Tout prétexte pour mobiliser est à prendre : surprendre et multiplier ces messages (court message à un notaire) !

Bonjour Monsieur ou Maître xxx,

Il y a un an à peu près, vous avez très professionnellement accompagné ma compagne et moi dans l’achat de notre maison à xxx, et vous étiez expressément annoncé disponible pour notre accompagnement, toute question postérieure éventuelle de notre part.

 Concisément, quelles solutions pourrions-nous envisager (et cette question pour nous doit évidemment concerner le monde), en dehors de la vente, pour mise en pause de notre crédit mensuel. Un départ sous des ciels plus cléments que nous devons, malheureusement mais vitalement, anticiper est sérieusement compromis par ce lourd versement automatique...
Cette « pause » serait évidemment aussi le minimum extrême de ce que nous doit l’État, qui, pour le dire dans des termes juridiques abscons, est forclos quant aux obligations qu’il n’a pas tenu envers nous. Entre autres (et en réalité entre cent) : nos gouvernements sont objectivement impliqués dans des épandages agressifs d’agents à effets biologiques sur la population (tout est donné, de ce que vous ne pouvez de toute façon pas ignorer, ici) ; et il est évident que le gouvernement fédéral est impliqué, puisqu’il est responsable du traffic aérien...

Je saisis l’occasion pour vous humblement dire, parce que notre combat est par définition collectif : il est important que tout actif combatte Davos et ses agents du mal employés à notre mise à mort, et il est important que, non comme notaire mais comme homme, vous vous battiez de toutes vos forces pour arrêter ces sous-êtres, empoisonneurs et ceux qui les permettent, pour leur mise au pilori et plus si nécessaire, dans une entreprise de légitime défense et — comme je m'efforce de le répéter partout où je peux — non pas pour vous ou moi, mais pour nos enfants avant tout.

(Pour toute action concrète qui doit nous éloigner des écrans, il est d'ailleurs intéressant — raison pour laquelle je vous vise en particulier — que vous ne résidiez pas loin de chez moi. Et je vous ai d’ailleurs déjà croisé quelquefois en vélo tout près.)