Contestation de taxe déchet — modèle pour contestation de toute taxe

Messieurs le Bourgmestre et le Directeur général,

En vous demandant de bien vouloir accéder à cette humble requête pour l'avenir : si vous deviez me répondre, faites-le par ici svp (ou si vous y tenez, par la plus simple voie postale alors), pour ne pas me contraindre à la récupération d'un recommandé, lourde dans une vie active, et inutilement génératrice de stress (surtout lorsque l'expéditeur reste anonyme sur l'avis de passage).

D'autres chats sont à fouetter et d'autres combats à mener (bien qu'ils concernent directement ce dont il est précisément question ici) que pour vous revenir par voie formelle ici : je n'ai aucune « contestation judiciaire » à faire admettre, mais vous parle simplement d'homme à homme, ou « de citoyen à élu » si vous préférez, au moins pour éviter les lourdeurs, congestions, paralysies administratives que, précisément, votre devoir d'homme aussi bien que le mien vous invite à mépriser.

J'accuse bonne réception de votre décision. Je ne puis cependant que m'en étonner. Votre décision n'est en effet absolument pas motivée qui vide est, sauf votre respect, irrecevable telle quelle. C'est bien cette décision elle-même qui est non « fondée », précisément, techniquement, non pas ma demande, dont vous ne relevez absolument pas le motif. Vous vous trompez, objectivement, en prétendant que celui-ci ferait valoir une « taxe ahurissante et indue » en soi. Ce n'est pas ce que je dis. Elle est parfaitement indue, pour différentes raisons, dont son montant exorbitant en fonction des revenus moyens, mais en tout cas notamment et déjà par celui que j'ai mis en valeur, à savoir celui de l'empoisonnement de Davos, notamment par injections et par aérosols, auquel vous participez par votre désengagement (autant que je sache : je suppute ce dernier, mais tout le monde et les politiciens en premiers, sont invités à changer).

Quoi qu'il en soit, vous trompez sur mon argumentation. Non, je n'argue pas qu' « une taxe est ahurissante et indue » en soi : www.inmediares.be/ovdns.

Je verrai où cet échange pourra nous mener.
Veuillez me rappeler le montant exhorbitant et indu demandé, svp, car je n'ai plus trace du virement initial, au cas où je consentirais à le payer.

Entre autres bonnes et justes idées, vous pourriez aussi, si vous le considérez dû de façon absolue (en vous moquant donc de la contestation, comme le fait apparaître la réponse à ma réclamation), en régler la note pour moi aussi, compte tenu de vos avantages.

Avec ma parfaite considération.

Addendum, dix jours après, sans réponse de leur part :

Bonjour,

En synthèse, qu'avez-vous à répondre à ceci : cf. image ci-jointe ?

C'est bien donc une réponse à ceci qui est nécessaire. Or, cette réponse doit subvenir à deux manques essentiels de votre réponse reçue en forme de fin de non-recevoir : elle doit, a minima, retracer le sujet clair de ma contestation, qui n'est d'évidence pas celui que vous retenez ; et elle doit, substantiellement, m'expliquer en quoi ce grave empoisonnement des populations civiles devrait encore justifier le versement de la moindre taxe à l'État empoisonneur ?

Vous l'aurez compris : au-delà de ces taxes risibles dont nous devons perdre la docile habitude, c'est le combat à mener qui est visé, qui concerne tout adulte ingambe en état de lutter — ce que je dis ici est donc parfaitement valable pour vous aussi, Madame xxx.

Laissez-moi enfin vous rappeler que, passant ici par un canal informel pour une histoire qui ne peut logiquement pas se régler par tribunaux, je vous saurais gré de m'adresser toute réponse par ici, pour ne pas me contraindre à la récupération de recommandés, par ailleurs incongrue au-devant d'une réponse d'évitement telle que celle jusqu'ici obtenue.

Respectueusement,
Inmediares.be/ovdns : message qui doit se répandre comme une traînée de poudre...

Réaction de notre part, le 3 avril, suite à une « sommation » de paiement ignorant nos messages...

