Du mouvement : Passez le message — modèle pour transmission !

Ce message a pour vocation première de vous rendre une présentation simple, déjà prête, du message à passer, qui invite à ses compléments (OVDNS), mais surtout déjà en lui-même à la réaction. Cela va de soi encore : faites-en la présentation que vous voulez, n'en reprenez qu'une partie, modifiez le texte à votre guise si l'opération vous apparaît opportune... Passez simplement cette adresse [www.inmediares.be/ovdns/communication] ou bien copiez le contenu de la page pour le coller directement sur vos comptes sociaux. Faites-en encore courir le message partout où vous pourrez, et de préférence loin des écrans. Clic droit et « enregistrer l'image sous » pour récupérer l'illustration en bas.

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L'ésotérisme de la cabale politique contre le vivant, comme amplement montré ici, se complaît à nous mettre en plein visage les signes sardoniques de son œuvre malfaisante. En tant qu'objet distinctement reconnaissable qui tomberait sous la lampe du tout-venant, elle doit en revanche demeurer occulte, par définition. Bien qu'ils se moquent de nous de toutes les façons et que nous savons déjà plus ou moins que nos ciels sont peinturlurés, nous en ignorons assez complètement la portée, les intentions... De toute évidence, nous devons catégoriquement empêcher toute réactualisation des injections covid dans le débat public. Ces infernales intromissions constituent un drame assez absolu dont nous sommes encore loin d'avoir soldé le compte. Mais leur surexposition sur les scènes politiques et médiatiques, et qui est le fait aussi des projecteurs de l'opposition contrôlée [cf. le très sage Philippot], est également à lire comme un divertissement, une distraction de plus. Ce sont les dangers les plus silencieux qui doivent retenir notre attention et nous porter à la plus grande méfiance.

Pourtant, personne ne peut ignorer plus longtemps ce terrible danger, personne ne peut fermer les yeux devant le déversement, quotidien et en quantités industrielles, de divers biocides au-dessus de nos têtes. Ce plan n'en est plus à son élaboration mais, depuis au moins le moment historique de ces campagnes d'injections toxiques censées « protéger contre la grippe », à sa phase d'exécution : nous ne sommes pas seulement menacés, mais bien déjà pleinement attaqués...

Avec celle de l'« antisémitisme » et de sa prolongation « antiraciste » par tous les mythes qui fondent ces anathèmes à la fois sur la simple reconnaissance (sur le pouvoir de nommer) des hommes et des idéologies à l'œuvre à notre empoisonnement et sur la possibilité d'accès au courage nécessaire pour désigner ce terrible anathème, celui des épandages aériens de pathogènes sur les civilisations civiles qui ont commencé après la Seconde Guerre mondiale, constitue certainement la pire des impostures, le plus grand mensonge fait aux peuples du monde entier. Ces épouvantables épandages ont d'abord pris comme prétexte la guerre préventive (dont bactéries, anthrax, sustances cancérigènes pour mesure de taux de populations malades après tel ou tel déversement), c'est-à-dire l'intoxication des populations pour les protéger en cas d'attaque, avant celui de la géo-ingénierie, c'est-à-dire un empoisonnement du monde au motif d'une limitation de l'effet de serre et des rayons du soleil parvenant à la surface terrestre afin de limiter le prétendu réchauffement climatique dû aux émission de gaz carbonique.

Ce projet, qui n'est autre que celui de notre élimination, est parfaitement objectif, objectivé, documenté, par tout esprit encore un peu vif qui aurait malgré tout manqué que l'opération « covid » que nous venons de vivre suivait déjà ces mêmes intentions, « humanistes » du point de vue du Fonds monétaire international et du Forum économique mondial, « philanthropiques » du point de vue de Bill Gates et d'Henry Kissinger.

Or, si nous avons tous été plus ou moins passifs jusqu'ici et que l'empoisonnement chimique préexiste aux épandages (ampleur de la catastrophe : un enfant sur 38 naît autiste aujourd'hui aux États-Unis, contre 1 pour 700 il y a encore très peu de temps), nous ne pouvons nous conforter dans une déjà longue habitude à la passivité pour continuer à ne rien faire. Notre changement exige un point de départ. Par l'opération covid-19 et ses désastres, condition suffisante parmi d'autres à notre insurrection totale, nous traçons une ligne, une ligne au-delà laquelle nous ne pouvons plus humainement nous soumettre, nous donner à cette très dicible horreur. Cette opération de terreur, part du plan de la grande réinitialisation à laquelle s'agrègent ces épandanges criminels, exige que nous changions de paradigme, que nous nous fassions violence...

Lac Léman, région de Nyon, Suisse, le 11 juillet 2022.

