« Le ciel est bleu, alors tu vois !? » : Franc message aux distracteurs et autres tiques — le problème posé en quelques mots

« La France a besoin d’immigration, le reste ce sont des fake news ! » (Daniel Cohn-Bendit)

Voici le texte qui accompagne cette photographie sur les réseaux sociaux : « Attention a tout les automobilistes la limitation est passé à 40 a Sélestat... » Et dans la trentaine de commentaires que récolte cette publication, tout le monde parle de sécurité routière...

ll est impossible que les traits laissés par la condensation de kérosène des avions soient responsables de ces traînées laiteuses persistantes, de ces motifs durables dans le ciel et de son voilement intégral par ces suspensions (plus ou moins) blanches, très distinctes et étendues, qui s’y étirent et qui ne sont — tous — ni normaux ni naturels. Les très innocentes traînées de condensation de l'aviation civile ne peuvent possiblement, avant de se dissiper quasi instantanément (et en tout cas jamais après trente minutes, seuil maximal dans des conditions météorologiques idéales, selon entre T. Schlatter, météorologiste à l'Administration nationale océanique et atmosphérique américaine), se former qu'à très haute altitude (habituellement au-dessus de 8 km), quand l'air est très froid (inférieur à -40°c) et par une grande quantité de vapeur d’eau.

C’est le centre de la réalité de ces abominables chemtrails, et son exposition est indémontable. Le fait que ces avions qui sont évidemment militaires volent plus bas (trop bas pour un vol commercial), qu’ils ne suivent aucune route du ciel et ne sont partant pas décelables par les radars officiels, ou ceux entre cent qu’ils forment des courbes aériennes (encore insensées pour tout vol commercial), que leurs déversements contredisent l’idée de la condensation de toute façon déjà impossible dans ces conditions physiques par le fait même que leurs tracés sont très souvent interrompus, discontinus sur quelques mètres, dizaines ou centaines de mètres parfois seulement, en raison de l’activation ou de la désactivation du processus, sont parfaitement secondaires, superflus à la démonstration de la réalité de ces épandages criminels, comme sont encore superflues ces observations également correctes : si, comme l'assurent les explications officielles, les chemtrails ne sont dus qu'à l'augmentation du trafic aérien commercial, aux avions qui tourneraient en rond en attendant d'obtenir la permission d’atterrir, il faut se demander pourquoi l’on n’en voit pas, surtout les jours de grands départs et dans les zones de grands trafic aérien ; l’on peut aussi se demander pourquoi des avions civils volent en escadrilles, dans des couloirs perpendiculaires et pendant trois, quatre heures, le temps de quadriller le ciel en tous sens avant de s’évanouir (on n'en aperçoit plus un seul pendant parfois plusieurs jours au même endroit) ; toute personne qui a l'habitude de voyager sait que pour une même destination, les avions partent aux mêmes heures chaque jour, avec tout au plus des variations d’horaire le week-end ou entre saisons, à l’inverse donc des avions épandeurs qui sont soit pleinement actifs ou pleinement absents ; des avions de ligne ne font pas demi-tour (même en cas d’oubli d’une importante valise à l’aéroport) en plus de ne jamais donc obscurcir le ciel ; plus une zone est peuplée, plus son ciel est badigeonné de ces traces chimiques, ce qui ne laisse plus de doute quant aux intentions « humanistes » génocidaires de HAARP qui ne peut prétendre qu'auprès de ces derniers que ces manigances suivent le dessein stratégique d'endiguement du « réchauffement climatique » d'un climat dont les seuls « bouleversements » sont en réalité causées par ces actions semi-clandestines (or, que les naïfs, à ce stade imbéciles sectaires, qui vous répondent que les zones urbaines et métropoles connaissent un trafic plus intense que les campagnes, puisqu'elles forment des zones de convergence du trafic, admettent que ces aires de campagne où les épandages sont parfois inexistants ou quasi-inexistants sont pourtant aussi des zones de passages aériens).