Messieurs le Bourgmestre et le Directeur général et le Directeur financier xxx qui ne peut se contenter de passer une requête sans en valider la raison et auquel le message sera passé,

Par un courrier daté au 24 mars (et seulement reçu le 30), vous me « sommiez » au versement de la « taxe sur l’enlèvement et le traitement des déchets ménagers et assimilés » tout en vous asseyant sur ma demande d'explication, patiente et répétée, dont le détail est clairement retracé ici (plateforme en constante évolution).
Or, vous m’êtes a minima trois fois redevables. D’abord, vous ne répondez pas, même minimalement, à mon honnête et simple interrogation : en quoi ma demande serait-elle « non fondée », donc ? Ensuite, alors que j’expose pour vous une nouvelle fois l’objet de ma demande étayée en m’étonnant de votre commentaire, et que je le fais encore en bonne et due forme de recours par voie postale, au lieu d’une réponse à celui-ci que je suis en droit d’attendre, vous me faites parvenir cette sommation, infâme et qui ne peut être prise que comme une provocation. Remarquons ici qu’indépendamment de toute considération ultérieure, je ne vous dois pas ce versement tant que la réponse à ce recours (qui n’est autre qu’une répétition de ma question initiale...) n’est pas donnée. Si, indépendamment de toute autre considération, la légitimité de votre taxe pourrait encore être audible, celle-ci n’est plus recevable dès lors que mon honnête questionnement butte contre votre silence. Enfin, bien plus crucialement, en ignorant mon appel qui dépasse de très loin toute minable question de taxation de déchets, vous manquez à votre devoir le plus fondamental, de protection des citoyens.

En tant qu’hommes et a fortiori peut-être en tant qu’élus, vous n’avez pas le droit de ne rien faire contre le drame qui est en train de se jouer et dont la réalisation est seulement possible par notre honteux acquiescement collectif. Vous n’avez d’autant pas le droit de ne rien faire que vous jouissiez d’importants revenus, qui vous offrent le luxe de l’énergie et du temps à dépenser ailleurs que dans le travail qui subvient aux besoins élémentaires de votre famille.

Or, vous qui n’avez pas le droit de ne rien faire ne pouvez pas non plus ignorer cette idée évidente que les acteurs — et un élu qui n’agit pas est un acteur de ce mal de facto — en de si graves affaires ne méritent pas d’être sur cette terre.

Comme je l’ai déjà dit à plusieurs politiciens déjà, nous devons choisir de cibler certains d’entre vous — ceux qui ont les moyens de changer les choses, mais qui en plus de ne pas combattre par leur position permettent gravement ce crime —, pour de pures questions logistiques, parce que nous ne pouvons pas tous vous atteindre. D’autres que nous se chargeront de sommer à leur devoir d’autres acteurs en d’autres lieux (dont les pilotes et le corps militaire).

Il est utile et sain de rappeler ce que nous n'avons pas manqué de préciser à différents acteurs contactés : nous sommes menacés (vous l’êtes d’ailleurs aussi, tout aussi « inutiles » que vos voisins et moi pour ceux dont vous suivez les ordres), et non pas les menaceurs : nous ne menaçons donc pas, ni en vous demandant des comptes, ni en nous défendant, ni en exprimant l’idée que les empoisonneurs et leurs complices ne méritent en effet pas de vivre, mais en revanche sommes attaqués.

Donc, si je devais être contraint de payer cette taxe a priori (au moins) indue parce que vous ne me répondiez pas mais continuiez à la place de me menacer (d'une taxe, de son amende), je serais obligé de considérer que vous trois me devez cette somme, qui sera entièrement réclamable et due. Mais encore, et cela aussi vous ne pouvez pas ne pas le comprendre (qui est aussi évident que les déversement de biocides sur nos familles), que vous serez redevables envers toutes les familles que vous ne protégez pas, en dehors de toute question de taxation, et en dehors de toute question de taxation dont l’évocation seule devient indécente au-devant du danger auquel nous sommes confrontés : vous ne me menacez en effet pas seulement d'une amende...

Bougez, svp. Pour nos enfants. Il est temps. Rien ne pourra être pardonné aux lâches.
Cordialement.