Lettre à de vieux amis — modèle pour base d'inspiration
Les prénoms des deux amis visés qui en privé se reconnaîtront ont été changés

Votre absence totale de réaction, évidemment à ceci, mais plus fondamentalement à ce qui nous arrive, chagrine, là où vous devriez vous trouver d'autant plus virilement en colère, certes contre vous-même, pour avoir bradé votre intimité pour la pathétique perspective d'un séjour au soleil ou d'un verre en terrasse, mais encore contre l'État, contre Davos, qui vous ont menti et abusé à ce point.

Et j'ose penser que votre niveau d'éveil doit m'épargner le rappel ou la démonstration que :

a. tout ceci est une vaste arnaque (en particulier, toutes les décisions politiques majeures — confinement, passeport sanitaire et toute l'infamie — ont été décidées et justifiées par des études de nombres qui, sans exception aucune, reposent sur des escroqueries mathématiques aisément démontrables) et que ces injections « anti-covid » sont un poison ayant tué et très gravement invalidé des dizaines de millions de personnes à ce jour ;

b. que cette arnaque est politique, morale, anthropologique, et non seulement platement médicale ;

c. que la refuser catégoriquement, c'est-à-dire refuser que les enfants continuent de se suicider conformément à ce que nous leur faisons subir, revient à s'admettre encore au principe d'humanité, et que cette admission implique nécessairement que vous refusiez à l'avenir non seulement toute future injection, mais encore toute participation aux avilissantes discrimations par « passes »...

Les hommes réclament au monde des hommes qui en sont encore de se battre. Et je vous espère capables encore de reconnaître le sens de la famille, et de vous employer à la perpétuer et la préserver.

Si dans votre entourage personne ne vous secoue un peu, c'est que vous n'avez aucun véritable ami. Or, je m'adresse avant tout à mes proches, en prenant le temps de le faire, tout en ne vous réservant, à vous deux, aucune charge d'admonestation spécifique en dehors de cet ordre qui nous commande tous de nous lever et de prendre activement part à cette lutte à laquelle nous sommes malgré nous inscrits. Se tient ici sans l'ombre d'un doute l'une des poutres porteuses de cette résistance que nous avons à incarner : donner le change à sa famille et ses amis, leur accorder, hors toute comptabilité, de notre être. Sont déjà morts, et sans vaccins, ceux qui ne peuvent même plus consentir à l'effort de se parler (ce qui ne revient pas à s'envoyer des liens TikTok).

Votre « grand » frère m'avait écrit, et je ne rigole pas, que « nous allons tous mourir à cause d'irresponsables non vaccinés comme moi qui doivent assumer les conséquences [lire : exclusion sociale, déclassement] de leur décision ». Ayant joué, et jouant peut-être encore au kapo de service, il doit des excuses au monde des vivants ; et vous lui devez une claque, au moins symbolique. Je ne peux prédire que vous ne suivez son exemple, mais les circonstances, celles de vos silences inchangés, me laissent cependant l'indice qu'aucune révolution ne s'y produit...

Arnaud, au bon temps des bleusailles et des quatre cents coups, tu m'avais un jour fait cette surprenante remarque selon laquelle je « vivais dans un monde qui n'existe pas ». J'espère — par ordre croissant, pour toi, pour ta famille et donc pour l'humanité que ton (in)action influence (ces injections de mort sont également un danger pour les autres : cf. en particulier le risque d'échappée immunitaire et de la « catastrophe mondiale » sans égal qu'il représente et fait peser sur ceux qui comme moi comptaient sur votre courage) — que tu es capable de réaliser que c'est assez parfaitement tout l'inverse...

Le plus terrifiant réside dans cette léthargie de la majorité de la population injectée, dans une forme de déni ou de résignation qui semble la rendre inerte, incapable de la moindre action visant à demander des comptes aux responsables. Et même si je ne fais pas forcément partie des plus pessimistes sur ces injections (quoique je sois traducteur de cette grave intervention du docteur Brooks aux États-Unis), je puis vous affirmer que vous continuez de jouer à la roulette russe avec votre vie, après avoir décidé de passer les portes d'un centre de vaccination (pour bovidés).