Or, encore, personne, des plus actifs dans la collaboration à ceux qui se laissent passivement aller à l'abdication, ne pourra dire à nos enfants abîmés qu'il ne savait pas.

Pour tout un chacun dont les capacités perceptives ne sont pas encore trop altérées par les brouillards d'aluminium qui ne font pas que tousser, et qui se donne encore la peine ou la joie (vitale) de viser le ciel, ces épandages criminels doivent être concrètement, matériellement et assez immédiatement reconnaissables, sans nul besoin de recours à la loupe ou à l'éclairage laser.

Toutes les vérifications ont déjà été faites, les échantillons pris, et les valeurs tolérables d'exposition dépassées, depuis longtemps, par des milliers de personnes, de tous bords et milieux. De téméraires lanceurs d'alerte des sphères politiques, scientifiques, culturelles, médiatiques, en plus de nuées d'anonymes comme moi, donnent l'alerte depuis des années. Songeons par exemple à l'association ACSEIPICA. Et certains préviennent : ces armes climatiques biocides sont dévastatrices au point de l'irréversibilité.

Or, si nous pouvons nous demander par quels sordides mécanismes, qui ne sont pas uniquement physiques, mais aussi et surtout profondément moraux et anthropologiques (ou encore psychologiques, où nous pouvons par exemple entendre Ariane Bilheran), voyons surtout que nous n'avons pas encore pu collectivement réaliser à quel point ce qui (nous) arrive est grave pour en tirer les conclusions qui s'imposent...

Concentrons nos efforts sur les solutions les plus effectives avec ceux d'entre nous qui persistent à rester humains dans cet enfer qui est le nôtre.

Si nous ne pouvons esquiver l'air que nous respirons à moins de courageusement envisager ces solutions effectives et par nécessité radicales, esquivons les pleutres et les imbéciles (comme de nous laisser piquer comme des bœufs, ce qui, ne l'oublions pas, répond davantage de l'acte volontaire faible que de l'implacable contrainte), pour les raisons les plus saines qui sont également pratiques. Nous n'avons plus de temps à perdre en explications ou justifications aux porteurs de masque, aux suiveurs, aux kapos, aux censeurs, cadavres ambulants, auprès d'une f(r)ange franche de population méprisant tout sentiment de beauté et de justice, qui s'est fait une destinée de vivre par l'amoralité. Épargnons-leur ce que, pour de solides raisons qui poussent l'Occidental à plus ou moins consciemment désirer sa mort, ils ne pourront plus entendre, non par égard pour eux qui s'en rendent indignes, mais parce que notre temps et notre énergie sont bien trop précieux. Les noms d'oiseau et les protestations de seule forme que nombreux d'entre nous lancent à l'infra-monde politique et ses lamentables valets en costume, sans aucune conséquence, marquent la traduction rhétorique de notre impuissance, le Même déguisé sous les traits de l'Autre, l'incapacité à penser un futur désirable et à nous y projeter ensemble. Une population sans vigueur ni hardiesse qui accepte de se laisser enfermer au moindre prétexte, qui s'offre en cobaye à des technologies vétérinaires, qui adhère avec enthousiasme à tous les mots d'ordre belliqueux qu'on suggère aux pulsions de sa bonne conscience, qui porte systématiquement au pouvoir des fossoyeurs revendiqués du service public, a des hommes politiques à son image.

Enghien, Belgique, le 15 février 2023.

Nos mots sont durs, mais ils sont justes : beaucoup d'entre nous, pour leur valeur d'action, précisément ne sont rien, et non pour la raison à peine implicite (d'insupportable mépris de classe) qu'y donnent Macron et le FMI lorsqu'ils nous insultent, mais parce que précisément celui-ci — cœur de la tragédie — les représente, et exauce à la lettre le souhait des électeurs d'en finir avec eux-mêmes.

Tout adulte en âge de combattre qui pour nos enfants ne se bat pas de toutes ses forces contre Davos mérite un sort de cobaye, et avant tout pour la compassion qu'il n'a pas, non pas pour « nos amies les bêtes », mais pour nos petits. Et nous n'avons plus ni le temps ni le goût de l'informer...

Nous avons en revanche tous à nous joindre à l'effort, et à commencer quelque part, c'est-à-dire, primairement, sortir de la torpeur, s'efforcer à délaisser tout sentiment d'impuissance, et déjà par là faire quelque chose, ou s'en donner les moyens...

Aux êtres adultes encore debout, alors : nous sommes engagés malgré nous dans une lutte à mort contre les forces mondialistes, et notre devoir pour la vie doit nous extirper de nos minuscules et minables préoccupations personnelles. Notre combat nous engage partout et entier, d'un devoir d'information, malgré tout incontournable dans ses traits essentiels d'appel à la lutte, aux têtes qui doivent rouler.

