Deux messages cardinaux à des hôpitaux...

Au centre Epicura..

Récemment, à une jeune personne qui se rendait aux urgences d'une de vos implantations pour un problème de collapsus, un médecin de vos services a suggéré la vaccination covid. Quelle honte, quelle abomination ! Comment est-ce possible — comment est-ce possible — que des professionnels de santé, après les années de recul que nous avons désormais sur la psy-op covid en général et sur ces injections de mort en particulier, qui sont objectivement et irréfutablement des produits pathogènes conçus pour mutiler et tuer (ce que tout esprit attentif savait d'ailleurs dès le lancement de campagne), en soient encore, là où ils ne peuvent possiblement ignorer ce dernier fait, à distribuer la mort en toute impunité, au lieu d'accomplir le chemin de repentance qui revient à la plupart d'entre eux devant se donner entiers au combat pour la vie et l'humanité et contre les forces obscures de Davos, en rejoignant par là la fraction de médecins courageux qui lui font front depuis 2020 ? Ce médecin-là, comme tout autre chez vous qui s'y reconnaîtrait, pour les millions de morts et de mutilés vaccinaux et les autres millions qu'elles feront encore à l'avenir, pour ces bébés qui naissent terriblement souffrants, ne mérite pas d'être sur cette terre. Et cette remarque ne contient aucune menace. Un vœu, tout au plus. C'est une opinion, et une opinion juste. Elle vaut aussi comme appel, un appel à l'humanité qu'il resterait encore en vous, à son réveil, nécessaire. Sans celui-là, vous serez balayés par la communauté renaissante des hommes en colère, qui pour le moment discrète progresse en sous-main, mais qui grandit et gronde, et des hommes qui se battent avant tout pour nos enfants innocents. Ce message sera publié sur notre plateforme.

Message à trois infirmières, mais surtout au monde entier...

Mesdames les trois infirmières concernées et visées du service d’urgence du CHC MontLégia,

Vous m’avez menacé d’appeler vos gorilles du service de sécurité de l’hôpital parce que je refusais, tout à fait légitimement, d’abord de porter un de vos masques réglementaires après avoir déjà consenti, auprès de la première d’entre nous déjà navrante, de porter le mien, en tissu, ensuite d’enduire mes mains (par ailleurs déjà propres et que je consentais même à laver à nouveau au lavabo) de cette saleté d’hydrogel afin de gagner l’accès à la chambre de ma maman souffrante en service d’urgence. Aussi ai-je retrouvé dans sa chambre ma mère déjà souffrante avec un masque sur le nez, nocif, limitant sa respiration et avez-vous tenté de m’obliger (mais forcé sous la menace de la force de limiter mon temps de visite), dans votre fielleux délire, à porter un masque d’hôpital alors que, en plus, personne ne nous surveillait et que la moitié d’entre vos employés portaient ce foutu masque — objectivement inutile et dangereux — sous le nez.

La « grippe » est un concept flottant de la langue usuelle qui n'a jamais été indexé à quelque liste fermée de symptômes. Le syndrome dit « covid » (opportunément) lui ressemble suffisamment pour qu'on puisse être pratiquement sûr, indépendamment de l'opération Great Reset qui l'a objectivement conçu, que c'est sous cette étiquette qu'il aurait été classé par la langue commune et la vulgarisation médicale. Ce que nous appelons très communément « grippes de saison » renvoie aussi à un univers dont la complexité dépasse notre compréhension du monde de l'infiniment petit, où subitement journalistes et quidams se sont tout à fait anormalement investis comme spécialistes, et sans surprise dans le sens du vent... Que l'on ajoute « de saison » ou pas, la grippe, en français courant, c'est : attraper froid, quand d'une part la symptomatique est relativement aiguë et que, d'autre part, la multiplication rapide des cas autour de nous permet d'y supposer une origine virale. Les symptômes sont associés au vocable (comme en général dans les langues naturelles, non techniques) en vertu de la logique du prototype : il y a des symptômes typiques (fièvre, nez qui coule), d'autres moins typiques (l'anosmie s'intègre facilement à cette classe), et enfin certains dont l'inclusion serait probablement refusée par la communauté linguistique (comme : rage de dents ou panaris).