C'est à vous-même que vous devez en réalité une gifle, au moins pour qu'elle n'arrive pas des autres. Comment est-ce possible, pratiquement, en fonction de ce que l'on en sait et du plus élémentaire principe de précaution, qu'à titre purement ou égoïstement individuel, vous ne vous soyez même pas engagés dans un traitement, auquel j'aurais pu et peux vous aiguiller, pour contrer les effets de ces injections — au sujet desquelles je vous demande ici encore de prendre la courte peine de visionner cette pièce documentaire ?

Selon des têtes pensantes plus compétentes que moi (qui sais cependant le principal : ces injections sont conçues pour handicaper et tuer) sur le sujet pris strictement dans son prisme médical, et selon Karen Kingston en particulier, qui a notamment bien étudié la question des brevets déposés en armes bio-technologiques, il n’y a pas de placébos parmi ces fioles, mais seulement du poison plus ou moins fortement dosé pour une répartition des injections étalée dans le temps, aux (évidentes) fins de mieux rendre le méfait insoupçonnable... Cette hypothèse est notamment corroborée par le fait que la sortie des lots soit parfaitement coordonnée par les différentes entreprises pharmaceutiques qui en distribution collaborent étroitement, pour éviter une hécatombe trop visible, qui provoquerait une certaine panique et défiance des moutons. (Il a par ailleurs été montré qu'aux États-Unis les États républicains ont été davantage visés par les doses les plus toxiques que les États démocrates.) De ce point de vue donc, il n'existe pas de placébos, mais seulement des concentrations suffisamment faibles pour ne pas provoquer dégâts et malaises trop immédiatement perceptibles. Une étude suisse aurait par ailleurs trouvé que la totalité des injectés, même asymptomatiques, présentaient des lésions cardiaques plus ou moins importantes... Quoi qu'il en soit, que la question du traitement ne vous préoccupe même pas est absolument édifiant (ou comment n'arrive-t-on pas ni à faire réagir ni même à mettre en garde les vaccinés ?).

Bien que j'en aie les raisons, je ne vous en veux pas, et je ne t'en veux pas, Didier, d'avoir franchement hésité, à une fête chez toi, de sortir avec tes invités boire un verre sans moi qui ne disposais pas de cet infâmant « passe », que nous devons rejeter (et non seulement contourner), mais encore mépriser, abhorrer, au tout premier seuil du combat d'hommes que nous devons passionnément mener, porter. L'heure est en réalité trop grave pour que je m'y dépense. En vous invitant à ne surtout pas y voir la marque de l'étalement de quelque supériorité que ce soit, ni celle de quelque mesquine revanche, je vous demande seulement de vous battre.

Il s'agit de la plus élémentaire dignité humaine que de refuser ce monde, de refuser Davos, de réagir, en commençant quelque part (payez-vous encore vos amendes, impôts, par exemple, parlez-vous à vos amis et voisins ?), pour vos enfants, nés ou à venir, pour le mal qu'ils nous font dans une grande impunité à laquelle nous participons largement par notre impressionnante aptitude aux acquiescements serviles. Le changement ne peut commencer que par vous. N'attendez pas qu'il se produise par les autres. Et ne me dites plus jamais que vous acceptez de vous faire piquer pour un voyage en Égypte... Larguez le bois mort, reconnaissez les vrais potes des faux amis (dont ceux qui à trente-cinq ou quarante ans, de Bangkok à Paris, mènent des vies de quadragénaires), méprisez les marchands de tapis (et de shit...). Ne vous dérobez pas, ne désertez pas. Avant de mourir, apprenez à vous respecter.