En point d'orgue de ce combat, seule aventure véritablement humaine : notre dé-confinement. C'est par notre rassemblement solidaire et durable que Davos peut trembler, qui s'emploie de toutes ses forces, et depuis longtemps, à nous diviser. Aussi aspirons-nous par là à fuir le militantisme séparateur, les cloisonnements par micro-sujets. Bien que cause nécessaire et suffisante à notre indignation totale, cause nécessaire et suffisante aux fourches, ce ne sont pas seulement les chemtrails et puis c'est tout que nous avons à fuir, et surtout supprimer à la source. Ce n'est pas non plus seulement contre les désastres de la disparition des abeilles, de l'étendue des parcs de ces tant affreuses qu'inutiles éoliennes, de la pollution électromagnétique, ou encore contre les mêmes qui nous font littéralement bouffer des tartes à la merde et nous injectent de cellules de fœtus humains que notre protestation doit s'élever, mais bien contre ce qui les réunit.

Nous devons nous activer à précipiter la chute de ce monde qui produit les conditions de possibilité identiques à tous ces produits de mort.

Il y a cent choses à faire ensemble... L'information, l'action par le discours, n'est donc qu'un point de départ, mais un point de départ certainement obligé — et notre démission est dans tous les cas interdite.

Ceux qui font quelque chose, se battent (songeons aux infirmiers déclassés socialement pour avoir refusé l'injection de mort), auront bientôt à réclamer des comptes, frapper aux portes de ceux qui en ne faisant rien expriment leur valeur humaine nette. Ces comptes ne sont pas à réclamer seulement chez les oligarques qui donnent les ordres, chez les militaires qui participent, chez les politiciens qui cautionnent ou chez les ONG et pilotes de ligne qui se taisent, mais dans le corps de la société tout entière dont nous formons ensemble le tissu. Réagissez, tant qu'il est encore temps, réagissez pour les humains préoccupés par l'idée même qu'il ne leur reste peut-être pas assez de temps pour poser quelque action décisive...

Bruxelles, Belgique, le 24 juillet 2022.

Nous avons le devoir de nous battre contre cette situation totalement inhumaine, inacceptable.

Rendons-nous incontrôlables. Or, l'insoumission dont nous devons retrouver le souffle passe par la liberté totale de parole et de ton. C'est parce que d'aucuns ont peur même de prononcer des mots politiquement inconvenants — signe distinctif d'ultime docilité — à l'heure de notre mise en coupe réglée, liquidation totale, qu'ils vivent en lemmings. Anthropologique fond des chiottes, le politiquement correct est déjà, bien avant la vaccination et les épandages mortels, intolérable, c'est-à-dire à briser.

Parce que l'heure est grave et que le temps nous est compté, efforçons-nous de ne plus répondre aux incessants appels aux divertissements qui nous happent et nous réduisent, de rompre avec les entreprises de pertes de nous-mêmes. Fuyons les littérateurs, phraseurs des factions (« dissidences ») de salon, de plus en plus médiocres eux aussi, qui vous parlent de tout sauf — précisément — d'action.

Face à certains héros du temps, face à ce qu'ont sacrifié pour notre avenir ou notre possibilité même certains de nos illustres aïeux, ce qui est requis de nous aujourd'hui ne représente finalement pas grand-chose. Un petit peu de courage. C'est seulement un tout petit peu de courage qui est demandé de nous, pour réagir, et déjà, d'abord et au minimum, informer, parler, l'ouvrir, autour de nous... C'est seulement un petit peu de courage que nous réclament nos innocents enfants. À eux seuls, les dégâts, souvent irréversibles, que collectivement nous leur avons fait subir par le honteux cumul de nos menus acquiescements désengagements, aurait déjà dû tous nous mettre dans une saine colère noire, nous porter en ébullition d'insurrection.

Rassemblés sur l'essentiel, nous devons arrêter, quoi qu'il nous en coûte, ces porteurs de mort, empoisonneurs de puits, pilotes de la honte, hordes d'orks à la baguette et à l'exécution, et avons à y agir par les façons les plus concrètes, les plus risquées pour nos misérables petits conforts indexés à notre individualisme aujourd'hui lamentable. La lâcheté ne pourra plus longtemps se dissimuler derrière notre infinie paresse. Dans une acclamation de grâce, nous avons comme mission de précipiter la chute de ce monde pourri devenu totalement inhumain, irrespirable, pour ne pas finir, de la plus sordide et basse des façons, comme de misérables cafards. Nous le devons à nos petits, avant de le devoir à ceux qui ont laissé la peau dans leur combat pour le vivant.

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« Jésus entra dans le temple de Dieu. Il chassa tous ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple ; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons. Et il leur dit : Il est écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs. »
Matthieu 21:12-13