M’annoncer donc, avant notre rixe, que ma maman « a le covid », cela ne veut rien dire et, surtout, revient à alimenter, poursuivre un horrible mensonge. Au surplus, les tests (dont « PCR ») n’ont aucune valeur. Ma mère, à laquelle vous dites qu’elle souffre d’une grippe sur des symptômes que vous n’écoutez pas (elle vous arrive atonale et dysphasique, ne pouvant plus articuler une phrase correctement), a d’abord un système immunitaire en berne en raison des deux injections de poison qu’elle a reçues par un corps médical hautement coupable pour lui avoir prescrites, et qui ne pourra être amendable avant, au moins, d'avoir reconnu pleinement ses (lourds) torts.

Ce n’est toutefois pas le lieu de déployer l’abondante matière objectivant parfaitement le caractère d’imposture intégrale de cette opération « covid-19 ». Je ne vous parlerai pas, ici et par exemple, de graphène, de contenu des fioles vaccinales, ne déploierai ma démonstration sur cette parfaite illusion qui consiste à faire croire aux naïfs que le rhume ou la grippe justifie toutes ces opérations.

Ce n’est pas à moi que revient le devoir de faire votre éducation fondamentale, ni même de vous hisser au courage, vous sortir de votre paresse, de pourfendre pour vous le matelas d’excuses comme les mensonges intolérables — et morbides : ces mensonges tuent, et depuis déjà un temps qui aurait déjà dû vous en faire prendre la mesure — qu’ils vous servent à recouvrir.

Il est en revanche l’endroit pour moi de vous dire qu’à l’heure qu’il est, avec un recul de plus de trois ans sur cette opération, de contrôle et de liquidation, il est inacceptable que vous n’en sachiez rien, et plus, qu’à ce stade votre passivité et votre silence, revient précisément à la complicité.

Le « passe vaccinal » et ses « vérifications d’identité » accoutument les tenants du « retour à la vie d’avant » à se muer en kapos les uns des autres, à s’acclimater aux humiliations, muselages, confinements, à toutes les micro-agressions permanentes. Et pendant qu'ils seront occupés à se haïr, ils continueront de forger eux-mêmes, à grands coups de « tests », d’« injections », et de « quoi qu'il en coûte », l'énorme boulet de dettes que le prochain élu des urnes, une fois remisés au grenier les flonflons de la campagne électorale, aura pour seule et unique mission de leur faire traîner jusqu'à la fin des temps... Les réfractaires à la promesse réactionnaire du retour à ce que l'ancien monde avait de pire se préparent à être désignés comme les boucs émissaires de sa désastreuse réalisation. Cependant, cette violence n'ira jamais au-delà de la contrainte exercée sur leur corps proscrit. Elle ne pénétrera pas leur âme. Elle n'y produira pas ce tourbillon d'indifférenciation qui transforme les hommes en figures interchangeables de la foule haineuse.

Ceux qui disent non ne préservent pas leur intégrité, ils la manifestent. Ils ne défendent pas leur liberté, ils l’exercent.

Ils le font en deçà ou au-delà de toute formulation rationnelle, en deçà ou au-delà de toute idéologie, en deçà ou au-delà de toute statistique, parce qu'il leur est esthétiquement et moralement apparu que « quelque chose n'allait pas » et que, symétriquement, quelque chose les réunissait en deçà ou au-delà de leurs différences les plus irréductibles.

Vous avez été applaudies à tort, par les ordres de l’abêtissement du spectacle mercantiliste. Ce sont ces infirmières-là, qui comme vous accomplissent un travail très difficile, qui se sont battues et qui se battent contre ces ordonnances de mort qui méritent toutes nos louanges. Ces infirmières, avec de plus en plus d’autres professionnels de santé sur lesquels vous devez prendre exemple, se battent fondamentalement parce que leur travail pénible est important, parce que la disparition de tous les moyens du soin humain est le vecteur de tous les abaissements.

Votre fonction de soin réclame que vous vous rebelliez, hurliez de toutes vos forces contre ses conditions d’application infra-humaines de ce soin fondamental. Et il en va d’une question de vie ou de mort.

Or, si notre époque réclame des héros, elle demande en tout cas au moins des êtres de courage.