En plus de l'impossibilité de la condensation de combustion à cette altitude, de l'impossibilité des phénomènes de persistance et de propagation de telles traînées, rares, courtes, éphémères (et jamais indiscontinues) et la plupart du temps invisibles puisque les avions commerciaux volent hors d'atteinte de nos regards, jamais aussi bas, à l'exception de leurs phases ascendantes et descendantes dans lesquelles ils ne peuvent techniquement émettre aucune traînée visible, en plus, encore et non exclusivement, du fait que ces avions épandeurs (dont l'absence, certains rares jours, est elle-même preuve de leur réalité) n'apparaissent sur aucune carte du ciel ou qu'ils dessinent des courbes, parfois forment des boucles, ou font des allers-retours dans le ciel, improbables pour les avions de ligne, en plus du fait que les réacteurs les plus modernes sont quasiment incapables de produire des traînées ou de l’éclatante évidence que la condensation échappe des réacteurs et jamais des buses accrochées aux ailes comme nous le voyons sur cet avion répandant des toxiques (ou du moins autre chose), ces avions volent souvent groupés, se croisent à quelques dizaines de secondes d'intervalle, et naviguent parfois parallèles, comme le montre ce cliché pris à Ath (Belgique) le 17 mars 2023, ce qui, indépendamment de la question des couloirs aériens, les rend étrangers à toute aviation officielle... La position non pas tant « officielle » (puisque celle-ci qui va dans tous les sens n'est pas cachée et court sous couvert de « géo-ingénierie ») que celle des « inutiles » qui se laissent soumettre jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à leur exécution, est tout à fait celle desdits inutiles qui défendent contre Pfizer même l'efficacité de son produit. Pour ceux dont le salut dépend au moins un peu des zombis parmi lesquels ils sont contraints de vivre, au-delà de l'entretien auto-consenti de l'illusion contre le goût de la vérité lui-même déjà intenable, cette pulsion de mort largement partagée rend ces opérations d'autant plus inacceptables. Tirez-en toutes les conclusions logiques, dont celle de la non-dispersion de votre effort vers ceux-là mêmes qui en se considérant comme rebut excédentaire compromettent nos propres chances de survie, et agissez sans plus attendre.

Or, la réalité de ces épandages criminels crève tellement les yeux que le fait que leur évidence manque encore à certains, qui ne peuvent même pas dire que ces ciels-ci sont purement artificiels, apparaît aussi incroyable que celui que la plupart d'entre eux se soient laissés injecter un produit expérimental (en admettant évidemment qu'ils en ignorassent toute la nocivité déterminable dès l'origine pour ne seulement pouvoir y admettre que ce terme policé, litote de novlangue ici mis en italique comme nous y mettrions effets secondaires) alors que, et du point de vue le plus étroit(ement égoïste), ne pas le faire répondait du plus simple réflexe de survie...

« Dessine-moi un nuage... noir (et mets-nous un peu de flou dans le blanc). »

Aux aveugles qui ne peuvent viser le ciel pour constater une réalité qu’une propagande de camelote ne peut sérieusement occulter : qu’ils essayent d’entendre que cela fait des décennies que des gens de tous les milieux en parlent, et les dénoncent, avant d’être réduits au silence (d’abord par notre effarante démission collective [soulignez ce dernier mot]), dont scientifiques et hommes politiques (chez nous entre autres : Claire Henrion), que tous les rapports existent pour qui veut les voir, dont ceux des terribles taux de métaux lourds (cf. aluminium) mesurés dans les sols et les eaux, que toute la documentation existe et est abondante (reprise en petite mais essentielle partie ici : www.inmediares.be/ovdns). Comment est-ce possible d’ignorer ces avions Canadair qui nous aspergent en continu de biocides, en dehors de la volonté ferme de mourir ?

Les chemtrails pour les débiles : les journées sans épandage (rares en Europe de l’Ouest au moins) sont en elles-mêmes une preuve de l’existence de ces derniers. Par leur absence, c’est leur existence même qui s’objectivise. Un ciel dégagé présente en effet toujours sa carte aérienne, avec ses avions volant très haut et parfois suivis d’un minuscule et éphémère trait, ou plus bas (cf. Cessna, vols de reconnaissance), mais en ne laissant rien apparaître dans leur sillage pour les raisons physiques fondamentales évoquées. Ou bien faudrait-il penser que la quasi-totalité de l’aviation s’arrête ces jours-là ?

