineux à activer pour ces chauffards. Les autocollants « bébé à bord » ne servent à rien...

J'imagine au surplus qu'il est inutile de signaler qu'il va de soi que je ne pourrais être redevable de quelque éventuelle amende pour excès de vitesse ici, dans l'événement de ce matin...

Et il va en réalité également de soi, du fait des manquements (graves puisque concernant des faits eux-mêmes graves) de l'État quant à l'absence de toute réponse à la fois sur une plainte déposée en bonne et due forme pour faits plus graves encore et sur plusieurs demandes d'explications transmises aux autorités compétentes dont je ne vous envoie dans un fichier compressé également ci-joint [contexte.zip], avec la plainte originale ainsi qu'un récapitulatif auprès du Procureur du Roi resté également lettre morte (après avoir été gravement laissé dans les choux par celui, qui m'est objectivement redevable, du Brabant wallon], qu'une partie. [...]

Il doit au moins également être entendu que ce papier-ci, très officiel qui contient de toute façon toutes les informations que je pourrais donner de vive voix en personne à un policier dans un commissariat, tient comme plainte en bonne et due forme. Je rappelle en effet que je n'ai reçu aucune réponse (ce qui est implacablement inadmissible dans ce cas enregistré de tentative de meurtre) ni quant à la peine que ce chauffard qui doit être aussi sorti du circuit (et le cas échéant être reconduit à la frontière à défaut de subir la juste rétribution physique méritée) va encourir ni sur tout début réparation à laquelle je dois normalement éligible sans avoir à la réclamer.

Enfin, je saisis l'occasion pour signaler qu'un chauffeur fou est passé à toute vitesse Chemin du xxx en pleine période de festivités autour du château de Belœil en août dernier, plus précisément une soirée de représentation du spectacle Pinocchio. La présence d'enfants, de familles, ne l'a pas empêché de parcourir cette route à au moins 80 km/h. Je n'y étais pas, mais ma compagne et mon jeune enfant bien. Un homme scandalisé sur place a dit qu'il le signalerait, m'a-t-on rapporté. Un peu plus tard, le 12 septembre peu après 20 heures, en balade par là avec ma famille, j'ai croisé ce (probablement) même chauffard, qui commettait au même endroit le même délit (sans que je ne puisse relever son immatriculation ; mais : véhicule de type berline Mercedes je crois, sans certitude) évidemment grave et nous obligeant de nous retrancher avec poussette dans les zones d'herbe bordant la route, et qui doit être stoppé également, sinon par la police, par des hommes.

* À partir du 29 sept. 2022 :

29-09-22 :
— CAMIONNETTE société xxx : colle derrière autoroute.
— VW : plaque xxx : colle derrière + dépasse dangereusement (et sans aucun intérêt : puisque je le rejoins au rond-point suivant et qu'il n'aura même pas économisé une minute de temps sur son trajet).

04-10-22 :
Mercedes berline grise ancien modèle : plaque xxx : me colle le cul même après divers avertissements sur des kilomètres entre xxx et xxx...

05-10-22 :
Petite Fiat sombre : plaque xxx, me colle le cul sur plusieurs km, et malgré avertissements continue à le faire. Patine sur léger coup de frein nécessaire de ma part ! Et après cela, en plus me dépasse dangereusement.

06-10-22 :
— Petite voiture : plaque xxx : me colle le cul à xxx, sur une courte distance, mais de façon assez scandaleuse (moins d'un mètre de distance). Heureusement, semble bien réagir à ma remarque et se décolle un peu.
— Plaque xxx : barbu, chaussée de xxx (xxx), me colle le cul et est pris de court à feu rouge par arrêt net.

07-10-22 :
Plaque xxx : bonne femme me colle le cul. Continue malgré mes signes que manifestement elle aperçoit...

12-10-22 :
Plaque xxx : me colle le cul au carrefour vers xxx, sur chemin retour du boulot, avant le passage de 50 à 90. Tourne dans la rue qui prend départ dans un virage de la rue d'xxx.

13-10-22 :
Plaque xxx (possible erreur sur les nombres, mais pas les chiffres) Renault blanche : m’a sévèrement collé le train sur la grande distance entre xxx et xxx sur le retour du boulot.