« Les foules n'ont jamais eu soif de vérité. Devant les évidences qui leur déplaisent, elles se détournent, préférant déifier l'erreur, si l'erreur les séduit. Qui sait les illusionner est aisément leur maître ; qui tente de les désillusionner est toujours leur victime. » (Gustave Le Bon, Psychologie des foules)

« Dans le futur, on éliminera l’âme par des médicaments. Sous prétexte d’un "point de vue sain", se trouvera un vaccin par lequel l’organisme humain sera traité, dès que possible, éventuellement directement à la naissance, afin que l’être humain ne puisse développer la pensée de l’existence d’âme et Esprit. Aux médecins matérialistes, sera confiée la tâche d’éliminer l’âme de l’humanité. Comme aujourd’hui, on vaccine les gens contre cette maladie ou telle maladie, ainsi à l’avenir, on vaccinera les enfants avec une substance qui pourra être produite précisément de telle sorte que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés d’être soumis à la "folie" de la vie spirituelle. Il serait extrêmement intelligent, mais il ne développerait pas une conscience, et c’est le véritable objectif de certains cercles matérialistes. Avec un tel vaccin, vous pouvez facilement faire en sorte que le corps éthérique se détache dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l’univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l’homme deviendrait un automate, car le corps physique de l’homme doit être poli sur cette Terre par une volonté spirituelle. Alors, le vaccin devient une sorte de force arymanique ; l’homme ne peut plus se débarrasser d’un sentiment matérialiste donné. Il devient matérialiste de constitution et ne peut plus s’élever au spirituel. » (Rudolf Steiner, La chute des esprits des ténèbres)

Addendum, quelques mois plus tard...

Ils ont repris en force aujourd'hui. Cette magnifique chiure : juste au-dessus de mon bureau.

Avez-vous vu The Dimming ? De préférence : lisez tout d'OVDNS, bien entendu, mais à défaut, visionnez ce docu. La seule question qui vaille : qu'y faites-vous ? Il faudrait déjà en avoir parlé à des dizaines de personnes autour de vous, c'est le minimum. Ensuite, entre autres actions à passer : déposer conjointement des plaintes collectives aux échevinats, collèges et autres corps politiques représentatifs, des actions qui sont encore au seuil minimal de ce que nous avons à faire...

Comme je vous le disais, je ne peux pas passer mon temps à convaincre chaque personne individuellement, ce qui revient à crier dans le cul d'ânes, fondamentalement. Donc, au lieu de me demander de photographier le ciel, pour des image qui ont été pris des millions de fois déjà et dont la tâches que vous m'imposez alors que j'y ai déjà énormément travaillé là où vous ne vous y imposez aucune, et en plus sans me donner de réponse à celles que j'ai pris le temps de vous faire, actionnez-vous. Voyez et bougez au lieu de persister à vous convaincre que vous avez les meilleures raisons de ne pas voir. Non, ceci n'est pas un déversement de crème solaire, et ce n'est pas mon rôle de vous expliquer les raisons pour lesquelles cette neige ne fond pas ou ce qu'est HAARP...

Indépendamment même de cette grave question de la géo-ingénierie qui nous assassine à petit feu (quoique là les plats sont déjà chauds...), en tant qu'hommes dans la force de l'âge, vous devez être mus par une saine colère, pour ce qui est fait à nos enfants avant tout, ou quant au fait, par exemple, que votre confiance a été gravement trompée sur ces injections covid. Comme c'est également parfaitement (parfaitement) établi, pour ceux qui avaient besoin de preuve matérielles a posteriori qui ne pouvaient comprendre la mécanique générale de l'imposture dès son avènement (auquel l'event 201 n'était le principal indicateur que pour les « décroissants » imberbes de la « géopolitique »), sont des injections de mort. La seule question qui vaille donc : allez-vous vous laisser mourir, avec ou sans quatrième dose, ou allez-vous vous battre, bon sang ?

La suite ici en confidence, quelques mois plus tard, sans quasiment aucune réponse de leur part...