Message aux médecins, pour la protection de nos petits

Bonjour docteur,

Le phénomène des épandages chimiques aériens (faussement « semi-clandestins »puisque très officiellement confessés) est extrêmement inquiétant. Aussi vous épargnerai-je ici la réaction vive que je tente de susciter (tout est là : www.inmediares.be/ovdns), dont l’un des enjeux majeurs est malheureusement et probablement la fuite... Nous n’avons pas, plus le temps de convaincre les inconvaincables, de la lutte à mort que mène contre nous Davos, trop occupés à préserver les êtres aimés et ceux qui délibérément, après que le ciel nous soit déjà tombé sur la tête avec la psy-op « ovid » et la gravité de ce qui nous est arrivé dont les premiers ont à prendre la mesure sans que quiconque n’ait encore pour tâche de leur expliquer que le problème n’est pas la grippe (ni « de saison » ni même de laboratoire, en réalité), mais politique, moral et anthropologique, veulent rester humains. Cela serait aussi, pour nombre de ces inconvaincables damnés et pour de profondes raisons que je ne déroulerai pas plus ici, peine perdue ; et si les irréparables dégâts que nous avons collectivement fait subir aux enfants, par l’infamie des masques par exemple, ne nous pousse pas à la plus saine et noire des colères, ce n’est pas l’explosion artificielle du prix de l’énergie qui risque de le faire. (Et si la « colère sociale monte », nous n'avons pas le luxe de miser sur l'attente des retardataires.) Je ne cherche donc pas à vous convaincre de l’évident empoisonnement dont nous sommes la cible, mais vous estime déjà a priori au courant, comme toute personne d’estime.

En attendant, tant que nous décidons de continuer à vivre, quoique de plus en plus toussotants, sous ces épouvantables ciels chimiques, une de nos lignes d’action, à laquelle nous ne pouvons pas nous limiter mais qui est incontournable : la prophylaxie. Or, ce sont bien les signes cliniques d’apparition de maux chez les plus petits, que nous devons coûte que coûte protéger, qui doivent nous inquiéter, et nous rassembler. Ce sont ces signes que nous devons guetter. Alors, je pourrais vous demander ce que vous conseillez pour contrer les arythmies et dyspnées (de moyennes à sévères) évidemment constatées depuis le début de l’intensification des épandages toxiques au tournant 2022 (également) dans les populations non injectées et qui expliquent (que ce soit par le méthylène, le souffre, le baryum ou l'oxyde de graphène) le « covid long » (la fameuse grippe qui inflige des infarctus) ainsi que ses versions plus courtes, bien que l’information serait capitale, mais préfère me concentrer sur les deux points suivants.

Comment interpréter et, surtout, réagir, quant aux toux très persistantes (sèches, souvent), quotidiennes, longues de plusieurs mois ou maintenant déjà années, constatées chez à peu près tout le monde depuis un bon moment (signe spectaculaire s’il en est de l’inertie des masses), mais notamment et surtout chez nos (tout-)petits ? Mon fils adoré de vingt-deux mois tousse une dizaine de fois par jour, pas plus, mais cependant depuis plusieurs semaines au moins. C’est le cas de beaucoup d’enfants et ce signe clinique est parfaitement objectivé, comme vous le savez sans doute mieux que moi. Je veux savoir ce que c’est. Je veux savoir s’il y a tout lieu de réellement m’inquiéter. D’après mes maigres connaissances ou mon bon sens : une toux persistante, même modérée, est signe d’une pathologie, ou du moins d’une résistance à une attaque extérieure (et dans ce cas, alors, prolongée, donc sérieusement dangereuse déjà par là). Je veux le savoir pour réagir sans plus de délai (et passer le message). Nous ne pouvons pas laisser nos enfants se faire abîmer, assassiner.

Quelle interprétation de ce signe ? Et quelles réponses médicales au cas où il n’y aurait pas lieu de s’inquiéter outre-mesure ? Je pense principalement à l’alimentation : quelles règles à suivre quant à ce qui peut être donné à des petits (ail des ours, chanvre, chlorelle, zéolithe, etc.), que savez-vous des protocoles chélateurs chimiques (tels que le DMPS ou le DMSA) ou, mieux, naturels, et de ce qui peut constituer une solution quant à l'évacuation des nano-particules ?

Encore et par exemple, quels sont les bilans sanguins et de santé tout court pour les non vaccinés : y trouve-t-on des marqueurs d'intoxication par métaux lourds et autres pathogènes ? Que pourriez-vous dire d'une surmortalité indépendante de la campagne de vaccination ?

Plus généralement, regroupons-nous sur cette question, avec d'autres, pour agir en petit comité à la sauvegarde de nos êtres aimés.

Nous vous saurions gré de bien vouloir nous aider.