14-10-22 :
— Ford Ranger plaque xxx — photo prise. Doit changer de bande, d’urgence, pour ne pas me rentrer dedans, tellement qu'il me collait, quand sur autoroute je ralentis pour passer à 70. Et il ose me faire un doigt d’honneur en sortant ! Autoroute entre xxx et xxx. Le retrait de permis est évidemment un grand minimum...
— Fourgonnette blanche plaque xxx [ou... 090, mais je suis en tout cas sûr du 0]. me colle le cul GRAVEMENT dans les ronds-points de sortie d’autoroute en provenance d’xxx vers xxx.

17-10-22
Sur le ring de Bruxelles :
— Plaque xxx : une voiture rouge me colle le train sur la bande de gauche, à 100 ou 120, et me colle très sévèrement. Erreur qui mérite le retrait de permis immédiat.
— Plaque xxx (ou xxx) Idem, abominable *** (vraisemblablement), qui me colle le train et fait ensuite des manœuvres dangereuses pour me "parler" après mon geste qui lui demandait simplement de se décoller.

Je peux ajouter à ce relevé, entre mille :

21-11-22 :
Plaque xxx : un type qui arrive à toute allure ne s'arrête pas sur la place de la pharmacie (et une fois passé la pharmacie, en direction de la rue du xxx que je prends) de xxx-village, au rond-point, alors que je suis dans le rond-point et qu'il doit me céder le passage. Faute grave ou très grave. Ne s'excuse pas de la moindre façon non plus, et même après mes deux coups de klaxon et appels de phare.

23-11-22 :
Soit exactement le surlendemain, exactement même cas, au même endroit, cette fois avec comme guest star : plaque xxx. Je n'ai enregistré ces deux dernières plaques que pour vous, ayant perçu ce avoir été « flashé ».... Ces deux dernier paragraphes étaient donc déjà écrits, en prévision... Après le relevé pour l'inspecteur de police, qui ne m'a pas plus répond que les autres, j'ai arrêté, car c'est quotidien, tout le temps, ça n'arrête pas. Hier, je prévenais d'un appel de phare le chauffard derrière moi pour le prévenir d'un vélo mal visible en bordure de route. Résultat : appel de phare (« merci » ? ça n'en avait pas l'air). Il m'a ensuite collé sur plusieurs kilomètres et dans une zone limitée à 50 et où, en réalité, la vitesse adaptée est plutôt de 35 ; j'ai ralenti, sur une courte distance, ce qui m'a valu (tenez-vous bien) un second appel de phare. Les gifles doivent pleuvoir ! Que faites-vous contre tous ces énergumènes qui occupent nos routes ? Que faites-vous donc ? La technologie existe pour détecter ce non-respect des distances de sécurité : le problème majeur sur la route, objectivement. Or, cela relève de la faute grossière que d'en rester à détecter des excès de vitesse qui dans certains cas, pour de bons chauffeurs comme moi, n'ont souvent aucun sens, sinon celui de la ponction sociale illégitime.

Mais ce qu'il nous faut surtout retenir dans ce qui nous occupe présentement est qu'il est tout à fait injuste et anormal qu'aucune réponse ne m'ait été donnée, même après rappels successifs [dont au Procureur du Roi du Hainaut, entre autres le 25/08/22, dont au Parquet fédéral, encore, qui le 8 avril 2022 recevait de moi un courrier explicatif précis quant à cet incident de la veille], à ce PV pour faute grave commise contre moi, et qui devrait légitimement mais encore légalement valoir un retrait de permis à vie assortie d'une peine d'emprisonnement. J'ai pourtant parfaitement documenté cette faute. Pas plus que de réponse, je n'ai obtenu quelque réparation que ce soit. Et il n'est pas plus acceptable que je n'aie reçu aucune réponse à cet envoi circonstancié à mon agent de quartier.

Entre autres : remarquons par exemple encore l'absence de réponse à ma demande porté à l'AWSR, le 28 juin 2022 ; et en particulier le long message documenté et anticipant telle amende que celle que vous m'adressez : « Pour défection d'un PV ; et pour un compte-rendu général d'un problème routier majeur », dont je peux également vous adresser la preuve. Cette absence de réponse est comme les autres fautives et devrait en elle-même, et indépendamment des arguments qui eux l'annulent, au moins tempérer votre amende.