Elle réclame au moins un petit peu de courage. Donnez-vous, par exemple, entre cent possibles combats, à la défense de Thierry Casasnovas, contre l'ignoble persécution dont il est depuis longtemps la cible, et après son infâme arrestation récente (mars 2023)... [Message d'Estelle Sovanna.]

Vous n’avez pas le droit d’en rester à cet état fantoche, rampant, vous n’avez pas le droit de participer à cette horreur. Vous devez vous battre. Sinon pour nos enfants maltraités, sinon pour les millions de cadavres que la campagne d’injections de mort a déjà laissés dans son sillage sous l’anonyme et froid label de « covid », au moins pour l’honneur de ces infirmières laissées sur le pavé, sans voie de recours envisageable sinon celle de leur pudeur, courage et honneur, qui se sont parfois suicidées, ne pouvant plus, déclassées, nouer les deux bouts et subvenir aux besoins de leurs petits.

Mesdames, je vous répète ce que je vous ai déjà bien dit en face, en ne recevant que votre agressivité et délirantes élucubrations comme unique et affligeante réponse : détrompez-vous encore, votre comportement revient tout à fait, exactement, à un manque de courage, et vous seriez bien incapables de me contredire, comme vous seriez bien incapable aussi de m'apporter contrepartie sur le champ d'honneur sur lequel vous mériteriez d'être amenées pour m'avoir contraint de quitter la chambre de ma maman très mal au point —  et d'ailleurs encore renvoyée chez elle sans aide, sans aucun diagnostic sur ce dont elle souffre, sans aucune perspective de soin véritable.

Vous avez le devoir de réaliser à quel point ce qui nous arrive est grave. Sans changement profond dans votre parcours, le temps nécessairement adviendra où des êtres courageux vous feront réaliser pleinement, alors à votre grand dam, ce que vous devez déjà au moins réaliser en partie, et dont votre refoulement qui ne peut tout à fait être inconscient explique votre acrimonie : au-devant du devoir que nous devons à nos enfants, celui de ne pas nous donner comme agents actifs, rouages à la mécanique de cet infra-monde, afin de leur ménager un avenir viable qui ne les pousse pas au désespoir et au suicide, dans le monde des hommes où les mots ont encore un sens (il faut tout revoir à partir de Bardèche), vous vous qualifiez honteusement comme rebut anthropologique, toutes petites merdes, comme je vous l’ai dit en des termes normalement accessibles pour vous.

Vous n’avez, mesdames, aussi connes qu’hystériquement conformistes, appliquées dans votre zèle (trahi par vos éructations) duquel vous tirez le pouvoir minable de votre infinie tristesse, absolument aucune excuse ici. Tout est là, cent fois démontré. Même faute d’une culture critique qui vous manque probablement par le fait de votre paresse qui ne constitue pas non plus acceptable paravent à votre lâcheté (les ouvriers lisaient, des ouvriers lisent encore, sans en avoir plus le temps que vous), vous auriez dû réaliser déjà, com-prendre le caractère de morbide imposture que constitue ce cirque covidiste et prendre les mesures qui s’y imposent, par l’accès à l’actualité quotidienne et brûlante devant laquelle vous vous voilez consciemment et, donc, coupablement, les yeux.

Face à cette grande menace que nous encourons, face aux défis qui sont ceux des hommes qui en sont encore et qui nous engagent à notre corps défendant pour défaire Davos, les sous-hommes, donneurs d’ordre et soldats, qui prévoient, mettent en place et exécutent ces empoisonnements à grande échelle, face à cette noble et vitale entreprise, les larves ne méritent pas d’être sur cette terre. Soyons-en leurs coccinelles. Voyez encore que cet infra-monde est déjà mort qui est déjà en train de disparaître. Que ce message vous parvienne via votre direction générale (et je m’arrangerai pour qu’il vous parvienne de toute façon). Puissiez-vous enfin, à temps, vous transformer en êtres véritables, femmes et personnes dignes de votre fonction, mais encore du statut d'être humain, par cette excellente nouvelle, une autre et la meilleure possible en réalité : vous pouvez (devez) changer.

Aussi sincèrement que vitalement.