Les épandages aériens, d’ailleurs reconnus officiellement pour motifs de « géoingénierie » de « modifications du climat », sont aussi objectifs que le fait que les injections covid sont conçues pour tuer, que l’antiracisme est une imposture idéologique intégrale, que l’incendie de Notre-Dame n’est pas dû à un mégot de cigarette mal éteint, que l’assassinat de JFK n’est pas le fait d’un tireur isolé mais d’une commande des États américain et israélien, que le labile dossier officiel du 11 septembre (comme tous les autres dont celui de Notre-Dame) n’est rien d’autre qu’une vaste plaisanterie ou, encore et entre mille, que l’empire américain a massacré des centaines de milliers d’enfants irakiens innocents sur ses guerres du Golfe à partir de l’idée d’une menace de puissance militaire de « de destruction massive » qui n’a jamais existé.

Tous ces petits cochers du roi sans colonne vertébrale, types « bot » (« nospam nc », « ALEX », « Michel.B » notamment, sur Youtube) cachés derrière leur clavier, sponsorisés à l’instar de ces microbes payés pour faire croire (d’un cyberespace en Israël ou d’ailleurs) partout à la réalité d’un « antisémitisme » ou de sa « résurgence », ou parfois tout simplement parce que sont des étrons naturels enclins à bénévolement s’adonner à la base besogne, inondent les réseaux sociaux et les différentes plateformes de la propagande d’État, dont celle de ces sujets donnés seulement en exemple (nous avons judicieusement évité le meilleur d’entre eux) où ils cherchent à tromper les esprits mal formés (communs, hélas), essentiellement par des voies d’argumentaires toujours secondaires, anecdotiques, visant précisément à détourner de l’essentiel qui ne peut jamais être considéré sans oblique en ce que le poids de la réalité apparaît inassumable pour le malhonnête contradicteur.

Leurs mots, comme l’indiquent leur syntaxe de semi-lettrés, sont dénués de sens, de portée, qui ne tiennent pas trois secondes face à toute critique. Tout esprit un peu éveillé peut soigneusement le démontrer, mais surtout les ignorer, à défaut de les supprimer, parce que le temps est important, face à l’urgence, et qu’eux ne le sont pas. Ce sont des vers qui méritent le châtiment adéquat, en bonne charité chrétienne, pour se faire les honteux relais de la propagande morbide de notre effacement, et d’abord du mal fait nos enfants. Leur tête doit finir au même endroit que celles de ces sous-humains de pilotes et que ceux qui les lancent. Notre devoir d’homme nous y commande, notre devoir d’homme nous ordonne de ne pas nous faire véhicules du satanisme marchand et de sa basse propagande. En tant que vers et selon toute morale, ils ne méritent que d’être occis. Et la bonne nouvelle, c’est que le souffle social, l’époque, risque de s’en charger, par injections ou empoisonnements non naturels peut-être, mais en tout cas par l’immanence — déjà — du courroux qui va socialement leur tomber sur la tronche (certains appellent ça « karma »).

La position non pas « officielle », puisque celle-ci qui va dans tous les sens témoigne aussi de ces opérations-là sous couvert de « géo-ingénierie », mais celle des « inutiles » qui se laissent soumettre jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'à leur mise à mort, est tout à fait celle desdits inutiles qui défendent contre Pfizer même l'efficacité de son produit. Elle témoigne d'une volonté de mort, et est par cet aspect, plus que par celui, déjà intenable, de l'entretien auto-consenti de l'illusion contre le goût de la vérité, tout à fait inacceptable, pour ceux qui sont contraints de vivre parmi les zombis...

Tirez-en toutes les conclusions logiques, dont celle de la non dispersion de votre effort vers ceux-là mêmes qui en se considérant comme rebut excédentaire compromettent nos propres chances de survie, et agissez sans plus attendre.

Entre le Hainaut et le Brabant wallon, les 17, 18 & 30 janvier 2023 :

Contrastes :

Photographie du haut : différents avions, surtout militaires, sillonnent le ciel pour y répandre différents produits et ces traînées-là ne sont pas plus « de condensation » que celles plus épaisses et qui s’étendent.
Photographie du centre : preuve indirecte, mais déjà entière de la réalité des épandages criminels : un avion, naviguant à une même altitude que plusieurs des premiers, n'émet lui aucune traînée visible. Et pour cause : dans ces conditions, les traînées de condensation (plus rares encore que par le passé par le fait des technologies de réacteur récentes qui ne les permet quasiment plus, toutes autres choses restant égales par ailleurs) sont tout simplement, radicalement, impossibles.
Photographie du bas : deux types de traînées aux mêmes moment et endroit.