Je vous disais notamment encore ceci, dont l'amende que vous m'amenez ne peut éviter le débat. Si l'accélération qui permet de se séparer du chauffard qui nous met en danger en nous collant l'arrière-train ne constitue pas une bonne pratique, ou la réaction attendue, est-ce que le code la route l'exprime, uno ? C'est le fait même que je vous aie posé (plusieurs fois) la question sans que vous ne jugiez utile de me répondre qui est le plus important et doit trancher ici : l'inconnue nous invite au bénéfice du doute et nous pouvons admettre alors qu'il soit convenable que le conducteur victime d'une faute grave agisse (par exemple sous le coup de la panique, mais pas uniquement, puisque je peux justifier qu'il soit raisonnablement plus prudent, du moins sous certaines circonstances, de se distancier d'un chauffard plutôt que de le laisser dangereusement collé à soi et possiblement à son enfant) de la sorte, en réagissant à cette faute (elle impunie, et pourtant détectable) en commenttant un excès de vitesse qui précisément dans ce cadre n'est plus un faute et n'en est plus une au moins par le fait même que ce conducteur y avait déjà prestamment alerté les autorités, invitées à répondre à ses vitales interrogations, deusio.

Loin de toute amende, pour jouer activement mon rôle de citoyen, je devrais être récompensé, non puni.

Pour diverses raisons dont celle-ci de laquelle je me contenterai, l'État est devenu tout à fait illégitime et doit être déchu de ses prérogatives et droits. D'aucuns parlent, notamment, de « forclusion » pour viser ce fait d'illégalité même de l'Etat, plus que d'illégitimité, qui n'ont pas bien compris que ce n'est pas par le monde légal, mais bien par le pays réel, que nous devons nous appuyer pour contester un ordre marchand tyranique dont le droit n'est en dernière instance que la codification... C'est d'ailleur pour cette même raison fondamentale que ce modèle en ligne qui doit se répandre comme une traînée de poudre ne cherche pas à s'agréger le soutien de quelque juriste stupide qui me dira comment me plier au droit parce que la loi c'est la loi, mais bien l'appui d'esprits critiques, intelligents, contestataires, adultes, humains. Pour des raisons d'intelligence et de morale plus que de droit, votre empoisonnement vous rend tout à fait illégitimes à telle taxe, par là (encore) indue. À l'heure où les Gilets jaunes se font éborgner et les femmes enceintes piquer par des injections de mort, nous sommes engagés par tout notre être à le démettre.

Votre silence est consommé et la non-réponse, diverse et variée, est ici particulièrement coupable. Je peux également encore, au besoin, démontrer cett absence totale de réponse par là encore. Ce silence coupable vaut d'ailleurs aussi (ou surtout) pour les différents appels, notamment envers les ministres de la Défense et de l'Environnement, qui en soutenant ce crime se rapprochent chaque jour un peu plus du juste châtiment.

Je ne peux être redevable de cette amende alors que je n'ai mis personne en danger, en évitant au contraire des risques probables. Je ne peux, surtout, en être redevable pour toutes les raisons évoquées et que je peux défendre devant n'importe qui, pour tous ces faits ici partiellement rappelés, et dont je peux au besoin rendre tout le déroulé, et qui doivent, loin de toute nouvelle amende, normalement me valoir réparations ou récompenses selon tout sens de justice et de droit naturel, je conteste et contesterai jusqu'au bout cette illégitime amende. Celle-ci deviendrait inique si cette juste contestation devait être, comme la précédente qui ne m'avait offert aucun motif de rejet (nouvel argument à décharge pour moi à souligner), méprisée. Comme par le passé dont vous n'avez pas encore tiré leçon, je ne peux légitimement non plus être convoqué devant un tribunal sans qu'une réponse correcte à cette juste contestation ne me soit adressée. La précédente, qui m'avait autorisé à ne pas répondre à cette convocation alors irrégulière, se contentait de m'informer que ma contestation n'avait pas été acceptée (là où elle était en plus plus forte que celle-ci en ce que, dès le départ, je contestais ce fait objectif qui rendait à la fois le PV et la convocation caducs : je n'avais jamais reçu le PV original, mais seulement le PV augmenté de frais de rappel...) Pour que cette convocation soit recevable, il faudrait encore que j'obtienne d'avance et par écrit, la garantie de remboursement, et ce quelle que soit la tonalité du verdict final à rendre, de toute perte à mon salaire imputable à l'absence que la parution impliquerait.

Et parce que je m'adresse à des hommes et non à des machines et aux sous-hommes de leur infra-monde, c'est à des hommes et non des institutions anonymes que je demanderai directement des comptes si une nouvelle fois, mon appel, visible pour tous dont l'agent ayant enregistré ma vitesse auquel ce texte sera partagé, devait être ignoré.

Meilleures salutations.